Unepirogue à balancier inspirée par les bateaux traditionnels de Mayotte . Plan réalisé d'après un scan 3D d'une pirogue monoxyle. Construction contreplaqué époxy avec stratification légère extérieure. - 4.60 m de long par 3.80 m de large. - 60 kg à vide - 5.15 m² - Initiation et balade cotière (catégorie D3) Plans PDF A3

Les articles que je vais publier ici concernent avant tout le modélisme que je pratique, à savoir le modélisme naval navigant radio-commandé à partir de plans de modélisme. Je crois que malgré tout ils peuvent être utiles à tous qui pourront les adapter à leur construction car les principes généraux restent les mêmes. Il ne s'agit absolument pas de modélisme dit "d'arsenal" ou la conformité avec la construction réelle est primordiale, mais il s'agit d'expliquer comment on peut arriver à un résultat correct, et la compréhension de ces principes devrait permettre aux débutant de déjouer les approximations rencontrées dans les est certain que face à un kit mal conçu et dont les fournitures sont de piètre qualité, un modéliste expérimenté arrivera malgré tout à une coque correcte, mais les modélistes expérimentés n'achètent plus ce genre de série d'explications a donc pour but d'expliquer aux débutants comment il faut s'y prendre et de leur éviter un découragement compréhensible si ils n'arrivent à rien .-La structure d’une coque est un peu comparable à un squelette constitué d’une épine dorsale la quille sur laquelle s’ajustent les côtes les couples recouvertes de peau le bordageLa charpente axiale du bateau est constituée principalement de l’assemblage de trois éléments la quille, l’étrave et l’étambot. Pour la réaliser, on préférera les tasseaux de bois dur à du multiplis, simplement pour profiter au maximum du sens des fibres du bois pour l’étanchéité, et de la flexibilité de la pièce ainsi bois dur se trouve en magasin de bricolage Cambara, Méranti, Hêtre... Il conviendra avant tout d’éviter les bois vrillés en vérifiant leur rectitude. Evitez donc le pin et le sapin qui ont trop tendance à bouger même après un long temps de séchage. Ces tasseaux seront amenés par rabotage aux dimensions de la section de la quille. La Quille Généralement rectiligne et de section rectangulaire, elle sera découpées aux dimensions de la vue de profil du plan. Son extrémité avant côté proue coupée en oblique s’aboutera contre l’étrave, le "bois de bout" sera ainsi protégé par le brion. L’Étrave Découpée dans le même tasseau que la quille, elle sera effilée sur son bord antérieur afin de fendre les flots. En modélisme simplifié, l’étrave est souvent arrondie au niveau de la quille pour figurer ce que l’on nomme le brion. L’assemblage entre la quille et l’étrave doit être consolidé par une pièce de bois chantournée, venant renforcer l’intérieur de l’angle, et nommée marsouin L’Étambot Toujours les mêmes tasseaux pour réaliser l’arrière de la charpente, constitué du massif arrière pièces de bois parallèles à la quille venant s’abouter contre l’étambot, lui même chevillé au talon de la quille, et lui aussi arrondi pour permettre un débattement libre au safran. Chaque section antérieur des pièces du massif sert d’appui à un couple. Si le bateau est pourvu d’un moteur, un trou doit traverser le massif et l’étambot, pour permettre le passage du tube d’étambot. Différents trucs de construction permettent de faciliter la mise en place de ce en place du tube d’étambotPlutôt que de percer l’étambot à la foreuse après l’assemblage avec tous les problèmes d’alignement et de longueur de mèche que cela suppose, on peut prévoir un coffrage étambot et massif en deux parties, entre lesquelles se place le tube, noyé dans de l’araldite. Deux joues mises à fleur viennent ensuite refermer l’ensemble. La Voûte La partie de la coque en surplomb au dessus du gouvernail se nomme la voûte, et sauf sur les coques à cul pointu ou arrondi, elle se termine par le tableau. En construction traditionnelle, cet ensemble est très complexe à implanter, et se fait notament en s’appuyant sur les couples arrière, alors qu’en construction simplifiée ceux-ci ne sont pas encore mis en place. Par facilité, on n’utilisera qu’une seule allonge de voûte et un tableau en contre-plaqué. Visuellement, après bordage, l’aspect sera malgré cela conforme à la réalité. Assemblage Toutes les différentes sections de tasseau seront collées entre elles, bien à plat sur le plan éventuellement protégé. Les assemblages peuvent être renforcés par tétonnage, ou plus simplement par chevillage après séchage, percer les trous des chevilles dans l’axe de la quille à travers l’arrondi du brion, et par dessous la quille dans l’axe de l’étambot ; insérer en force les chevilles de hêtre légèrement encollées. Le marsouin et l’empilement du massif arrière peuvent aussi être chevillés. Une série de petits tasseaux collés sur la quille constituent des mortaises pour l’implantation renforcée des couples. Finition Avant de passer à l’assemblage quille/couples, il reste à creuser la rablure dans la quille, l’étrave et l’étambot. On peut utiliser un cutter, une fraise de dentiste, etc. Cette rablure recevra sur l’étrave et l’étambot les extrémités des bordages, alors que sur la quille c’est le galbord qui viendra s’y encastrer sur toute sa longueur. La profondeur et l’angle de dégagement seront donc à adapter en conséquence aux différents rablureCreusée dans la quille, la rablure recevra le premier bordage appelé galbord. Dans l’étrave et l’étambot, les extrémités des bordages pourront être fixés sur des Bande MolleLe "bois de bout" de la quille, très poreux, est protégé par le brion de l’étrave, lui même protégé par la bande molle en feuille de plomb qui court jusqu’au talon de tube de