DepuisdĂ©but avril, des dizaines de jeunes sont victimes de mystĂ©rieuses piqĂ»res en boite de nuit ou lors de festivals. Les plaintes s’accumulent, des enquĂȘtes sont en cours, entre sentiment de psychose et mystĂšre complet. On vous dit tout sur ce phĂ©nomĂšne. Alors que les gĂ©rants de boite de nuit se remettent tout juste de la crise du
InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș 3pm, garden district. Your sister want you to be here. Please don’t be late. Message envoyĂ© aprĂšs avoir pris soin de supprimer les prĂ©cĂ©dents, leurs secrets Ă  eux. Un ton qui se fait autoritaire et le plus neutre possible, des mots qui en cachent d’autres. I want you to be here. VĂ©ritĂ© qui fait mal au cƓur, des mots qu’il ne prononcera pas parce qu’il ne peut pas. Teodora l’entoure de ses bras tandis que Viktor hoche de la tĂȘte pour lui assurer qu’il a bien envoyĂ© le fameux message. Le parfum de sa femme vient chatouiller ses narines tandis que l’esprit pense Ă  Candace, Ă  la limite de lĂącher un rĂąle, il se dĂ©fait de son Ă©treinte en prĂ©tendant devoir aller se prĂ©parer pour cet aprĂšs-midi. Une fois Ă  l’étage, dans la chambre du couple, le blondinet observe son Ă©cran, le prĂ©nom de Candace spĂ©cifiquement. Restant ainsi quelques instants, il arrive Ă  apercevoir le sourire de la belle et son rire. Bon Dieu, son rire. Un frisson lui parcoure l’échine tandis qu’il pose son smartphone sur sa table de nuit et qu’il rejoint la salle de bains. L’eau brulante coure le long de son cƓur, vient marquer ses Ă©paules d’une rougeur avant qu’il ne sorte pour se sĂ©cher. Lorsqu’il revient dans la chambre, encore dĂ©goulinant, il rattrape son tĂ©lĂ©phone dans l’unique espoir d’avoir eu une rĂ©ponse. Son visage ne s’éclaire lorsqu’il revoit ce fameux prĂ©nom apparaĂźtre. Seulement, il n’ira pas lui dire qu’il est content d’avoir de ses nouvelles ou qu’il est excitĂ© Ă  l’idĂ©e de la revoir. Non, il rĂ©pondra par un simple Thanks » avant de lĂąher ce foutu tĂ©lĂ©phone et de rĂ©ellement se prĂ©parer. Le blondinet dĂ©cide de s’habiller d’un pantalon noir et d’une chemise blanche, manche retroussĂ©e bien rapidement. Viktor doit se montrer Ă©lĂ©gant, pas pour le wedding planner, mais bien pour les camĂ©ras qui les prendront par surprise une fois la porte franchie. Le couple quitte la maison une trentaine de minutes plus tĂŽt et conduisent jusqu’au Garden Disctrict oĂč le planificateur les attend. D’aprĂšs ces messages, la salle est parfaite et pourrait leur convenir. Une fois les portes franchies, Viktor et sa femme dĂ©couvre une salle aux couleurs blanchĂątres et oĂč la verdure est reine. Sourires aux lĂšvres, le couple fait un tour avant de retourner Ă  l’entrĂ©e. Ses yeux s’arrĂȘtent sur une silhouette bien connue, celle de Candace, la sƓur de Teo. Instinctivement, son sourire s’agrandit et ses yeux vacillent sur son corps. Dieu ce qu’il aime ce foutu corps. Il mord lĂ©gĂšrement sa lĂšvre avant de se reprendre et d’attraper sa femme par la taille, pour ne pas se faire attraper. You came. LancĂ© pour la jeune femme, le ton aussi neutre qu’il puisse l’ĂȘtre et le regard qui en dit long. Elle est lĂ . [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 1706 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș 3pm, audubon aquarium warehouse district. alors qu’elle profite du dĂ©chargement quotidien des caissons de nourritures des phoques pour se frayer discrĂštement un chemin vers les vestiaires des employĂ©s, la voix rauque de son patron vient hĂ©risser ses poils. son physique avait beau s'apparenter Ă  celui d’un lamantin plus renflĂ© que ses congĂ©nĂšres, ses yeux restaient les plus efficaces des radars et la plus grande hantise des retardataires et autres mĂ©diocres employĂ©s.