JaumièreDans la voûte, un trou sera percé pour recevoir l’axe du safran. Le pied de cet axe s’appuie sur le sabot de quille. L’arrondi de l’arrière de l’étambot permet la rotation libre du couplesSur la quille la colonne vertébrale que nous venons de construire et qui décrit le profil de la coque en 2D, nous allons maintenant implanter les couple les côtes et ainsi voir apparaître en 3D le volume de la coque. Sur le plan, les couples peuvent être dessinés sous différentes formes soit simplement figurés par un trait fin de part et d’autre d’un axe vertical à gauche le plan de forme des couples avant, et à droite le plan de forme des couples arrière, soit dessinés séparément avec leurs différents éléments, soit entièrement, bordé compris ou bordé déduit, parfois même avec des faux barrots de d’aller plus avant dans la construction modéliste simplifiée, voyons comment est réellement fabriqué un couple en construction navale ou en modélisme d’arsenalCouple traditionnel très schématisé1-2 = varangue, 3-4-5-6 = allonges de fond,7-8-9-10 genoux et allonges de sommetLe couple est constitué de différentes parties à cheval sur la quille et y maintenue par la carlingue, la varangue constituée de deux pièces de bois accolées est prolongée par les allonges de fond, les genoux et les allonges de sommet, soit 10 pièces de bois pour fabriquer un seul couple ! Les genoux correspondent à ce qu’on appelle les bouchains, qui sur certaines coques ne sont pas arrondis mais en angle on parle alors de coques à bouchains vifs. Toutes ces pièces de bois sont choisie dans des branches d’arbre qui présentent déja +/- la courbure souhaitée, et ainsi le fil du bois n’est jamais sectionné. La distance séparant deux couples était en principe inférieure au diamètre des boulets tirés par les canons de l’adversaire !En modélisme simplifié, les couples seront découpé d’une seule pièce en ctp, et leur nombre sera fortement diminué. En pratique, un modèle sera constitué d’une douzaine ou une quinzaine de si les couples sont dessinés en entier sur le plan, il sera prudent de ne les décalquer que par moitié puis de replier selon l’axe le calque obtenu pour tracer l’autre côté afin de s’assurer de la parfaite symétrie du couple. En effet, beaucoup de plans sont tirés sur du papier OCÉ à développement humide qui ne garanti pas la stabilité dimentionnelle du papier. Attention également si vous décidez de photocopier des couples, les photocopieurs ni les scanners ne reproduisent pas 1/1 dans les deux sens ! ...et si vous décidez de coller sur le bois la copie obtenue, attention aux colles qui distendent le couples sont maintenant découpés dans un ctp marin d’épaisseur adaptée, et évidés afin de dégager l’intérieur du bateau naviguant. Avant le collage en place, il est judicieux de percer quelques trous à hauteur des genoux, trous qui serviront à enfiler les différents cablages électriques devant courir à fond de cale. C’est plus propre et c’est plus beau que des fils qui trainent partout ! Pour un bateau de moins de 50 cm utiliser du ctp de 3mm. Du ctp de 5 ou 6mm pour une longueur de bateau jusque 80 cm, et 8 à 12 mm au allonges de sommet peuvent reprendre également les jambettes de pavois, mais c’est beaucoup mieux si elles s’arrètent au niveau du livet de pont. Les jambettes seront ajoutées après poncage de la coque. Les barrots de pont peuvent faire partie du couple, mais il sera beaucoup plus précis de remplacer ces faux barrots par une simple lisse d’ouverture en baguette 5x5 durant la construction, et d’ajuster de vrais barrots une fois la coque de la méthode de construction à adopter quille en l’air ou quille en bas ?Pour le débutant, on peut affirmer que la meilleure méthode est quille en l’air, tout étant bien fixé sur un chantier jusqu’au séchage complet du dernier des une fois n’est pas coutume, je vais ici développer une méthode quille en bas. Et en même temps, par un ordre de construction inhabituel, aider à résoudre les problèmes apparaisant toujours si les couples bien que symétriques ne sont pas dessinés de dimension précise, ni implantés juste là où il faudrait dans des carlingues de quille ménagées d’après un plan imprécis. Et malheureusement, c’est souvent le cas.C’est aussi quille en bas que l’acquéreur d’une boîte de construction devra travailler neuf fois sur dix, car le fabricant n’a pas prévu d’allonges à ses couples prédécoupés au laserChaque couple, dont le dessin est reproduit sur le bois, est découpé à la scie sauteuse ou à chantourner et sa varangue est échancrée de manière à venir se positionner "à cheval" sur la quille à l’emplacement prévu sur le plan. Attention, cet emboitement doit serrer, mais le couple doit se positionner bien perpendiculaire dans les deux sens ! Chaque couple est donc équipé de sa lisse d’ouverture qui en garanti temporairement la solidité. La quille est maintenue à son inclinaison par rapport à la ligne de flottaison sur un ber de montage. La ligne de flottaison est donc parallèle à ce ber. Plaçons les couples sur la quille, bien perpendiculaires à la ligne de flottaison et parallèles entre eux, mais avant collage vérifions leur positionnement Sur certains plans, la vue de profil ne montre pas l’épaisseur du couple, mais seulement un trait pointillé qui défini son emplacement. L’emplacement de quoi ? de l’axe du couple, de la partie avant ou de la partie arrière de son chant ? Beaucoup d’encre a déjà coulé à ce propos. Simplement, mettons en place rigoureusement le premier et le dernier couple. Le couple le plus large le maître bau est également positionné précisément. Une latte de bordage 3x10 en tilleul sera alors mise en place de chaque côté du bateau, au niveau du livet de pont, maintenue par quelques