— $10 off my salary, I know, lĂąche-t-elle nĂ©gligemment en pressant le pas en direction de sa loge avec l’envie viscĂ©rale d’attraper un stylo au fond de son sac et de rĂ©diger, sur le bon de commande que le livreur s’apprĂȘtait Ă  remettre Ă  son patron, sa lettre de geste las elle dĂ©tache ses cheveux, prĂ©alablement tressĂ©e pour arborer de lĂ©gĂšres ondulations, et s’empresse d’enfiler son bikini coquillage Ă©meraude en latex synthĂ©tique, vĂ©ritable purgatoire pour le semblant de poitrine dont elle est dotĂ©e. un smoky vert-bleutĂ© plus tard, elle dĂ©pose quelques bijoux de peau sur son front et ses pommettes pour finaliser sa mĂ©tamorphose et ne peut s’empĂȘcher de se faire la rĂ©flexion que jouer Ă  la camgirl quelques soirs par semaine serait sans nulle doute moins minutes avant le dĂ©but de sa reprĂ©sentation. le temps de fumer une derniĂšre cigarette avant de devoir supporter le regard discrĂštement lubrique du pĂšre de famille qui accompagne candidement ses mĂŽmes et les cris encore audibles de ses derniers quant bien mĂȘme fĂ»t-elle immergĂ©e Ă  trois mĂštres de profondeur. alors qu’elle quitte les loges pour traverser le parc et rejoindre son bassin, elle entend son portable le wedding planner. la salle. sa soeur. n’a pas le temps de laisser d’écouler d’entre ses lĂšvres la moindre injure qu’elle rebrousse dĂ©jĂ  chemin en direction des vestiaires pour revĂȘtir une tenue plus adĂ©quate. un sms Ă  son patron et quelques nombreuses limitations de vitesses dĂ©passĂ©es plus tard, elle pĂ©nĂštre, encore haletante, dans la salle savamment dĂ©corĂ©e pour l’occasion. — did you forget again? la voix de sa soeur se veut gentiment rĂ©prĂ©hensible.— me? you kidding qu’elle lĂąche, dĂ©sinvolte, en arrachant le bijou de peau, malencontreusement oubliĂ© sur sa joue, qui semble tant amuser son aĂźnĂ©e.— you could’ve let me know earlier qu’elle chuchote innocemment Ă  l’oreille du blond, comme une enfant prise la main dans le sac ou l’amante prise de court, tout dĂ©pend du point de vue. like yesterday between two orgasms, qu’elle manque d’ajouter, prĂ©fĂ©rant alors se contenter d’un sourire tout aussi parlant. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2319 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș - Did you forget again ? La voix de sa femme brise le silence qui a eu lieu aprĂšs que la voix de Viktor ne se soit fait entendre. Il arrive Ă  sentir l’atmosphĂšre se refroidir et serre la mĂąchoire. Il connaĂźt les liens qui unissent les sƓurs et n’a jamais pu amĂ©liorer le tout. Il caresse le dos de Teodora comme pour la garder calme. Il ne veut pas que ce moment devienne un cauchemar vivant. De plus, le blond n’oserait pas s’interposer entre les deux il sait qu’elles peuvent toutes les deux devenir des furies une fois Ă©nervĂ©e et n’aimerait pas faire part de ce spectacle horrifique. Candace en joue et Viktor prĂ©fĂšre arborer un visage sĂ©rieux qui ne laisse rien prĂ©sager. La belle a beau ĂȘtre en retard, elle a quand mĂȘme pris la peine de venir et Viktor lui en est