clous ou épingles dans la rablure de l’étrave et au tableau arrière, et venant s’appuyer au premier couple, au maître bau et au dernier couple qui seront équerrés à ce moment là. Equerrer un couple, c’est en poncer le chant de facon à permettre au bordage d’être collé sur toute l’épaisseur du couple et pas seulement sur un angle. L’élasticité naturelle des fibres de la baguette de bordage va nous donner une courbe harmonieuse de l’avant à l’arrière du bateau et passant contre les trois couples en place. Les couples suivants étant équerrés à la volée seront éventuellement avancés ou reculés sur la quille des quelques millimètres nécessaires à leur parfaite jonction avec le bordé. Cette méthode n’est pas orthodoxe, c’est vrai ! mais n’est il pas préférable d’obtenir un bateau dont la coque droite et symétrique n’est pas vraiment conforme au plan, plutôt que pas de bateau du tout parce que finalement rien ne tombait juste et qu’on a tout jeté à la poubelle avant d’aller s’inscrire à un club de maquettes plastique ou de latte de 3x10 en tilleul ou mieux une règlette métallique donne par sa flexibilité naturelle une courbe harmonieuse. Les couples intermédiaires peuvent être légèrement avancés ou reculés afin de bien s’appliquer contre cette astuce permet de résoudre un autre problème ayant lui aussi fait couler beaucoup d’encre, à savoir si le dessin du couple sur le plan décrit l’avant ou l’arrière du chant du couple en question, avant ou après équerrage. En fait, le dessin représente le couple fini, et il suffit de considérer que le couple s’aligne devant le trait de positionnement pour les couples de l’avant du bateau, et derrière ce trait pour les couples de l’arrière. Ainsi, l’équerrage du couple enlèvera toujours de la matière en trop. Bien sûr, des plans précis permettent de travailler précis, mais j’ai remarqué que c’est justement les débutants qui se procurent des plans de début jusque là c’est une bonne idée mais que ces plans simples sont souvent bien mal dessinés. Il s’ensuit un découragement compréhensible quand on se rend compte que tout est collé... et que tout est de travers !Tout est en place, les différents emplacements des couples sont marquées au crayon sur la quille. Maintenant, on va fixer solidement par collage une baguette de section 3x15 au milieu de chaque lisse d’ouverture, prenant appui à l’étrave sur le rebord aménagé au niveau des préceintes, et sur le milieu du tableau arrière. La profondeur de l’échancrure des varangues sera éventuellement ajustées pour que la ligne de flottaison de chaque couple soit dans le plan horizontal et que la lisse d’ouverture de chaque couple affleure bien la baguette qui correspond à la tonture donnée par le plan. Après contrôle de tous les ajustements dans tous les axes, on peut alors coller les couples sur la la profondeur des échacrures des couplesSur chaque couple, un trait figure la ligne de flottaison. Tous ces traits doivent être parfaitement alignés horizontalement. On doit aussi contrôler la concordance des lisses d’ouverture avec la niveau du massif d’étambot, les chants avant des pièces du massif seront éventuellement ajustées à la position définitive des couples censés s’y appuyer. Entre chaque couple, sur la quille, on collera des sections de tasseaux faisant office de carlingue. N’utilisez que de la colle blanche résistant à l’eau D3, et attendez maintenant plusieurs jours avant d’enlever la quille de son Jambettes de pavoisLes jambettes de pavois sont implantées d’après le plan, éventuellement accolées à un couple. Entre les jambettes, une entretoise supporte le plat-bordLes Barrots de pontLa bauquière et la contre bauquière s’appuient sur une encoche du couple. Elles supportent les barrots de pont
3oct. 2018 - Comment construire facilement un bateau en bois technique cousu collé avec du contreplaqué marine et résine epoxy marin : Plan gratuits pour la construction d'un petit bateau en bois ( type pirogue en contreplaqué marine) 2011

Publié le 27/01/2020 - Modifié le 31/01/2020 Des parois jumelées et un bandeau lumineux donnent à ce bureau toute son originalité. Le meuble est dimensionné pour offrir un confort d’usage optimal et peut être peint aux goûts de chacun. Difficulté 2/4 Coût environ 180 € Temps 1 week-end Équipement règle, équerre de menuisier, cale à poncer, serre-joints, scies circulaire et sauteuse, rail de guidage, perceuse-visseuse, lamelleuse, défonceuse… Ce bureau est entièrement fabriqué en contreplaqué de 22 mm d’épaisseur. Sa réalisation fait appel à des outils de bricolage courants. Seule particularité, et encore la lamelleuse utilisée pour assembler de façon invisible les panneaux de parement extérieurs. L’éclairage est assuré par un ruban de leds fonctionnant en très basse tension 12 V. Des panneaux doublés » pour bureau stylé Le meuble mesure 155 cm de largeur, 1 01 cm de hauteur et 74,4 cm de profondeur. Il est réalisé selon la technique du moisage ses principaux composants plateau, côtés, étagères et fond sont doublés. Ce qui représente deux panneaux de contreplaqué de L. 2 500 x l. 1 220 mm. Compte tenu du prix du matériau environ 124 €/m2, il peut être remplacé par des panneaux identiques mais de 18 mm d’épaisseur 75 €/m2. Pour débiter les pièces, une scie circulaire avec rail de guidage suffit. La découpe peut aussi s’effectuer en magasin. Un petit meuble à l'assemblage simple Les éléments composant la structure intérieure du bureau s’assemblent par collage et vissage dans des avant-trous fraisés. Ainsi, une fois le meuble monté, les têtes des vis sont invisibles. Les éléments extérieurs, eux, se montent à l’aide de chevilles plates. Un calibre n° 20 est requis pour joindre des bois de 18 mm d’épaisseur. En l’absence de lamelleuse, l’assemblage tourillonné dans des trous borgnes convient aussi. Découpe des éléments en contreplaqué Tracer le contour des éléments de la face intérieure sur un premier panneau. Ménager entre eux un espace correspondant à l’épaisseur de la lame de la scie circulaire. Le panneau bridé sur des tréteaux, scier en partant d’un bord pour finir à l’opposé. Vérifier constamment la stabilité du panneau de contreplaqué. Tracer un axe parallèle à 9 mm de chaque bord à assembler. Marquer ensuite les points de vissage il en faut trois ou quatre selon la longueur des pièces. Montage de la structure du bureau Aspirer soigneusement la poussière de perçage, puis encoller le dessous du plateau intérieur. La colle en biberon facilite l’application. Présenter un premier montant sur le plateau. Ajuster la position, de façon à aligner les pièces bord à bord. Visser par le dessous. Répéter l’opération avec l’autre montant. Il est utile de se faire assister pour maintenir ces grands panneaux d’équerre et d’aplomb pendant le montage. Le dosseret du bureau se compose de trois planches. La plus grande s’assemble face contre chant avec les deux autres par deux vis de chaque côté. Comme précédemment, repérer les points de fixation. Percer, fraiser des avant trous et encoller l’une des faces de contact avant de visser. Repérer les trous de vissage du dosseret sur l’envers du plateau. Percer-fraiser puis, après dépoussiérage, remettre le plateau à l’endroit. Assembler le dosseret au plateau, toujours par collage et vissage. Nettoyer les reflux de colle et mettre le dosseret à sécher à part. Sur le plateau de bureau inférieur, fixer deux entretoises à 5 cm des bords longitudinaux. Encoller les entretoises en zigzag et poser dessus la partie supérieure du bureau. Vérifier le bon alignement des bords et mettre l’ensemble sous presse le temps que la colle prenne. Astuce pour réussir les avant-trous en menuiserie Percer les avant-trous avec une mèche à bois d’un diamètre inférieur de 1 à 2 mm à celui des vis d’assemblage. L’emploi d’une mèche équipée d’une fraise conique permet de pré-percer et d’évaser les entrées des trous dans le même mouvement. Percer perpendiculairement à la surface du panneau. Préparation des étagères du bureau Sur l’intérieur du dosseret, tracer l’encombrement des tablettes moisées. Puis percer les vis sont espacées de 15 cm environ. Les planches se joignent à angle droit par deux lamelles plates à chaque fois. Réaliser un montage à blanc pour repérer les entailles à pratiquer à la lamelleuse. Délimiter la saignée d’encastrement du ruban de leds sous les planches composant la partie inférieure des étagères. Sa largeur est de 10 ou 12 mm, selon le modèle. Réaliser le rainurage à la défonceuse appuyée contre une planche en guise de guide parallèle. Pour un ruban épais de 2 mm, effectuer une saignée de 4 à 5 mm. Le ruban est sécable à la main tous les 5 cm. Des connecteurs spéciaux sont prévus pour raccorder à plat, dans les angles, les trois longueurs nécessaires. La fixation du ruban est simplissime. Retirer le film protecteur de sa face adhésive et l'appliquer en appuyant fermement pour le faire adhérer. Pose des parements de bureau Découper les entretoises dans des chutes plus courtes de 4 cm que la hauteur hors tout du bureau. Les fixer en laissant un espace de 5 cm avec les chants avant. Les trois panneaux de parement s’assemblent également face contre chant. Positionner et réaliser en conséquence les entailles destinées aux lamelles. Placer d’abord le parement du fond. Après avoir généreusement encollé ses entretoises, le plaquer dessus et mettre à sécher sous presse serre-joints. Encoller les entailles des deux parements 22 latéraux et y loger les pigeons ou lamelles. Si besoin, s'aider d’un maillet pour les enfoncer en douceur. Coller-visser les trois étagères du bas, équipées du ruban de leds. Lorsque la colle a pris, fixer celles du dessus en les faisant reposer sur des chutes pour les maintenir à plat. Avant d’assembler les parements latéraux, réaliser une découpe à la scie sauteuse sur chacun des parements intérieurs, entre les deux étagères. Il reste à encoller les entailles du fond et à assembler les parements latéraux. Laisser sécher, puis ôter les serre-joints et donner un coup de ponçage avant de peindre. Fournitures pour ce bureau DIY Deux plateaux de 1 465 x 725 mm Deux montants de 685 x 725 mm Un fond de 1 465 x 265 mm Deux côtés de 685 x 265 mm Deux planches de 1 220 x 120 mm Quatre planches de 685 x 120 mm Deux entretoises de 1 460 x 230 mm Six entretoises de 960 x 220 mm Un parement de 1 501 x 1 004 mm Deux parements de 1 004 x 761 mm Colle, vis TF, lamelles Ruban de leds + connecteurs Peinture blanche microporeuse pour bois Photo Bricolo Factory Texte Claude Lermier

Deuxfeuilles de contreplaqué devraient permettre la construction d'un kayak de 15 pieds. Utiliser une épissure pour relier les deux ensembles de panneaux latéraux ensemble. Enveloppez la connexion dans la bande de fibre de verre et permettent au moins 24 heures pour sécher. • Couper un angle de 45 degrés de haut en bas à chaque