reconnaissant. Lorsque les mots sont soufflĂ©s par la princesse, la blonde frisonne. L’effet qu’elle lui fait est indĂ©niable. Nier serait se mentir Ă  soi-mĂȘme. Candace lui fait de l’effet et sa voix pourrait lui faire faire n’importe quoi. - Honey maybe you should go after the wedding planner? I don’t know where he went and there’s a few things we should discuss. Pretty please? Sourit-il, lui glissant ces mots Ă  l’oreille avant de l’embrasser tendrement. Dans ses yeux, on lit qu’il fait ça pour la calmer, mais on ne lit pas qu’il veut se retrouver seul avec la gamine. Mais y’a-t-il d’autres raisons ? Évidemment que oui. Lorsque sa femme disparait, le regard bleutĂ©e de l’homme se tourne sur le corps de Candace. - She’s mad. Ça sonne comme un reproche et l’humeur de Teo semble avoir dĂ©teint sur l’humour du blondinet. La mĂąchoire serrĂ©e, il souffle avant de rouler des yeux. Il ne veut pas ĂȘtre cet homme, ne veut pas lui faire de reproches et aimerait que tout se passe bien en cette journĂ©e. Il se doit d’enfermer l’oisillon libre, rien qu’un instant. Il aimerait lui dire qu’il est content qu’elle soit lĂ , qu’il est heureux de la revoir, qu’elle est terriblement belle et qu’il n’a qu’une hĂąte la retrouver un soir pour pouvoir lui montrer Ă  quel point il est heureux de l’avoir Ă  ses cĂŽtĂ©s. - I texted you. I told you to come at 3 so why are you so late? Damn it. PartagĂ© entre sa femme et Candace, sa main vient s’enfuir dans ses cheveux bien coiffĂ© plus tĂŽt. Un souffle inaudible franchit ses lĂšvres tandis que ses prunelles viennent dĂ©fier les siennes. AprĂšs un moment de silence et plusieurs mordillements Ă  l’intĂ©rieur de sa joue, le blond fini par siffler - I’m happy to see comme c’est vrai, Ô comme il ne peut s’empĂȘcher de lui avouer ce qui le ronge depuis la minute oĂč elle a franchi la porte. - Maybe you’d like to see more of this? Dit-il en dĂ©signant la salle et les tables. Viktor veut juste fuir de cette situation par peur de causer une gĂȘne entre les deux. Fuir, son maĂźtre mot. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2326 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Ses mots enrobĂ©s d’une miĂšvrerie Ă  lui provoquer des haut le coeur, la cavalcade conciliante de sa main droite le long d’un dos qui devrait ĂȘtre le sien et son regard aqueux qui se perd dans les prunelles d’une autre, si la situation n’était pas si confuse et alambiquĂ©e, ses ongles finement manucurĂ©s seraient dĂ©jĂ  plantĂ©s Ă  mĂȘme sa chair, voir affairĂ©s Ă  lui crever les yeux. Comme il lui crĂšve le coeur, Ă  cet instant prĂ©cis. Si il lui appartenait, si il Ă©tait sien, uniquement sien, elle ne parviendrait pas Ă  supporter ce manĂšge. Mais pour l’heure, c’est la rĂ©alitĂ© qui est leur qu’elle doit supporter, et les frĂ©quentes sautes d’humeur de la future mariĂ©e en font aisĂ©ment mad.— Really ?Elle lĂšve les yeux au ciel, faussement Ă©tonnĂ©e. Comme si elle avait attendue que le scandinave ne dĂ©barque dans la vie des Lane pour s’en rendre compte. Il n’empĂȘche que la remarque du blond Ă©tire ses lippes charnues d’un lĂ©ger sourire. Elle devait bien l’admettre, il lui avait cruellement manquĂ©. Quand bien mĂȘme leur derniĂšre retrouvaille ne remonte Ă  quelques heures, une vingtaine tout au plus, quand bien mĂȘme cela fasse d’elle une soupirante dĂ©jĂ  certainement trop Ă©prise de son amant maudit, quand bien mĂȘme un seul de ses regards ne suffise Ă  la rendre bĂȘte, cruche, saugrenue, idiote, d’amour, peut-ĂȘtre.