Le Pivert est une barque voile aviron. Le bordage en contreplaqué est monté sur une charpente longitudinale en bois noble. Il mesure 4,10 m de long sur une largeur de 1,5 m. Il pèse 135 kg. Le plan est original, c'est une exclusivité. Les Pivert décris sur cette page sont à vendre Le Pivert se décline en plusieurs versions, les principales différences sont dans les aménagements Le Pivert Promenade barque à rames et à moteur Le Pivert Sport barque voile aviron Le Pivert Randonnée barque voile-aviron dont les aménagements comportent des coffres de rangement. En fin de compte, on peut réaliser vos désirs d'aménagements parce que nous travaillons à l'unité, selon votre demande. A gauche le Pivert Promenade, à droite le Pivert Sport. Il nous est possible de vous fournir une coque structurée à aménager vous même, et il est aussi disponible à tous les stades de finition. Les photos suivantes ont été prise lors de la construction de 2 bateaux le Pivert Sport et le Pivert Rando. Le Pivert Sport à quai, en arrière plan le Morbic 11 Sommaire de la page construction des Pivert Le chantier de construction Montage de la charpente Bordage Aménagements du Pivert Sport Aménagements du Pivert Randonnée Essais des bateaux Les espars Le Pivert Rando avec ses voiles couleur Tan. Le chantier de construction Le chantier de construction consiste classiquement en longerons longitudinaux sur lesquels sont assujettis des traverses espacées selon les plans. Elles vont recevoir les gabarits de construction. Les gabarits sont alignées à l'aide d'un niveau laser, il nous permet de les monter plus rapidement qu'avec le fils à plomb et le niveau à eau. On part d'un chantier parfaitement de niveau dans tous les sens. Montage de la charpente La première cloison montée est le gabarit de tableau pour finir par l'étrave. Quelques contreventements maintiennent les cloisons afin qu'elles restent rigoureusement perpendiculaires au chantier. Elles comportent des réservations qui vont nous permettre de monter la charpente du bateau. La quille est montée en premier sur le puits de dérive et sur l'étrave. Un autre contrôle de l'écartement des cloisons est effectué surtout sur le haut. L'étrave est déjà profilée, suivant le plan, mais certaines modifications seront nécessaires. La quille et les lisses sont vissées dans l'étrave. Remarquer la lisse de plat bord qui comporte une feuillure dans laquelle le contreplaqué de bordage viendra se loger. Une fois la charpente montée, il faut l'équerrer au rabot électrique dans un premier temps, puis au rabot à main pour peaufiner les ajustages. La charpente était montée sur un gabarit de tableau afin de pouvoir les laisser dépasser lors de l'ajustage sur l'étrave. Une fois cette opération effectuée, les lisses et la quille ont été arasées pour recevoir le tableau arrière. Les renforts de plancher sont ajoutées. Ils seront collés au bordage de fond et ne demandent pas d'équerrage. Leurs longueurs et leurs formes dépendent des aménagements du bateau. Le Bordage Le contreplaqué CTBX 8 mm par 153 X 310 a été saturé époxy des 2 côtés et poncé. Les panneaux de bordage sont tracés sur place puis découpés en laissant une petite marge. Le premier bordé de fond est vissé contre la charpente sur un généreux lit de colle polyuréthane. l'étrave comporte un certain trévirage qui oblige le charpentier à utiliser des arguments convaincants pour cintrer le panneau de contreplaqué. Le bateau à une longueur de plus de 4m, les panneaux ne font pas cette longueur, donc il faut les scarfer. Ici le bordage arrière tribord avec son scarf, orienté dans le sens de la marche pardon, de la navigation. Le scarf est maintenu pendant le collage vissé sur une baguette. La lisse extérieure de plat bord sans feuillure celle-là est collée en même temps que le bordage est posé pour pincer le contreplaqué entre celle de l'intérieur feuillurée et celle de l'extérieur Vue de l'intérieur, il y aura du nettoyage, mais comment l'éviter? Le plat bord ne comporte pas de vis, il est maintenu avec des serre-joints pendant le collage. Une partie de la contre étrave consiste en lattes fines lamellée-collée sur la courbe. La contre-quille et la contre-étrave sont raccordées sur la partie lamellée. Les fraisages des vis sont bouchées avec de l'enduit. Des petites quilles d'échouage sont ajoutées pour permettre au bateau de ne pas reposer sur son bordage. Une autre quille d'échouage, en chêne celle-là. Il y a aussi un aileron sur l'arrière de la quille, juste devant le gouvernail. Prêts pour le retournement, le Pivert Rando a une charpente en chêne, il sera peint plus tard nous sommes actuellement en pénurie de sous-couche. Sans ça, il y a avantage à passer les premières couches avant le retournement. Revenons au Pivert Sport, qui lui a une charpente en sappeli. Comme nous ne manquons pas de bras et que l'ensemble n'est pas lourd, le bateau et son chantier sont retournés ensemble. Démoulage du Pivert Rando, avec le Pivert Sport en arrière plan. Une fois le chantier retiré, les cloisons sont démontées une à une, en effectuant une torsion afin de les dégager des lisses. Et puis c'est le nettoyage de la colle qui a "dégueulé". L'étrave se prolonge assez loin sur la quille. Elle est en 4 parties les scarfs de chaque partie longitudinale sont bien espacés l'un de l'autre. Aménagements du Pivert Sport Voici 2 coques nues à gauche le Pivert Rando, charpente en chêne. A droite, le Pivert Sport avec sa charpente en bois rouge sappeli. A ce stade, ils sont parfaitement similaires. En fait pour ceux qui les ont construits, ils ne sont pas pareils... Revenons au Pivert Sport. Couches de primaire, puis début d'aménagements Bancs latéraux à l'arrière, et banc à l'avant, ils seront remplis de mousse pour la flottabilité. Sous le banc arrière, il y a 2 petits coffres pour ranger... Ce qu'on veut, on a toujours des choses à ranger là, ne serait-ce que les tolets de nage. Les renforts de plats-bords peuvent aussi servir de taquets d'amarrage, comme on va le voir. Les bancs transversaux seront posés après la peinture. On a choisi une couleur grise pour les fonds. La découpe du tableau est provisoire et va évoluer*. *On verra plus tard qu'une virée en Côte D'Armor fait changer les idées. Les bancs de mât comportent des genoux pour renforts, le passage du mât a reçu sa fourrure en cuir et le pied de mât a été vissé sur la quille en mâtant le bateau pour avoir la quête requise. Les dérives ont été shapées pour les 2 bateaux. Elles vont recevoir leur traitement époxy et plusieurs couches de peinture. La dérive a pris sa place, l'axe est centré sur un renfort, le chapeau de puits est vissé sur le puits, avec un joint pour pouvoir être démontable. Les trous pratiqués dans les renforts d'angle permettent de recevoir un tolet en acacia et ainsi servir de taquet d'amarrage. La boucle en dynema servira au point d'amure du foc. Le bateau comporte 2 pieds de mât pour une utilisation voile au tiers seule, ou voile et foc. Dispositif de nage. Le tolet en acacia est polyvalent, il sert autant à l'avant qu'au milieu ou à l'arrière. Nous avons commencé avec des fûts d'avirons carré, pour s'apercevoir rapidement que c'était une contrainte inutile, et sommes repassés à des fût ronds. Le Pivert sport a un cockpit pour l'équiper plus spacieux que dans la version rando. les petits équipés servent notamment à ranger les tolets. La voila, la solution pour que le tableau puisse recevoir le gouvernail et le petit moteur, elle a été adopté, entre autre, par les bateaux aperçus au mouillage à Carantec le tableau arrière est ouvert sur tribord. Remarquez l'engoujure de godille avec sa fourrure en cuir. Aménagements du Pivert Randonnée L'aménagement du Pivert Randonné commence avec une cloisonnette contre le puits de coffres arrières sont remplis de mousse de flottabilité. Le banc des pieds de mât est renforcé par des tasseaux. Les pieds de mât ont été positionnés avec le banc et le mât en place. On voit des grands bancs latéraux dégagés, un petit banc de nage réduit, et un large banc de mât dans lequel est incorporé la mousse de flottabilité. L'avant comportera un plancher, le mouillage pourra être stocké dessous. La tête de gouvernail est en aluminium, le safran en contreplaqué profilé. L'ensemble est sobre et fonctionnel. Les hauts sont en chêne, le tableau en acacia, le tout lasuré chêne clair. Nous progressons sur la peinture, nous sommes passés à la peinture au pistolet. L'erseau du haut en dynema sert au point d'amure du foc, celui du bas est l'attache de la sangle pour monter le bateau sur la remorque et peux être utilisé pour le mouillage. Les espars Les espars des Piverts sont les suivants un mât auto-porteur, une vergue. Pas de bôme. Une paire d'avirons qui peuvent aussi servir de godille. Peut-on faire plus simple? Essais des bateaux Le Pivert Promenade avec un moteur électrique. Le Pivert Randonnée est prêt pour la mise à l'eau.
Lerésorcinol semble être la meilleure colle pour la construction de bateaux en bois, mais il est toxique. Époxy est très bon mais peut être dangereux. Également demandé, quelle colle est utilisée pour le contreplaqué marin? Bien qu'aucun contreplaqué spécifiquement marin ne soit fabriqué, le contreplaqué extérieur utilise du Phonol Formaldéhyde comme composant de sa

Contreplaqué okoumé – Crédit Rougier Photo Thebault Essor de l’industrie française Le véritable envol du contreplaqué en France survient durant la première guerre mondiale le matériau, léger et remarquablement stable, intéresse grandement l’industrie aéronautique pour la construction des avions. Pourquoi ? Parce que le contreplaqué offre d’excellentes performances mécaniques sans alourdir les appareils. Les industriels, déjà au fait de la technique du déroulage avec le peuplier ont fait évoluer l’outil industriel, devenu de plus en plus performant. Parallèlement, la ressource se diversifie avec l’exploitation d’une nouvelle essence, particulièrement légère et résistante, l’okoumé. Un transfert technologique permet d’appliquer la technique du déroulage à cette essence exotique qui permet alors à l’industrie du contreplaqué de s’imposer sur de nouveaux marchés, notamment les usages extérieurs. L’évolution constante des colles, l’innovation en termes de process de fabrication et les améliorations continues de l’outil industriel ouvrent la voie de la diversification, avec une large gamme de panneaux répondant à une multitude d’usages. Aujourd’hui, le contreplaqué a su s’imposer comme un matériau performant, fiable et polyvalent. On le retrouve aussi bien en structure de bâtiment qu’en aménagement intérieur, en caisserie pour le transport de pièces ou produits industriels qu’en agencement de bateaux. Les applications sont légion. La fabrication contrôlée et les progrès réalisés par les colles en font un panneau industriel de grande qualité qui se distingue par ses performances et sa grande stabilité dimensionnelle, même en usage extérieur. La marque de qualité NF contreplaqué EXTERIEUR CTB-X basée sur la norme NF Contreplaqué atteste, par ailleurs, de ces performances et de la capacité d’un panneau contreplaqué à être utilisé en extérieur. Aujourd’hui, le contreplaqué a su s’imposer comme un matériau performant, fiable et polyvalent. Innovation internationale Le panneau de contreplaqué est aujourd’hui un matériau industriel fabriqué selon un procédé technologique hautement contrôlé. Ses prémices remontent à la plus haute antiquité. On trouve ainsi les premières traces d’utilisation de feuilles de bois minces collées entre elles en Egypte Ancienne 3000 ans avant notre ère. La Rome Antique a également mis à profit les vertus de l’ancêtre du contreplaqué, que l’on retrouve dans la fabrication des boucliers. Quelques milliers d’années plus tard, en 1881, Fitzland L. Wilson dépose un brevet aux Etats-Unis pour l’invention d’une nouvelle machine la dérouleuse était née. Elle allait permettre de rationaliser l’opération de déroulage des grumes et d’intensifier la production de minces feuilles de bois. Mais le véritable tournant intervient quelques années plus tard, en 1884. Un autre brevet est déposé en Angleterre par Witkowski le collage des feuilles de bois à plis croisés à l’aide de colle caséine. Cette invention ouvre la voie à la fabrication industrielle de panneaux de grande dimension. De la fin du XIX° siècle au début du XX°, le panneau contreplaqué s’installe en Russie, en Finlande et en Europe centrale. Pourquoi ? Parce que ces pays disposent à profusion de bois facilement déroulable comme l’épicéa ou le bouleau. En France, l’industrie connaît un premier développement au tout début du XX° siècle, avec le déroulage du peuplier, essentiellement utilisé pour l’emballage. Le véritable essor de l’industrie intervient quelques années plus tard avec l’arrivée d’une autre essence l’okoumé. 