— I’m a mermaid, "honey" qu’elle laisse siffler comme une Ă©vidence, sans prendre la peine de rĂ©primer la jalousie qui empourpre lĂ©gĂšrement ses joues. Mermaids are always happy to see you.— Glad to hear marque une pause, le dĂ©fie Ă  son tour, entre impertinence et fiertĂ© faussement dissimulĂ©e. La blonde veut lui faire ployer le genou, le condamner pour s’ĂȘtre entichĂ©e de la mauvaise des Lane. Caprice irraisonnable qu’elle se trouve bien incapable de rĂ©primer.— I must say that I thought that it’s the work of your wedding that makes you so happy, son regard se pose sur ses lĂšvres, remonte malicieusement jusqu’à se perdre un bref instant dans les yeux du blond. Maybe I’d rather see something more interesting than her wedding?Jalousie quand tu nous tiens. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2328 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Viktor est sĂ©rieux et tente de le rester. Il sait de quel cĂŽtĂ© se ranger et lorsqu’elle lui rĂ©pond par un simple really ? Ă  sa constatation, Viktor secoue sa tĂȘte. Il ne supporte pas Candace quand elle est ainsi avec sa sƓur. Il sait qu’entre elles, ce n’est pas tout rose. Ô Dieu ce qu’il aimerait changer cela, mais il ne peut rien faire. Il n’a pas la force de supporter ce drame familial quand il ne prĂȘte mĂȘme pas attention Ă  sa propre famille. S’il peut appeler ça une famille, qui plus est. Teo est tonnerre et cela semble amusĂ©e sa cadette, mais seulement elle. Ses prunelles bleutĂ©es roulent et un souffle dĂ©sespĂ©rĂ© franchit ses lĂšvres lorsqu’il rĂ©alise que ce n’est pas sa bataille et qu’il n’a pas envie de se battre, en vain. Elle vient expliquer son retard, disant que c’est une sirĂšne et il arrive Ă  entendre l’intonation mise sur le mot honey, intonation qui ne lui plait guĂšre. Il aimerait lui demander d’arrĂȘter de se foutre de sa gueule, mais pourra-t-elle un jour ? ArrĂȘter de se foutre du monde qui l’entoure ? ArrĂȘter de s’amuser d’autrui ? Il ne pense pas. Et encore une fois, c’est une bataille esquivĂ©e. - Try not to be late next time. It’s important for her. Et pour lui, est-ce que ça l’est ? Il ne le prĂ©cise pas, ne prĂ©fĂšre pas en parler. Bien qu’il ait fait la demande, Viktor reste secrĂštement mitigĂ©. Il ne sait pas si ce qu’il fait est la bonne chose Ă  faire et prĂ©fĂšre ne pas y penser, mĂȘme si ça lui revient souvent en mĂ©moire et qu’il se torture avec une tonne de questions. Il sait que ce mariage est important aux yeux de sa femme, il sait qu’elle veut un mariage parfait, sans dĂ©fauts. Un mariage qui reflĂšte leur union, sans savoir qu’elle est pleine d’imperfections, pleines de mensonges et de non-dits. Il aurait pu ĂȘtre niais en disant qu’ils formaient le couple parfait, mais depuis l’arrivĂ©e de Candace dans sa vie, il arrive Ă  voir tout ce qu’il manque, tout ce qu’il n’a pas et qu’il aimerait avoir. Reprise des habitudes, Candace vient le chercher ; avec sa douce voix, elle laisse prĂ©sager plein de perversitĂ© et elle sait Ă  quel point ça l’excite. DĂ©mone aux allures de princesse, elle reflĂšte la provocation, la sensualitĂ© et l’envie. Elle n’est pas douce, fragile et que sais-je, mĂȘme si Viktor aime encore la traiter ainsi. Elle est dangereuse. Elle est tentation lĂ  oĂč il succombe. - No, no, no. Not here, not now. Stop doing what you’re doing