1881 Fitzland L. Wilson dépose un brevet aux Etats-Unis pour l’invention d’une nouvelle machine. Photo Drouin Photo Drouin

Construire son bateau en bois” : un nouveau livre sur la construction navale ! 29 le safran en contreplaqué a littéralement explosé, la mèche ayant rouillé à l’intérieur de la pelle. C’est parti pour . Emma, voile-aviron de 16 pieds – 2e partie 3 November 2019 to 0. Dans un premier article Emma, voile-aviron de 16 pied sur plan Gartside, je vous avais montré la Propriétés physiques du contreplaqué La masse volumique du contreplaqué peut être calculée à partir de la masse volumique des placages qui le composent selon NF EN 323. Soulignons qu’un ratio performances mécaniques/légèreté distingue tout particulièrement le contreplaqué. Les masses volumiques moyennes des contreplaqués sont 450 kg/m³ pour un 100% Peuplier 500 kg/m³ pour un 100% Okoumé 600 kg/m³ pour un 100% Pin Maritime. Le taux d’humidité du contreplaqué est mesuré, comme pour le bois massif, par rapport à la masse anhydre selon NF EN 322. Le taux d’humidité courant d’un contreplaqué oscille entre 7 et 13 %. Le comportement hygroscopique du contreplaqué est relativement similaire à celui du bois massif. Cependant, du fait de la présence de colle, la teneur en humidité du contreplaqué varie moins rapidement. L’équilibre hygroscopique du contreplaqué est inférieur de 1 à 2% à celui du bois massif. Les variations d’humidité d’un panneau selon les variations hygrométriques de l’air se traduisent par des variations dimensionnelles. Pour le contreplaqué, ces variations dimensionnelles sont anodines et largement inférieures à celles du bois massif. Cette stabilité dimensionnelle est due à deux facteurs la présence de colle, qui fait écran à la pénétration de l’humidité le croisement des fils du bois qui contrarie le retrait tangentiel Caractéristiques mécaniques du contreplaqué Cisaillement parallèle aux faces vérification de la qualité du collage avec un test de traction parallèle aux faces, entrainant le cisaillement des plis encollés. Les résultats sont exprimés en N/mm2 Résistance en flexion et module d’élasticité traduit la rigidité des panneaux et sert de base de calcul de la flèche des panneaux travaillants. Résistance à l’humidité traduit le comportement du contreplaqué en milieu humide ou extérieur. Ce comportement est étroitement lié à la qualité du collage. Pour mesurer cette résistance, les échantillons sont immergés dans l’eau selon un temps défini en fonction de la classe de collage avant essais de cisaillement. Quelques caractéristiques complémentaires Tenue des vis La résistance à l’arrachement des vis dans les faces et les chants est une caractéristique importante des panneaux contreplaqués, dans la mesure où elle détermine la tenue des systèmes d’assemblage vissés. Dureté La dureté Monnin N est mesurée par une profondeur d’enfoncement dans le panneau d’un cylindre d’acier de 30 mm de diamètre sous une pression donnée. Tenue des pointes L’essai de tenue des pointes est effectué selon la norme française B 51-356 afin de mesurer l’effort nécessaire à l’arrachement en Newtons. Contreplaqué cintré – Photo Rougier
Peutêtre la meilleure méthode de construction de bateaux en bois pour le constructeur do-it-yourself est appelé un point-et-colle. Avec cette méthode, le propriétaire coupe des morceaux de contreplaqué, les assemble avec fil mince, colles les coutures avec de la pâte d'époxy et couvre les coutures avec tissu de verre enduit d'époxyde. Construire un bateau assez grand pour l'eau
Si à l’origine le bois était utilisé et apprécié dans sa forme brute, il est aujourd’hui plus travaillé et se décline en de multiples versions. Matériau moderne fait en bois, le contreplaqué est aujourd’hui présent dans la conception de nombreux objets du quotidien. Pour les fabricants de meubles, il s’agit d’un matériau de choix du fait de ses nombreux avantages. Pour les professionnels de la décoration d’intérieur, l’utilisation du contreplaqué laisse une grande place à l’imagination et à la création. Amateurs du bricolage ou professionnels, découvrez plus d’informations sur ce matériau aux multiples atouts. Plan de l'articleContreplaqué qu’est-ce que c’est précisément ?Avantages et inconvénients du contreplaquéQuelles utilisations pour ce matériau ?Les différents types de contreplaquésContreplaqué et décoration comment l’utiliser ? Contreplaqué qu’est-ce que c’est précisément ? Encore appelé panneau en contreplaqué, le contreplaqué est un ensemble de plusieurs feuilles minces de bois, superposées et collées ensemble sous pression. D’épaisseur variable, il est utilisé pour effectuer plusieurs travaux non réalisables avec le bois brut en raison de la rigidité de ce dernier. Notons que le nombre de feuilles de bois constituant un contreplaqué est toujours impair. La raison en est que le contreplaqué est composé d’une feuille centrale appelée âme et d’autres feuilles de même nombre disposées de part et d’autre de l’âme du matériau. C’est ce facteur qui garantit au matériau une bonne stabilité. A découvrir également Quel matériau choisir pour une porte-fenêtre ? Plusieurs essences de bois sont utilisées pour obtenir un contreplaqué. Certains bois sont tendres, et d’autres plus durs. Les bois durs sont connus pour être les plus coûteux. Parmi les essences de bois utilisées pour concevoir un contreplaqué, vous trouverez de l’okoumé, pour un rendu exotique du hêtre, du pin, du sapin de Douglas, du bouleau, mais aussi du peuplier Comme vous pouvez le découvrir sur des découpes précises de contreplaqué permettent de réaliser tous types de travaux, et ce, quel que soit le type de bois. Nous précisons que la qualité du contreplaqué est fonction de plusieurs facteurs tels que l’épaisseur des feuilles de bois, ou encore le type de colle utilisée. Lire également Quelle est la meilleure marque de store banne ? Si le contreplaqué séduit autant les petites sociétés que les grandes industries, c’est en raison de ses caractéristiques uniques, mais aussi parce qu’il permet une multitude d’utilisations. De même pour les particuliers. Avantages et inconvénients du contreplaqué L’un des principaux avantages du contreplaqué est son aspect esthétique. En effet, ce matériau est plus raffiné que le bois brut grâce aux différences essences de bois qui le composent. Il est à la fois léger, plus souple et flexible il est donc facile à manier. Cet avantage fait de lui un matériau résistant et polyvalent qui s’adapte à tous types de travaux. Il peut ainsi vous permettre de concevoir plusieurs modèles de meubles. Il est parfait si vous souhaitez faire du bricolage chez vous avec du bois. Aussi, vous pouvez le personnaliser à votre guise. Le contreplaqué a l’avantage d’être facile à peindre. Il adhère facilement à différents peintures et vernis. Avant de peindre votre contreplaqué, nous vous recommandons de le poncer avec du papier de verre. Le contreplaqué est un matériau qui résiste assez bien à la chaleur, à l’humidité et aux intempéries. Il est durable et représente ainsi un très bon investissement, et avec un rapport qualité/prix intéressant. Ce matériau peut être appliqué tant en intérieur qu’en extérieur. Utilisé en revêtement de sol, il est facile à entretenir. De plus, le contreplaqué est un matériau respectueux de l’environnement, le bois étant totalement naturel. Par ailleurs, il présente un gros avantage financier. Le contreplaqué est en effet moins coûteux que le bois brut. S’il y a bien un aspect qui peut se révéler négatif pour le contreplaqué, c’est la nocivité des produits parfois utilisés pour le traitement du bois. Quelles utilisations pour ce matériau ? En raison de ses nombreux avantages, le contreplaqué est utilisé dans plusieurs domaines. Il est majoritairement présent dans les secteurs de la construction et de la fabrication de divers équipements, et dans bien d’autres encore. D’une manière générale, le contreplaqué sert dans des domaines tels que la menuiserie, pour fabriquer des portes et meubles, la construction des maisons, comme revêtement des murs aux sols, la réalisation et la rénovation de planchers, toitures, façades, l’aménagement et la décoration d’intérieur, le transport, pour réaliser des caisses d’emballage. Le contreplaqué entre également dans l’aménagement de véhicules de transport. Il est également présent dans l’industrie nautique où il sert dans la fabrication des coques de bateaux. Les différents types de contreplaqués Le contreplaqué peut être constitué de plusieurs feuilles de bois différents, ou du même type de bois. Il existe plusieurs types de contreplaqués le contreplaqué de coffrage, le contreplaqué d’intérieur, ou contreplaqué standard qui est utilisé en intérieur et pour fabriquer des meubles, le contreplaqué d’extérieur, plus épais et résistant que le contreplaqué d’intérieur. Il existe un autre type de contreplaqué appelé le contreplaqué marin, en référence à sa capacité à résister à l’eau. D’autre part, un contreplaqué de bonne qualité se reconnait à son épaisseur. Dans le monde de la décoration, le contreplaqué offre de très nombreuses possibilités. Comme mentionné précédemment, il est très souple et facile à travailler. Il est donc flexible pour réaliser de beaux effets décoratifs. D’ailleurs, son aspect économique en fait un matériau très populaire. Pour les amoureux de la décoration chic et sobre, le contreplaqué représente une valeur sûre. En revêtement de sol tout comme au plafond, le contreplaqué permet d’allier à la fois beauté et originalité. En décoration murale, des panneaux de contreplaqué tout le long des murs offrent un bel effet. Vous pourrez le personnaliser à votre guise. Aussi, le matériau s’invite dans les rangements, avec des armoires, caisses, bibliothèques, meubles de cuisine et étagères aux designs simples ou originaux. Vous pouvez même concevoir des rangements modulables. Pour donner du charme à votre espace, vous pouvez installer des escaliers en contreplaqué. Si le bois brut sert à concevoir des œuvres d’art, le contreplaqué offre encore plus de libertés principalement pour les passionnés de DIY. Vous pouvez par exemple réaliser des tableaux d’art et des objets de décoration en tous genres chez vous. La tête de lit fait partie des éléments de décoration les plus tendance. Pour son design raffiné, le contreplaqué est souvent utilisé pour les concevoir. Pour donner encore plus de charme à votre contreplaqué, nous vous conseillons de le peindre aux couleurs de votre choix. Enfin, si vous devez stocker votre contreplaqué, nous vous conseillons de le poser dans un endroit propre et sec. rNcBhg.
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