 Il l’observe, ses iris se stoppant sur ses lippes rosĂ©es. Elle est magnifiquement belle. - With thoses lips, with that voice- Il dĂ©glutit, recule lĂ©gĂšrement d’un pas, pas plus. Il sait qu’elle l’a emprisonnĂ© et qu’elle peut faire de lui ce qu’elle dĂ©sire et c’est ce qui l’effraie le plus. Il ferme ses yeux, secoue sa tĂȘte et souffle un bon coup. - We should go after Teo. Parce qu’il sait qu’aux cĂŽtĂ©s de Teodora, il est plus en sĂ©curitĂ©, qu’elle ne tentera rien d’indĂ©cent. Certes, l’envie de rester Ă  ses cĂŽtĂ©s et de lui faire vivre une partie de jambe en l’air existante sur l’un des quatre murs est allĂ©chante, mais il ne pourrait se le permettre aujourd’hui. Pas quand sa sƓur est Ă  quelques mĂštres d’eux, pas quand celle-ci est si heureuse, pas aujourd’hui. Il se triture les mains et tente, en vain, de dĂ©tourner son regard. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2332 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Try not to be late next time. It’s important for roule des yeux, demeure silencieuse, ravale sa fiertĂ© et tait les les virulents sarcasmes qui ne demandent qu’à dĂ©couler d’entre ses lĂšvres. Comme si elle craignait de tout gĂącher en ouvrant la bouche. Elle avait beau avoir parfaitement conscience de la position peu confortable dans laquelle elle le mettait, il n’empĂȘche qu’elle ne pouvait s’abstenir de lui faire part de son mĂ©contentement. Et plus encore de la jalousie qui ne demandait qu’à embraser tout ce qui pouvait les entourer. Soeur pour l’heure, elle Ă©tait prĂȘte Ă  faire un effort et balayer, rien que pour ses beaux yeux, ses Ă©tats d’ñme Ă©goĂŻstes. No, no, no. Not here, not now. Stop doing what you’re sent ses iris parcourir son visage, se perdre sur ses lĂšvres et, espiĂšgle, ne peut s’empĂȘcher d’y laisser courir sa langue. Juste un instant, un court instant, histoire de lui faire comprendre qu’il est Ă  sa merci, qu’il est dĂ©jĂ  trop tard. Un coup de langue qui suffit Ă  leur rappeler Ă  quel point le manĂšge auquel ils se prĂȘtent est dangereux, Ă  quel point ils finiront par s’en mordre les doigts. Au fond d’elle, elle le sait, en est intimement convaincue, ils ne peuvent que courir Ă  leur perte et sombrer. Ensemble. With thoses lips, with that voice-Il recule d’un pas, elle s’avance, fĂ©line, sans pour autant Ă©veiller les soupçons, toujours en flirtant aux abords des limites de l’indĂ©cence.— I do nothing, Viktor. I’m just talking to my brother-in-law, les mots glissent, suaves, se confondent dans un souffle qu’elle veut entrecoupĂ©. should go after Teo.— She has better things to do. And I want you all to ne lui laisse pas le temps de rĂ©pliquer et s’élance, guillerette, au centre de la salle. Jusqu’à disparaĂźtre derriĂšre une colonne florale, prenant le temps de rouler des hanches avant de se dĂ©rober.— What the hell is that?Et la sirĂšne l’attire. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2333 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Il sait qu’elle se joue de lui en disant qu’elle ne fait rien si ce n’est que parler Ă  son beau-frĂšre. Elle a ce don pour se jouer des gens que Viktor dĂ©teste, mais qu’il aime tout autant. Elle se fait malicieuse et joueuse. Deux traits de caractĂšre que Viktor a bien vite cernĂ© chez-elle, dont il s’est jouĂ© lui-aussi au dĂ©but et qu’il continue d’explorer plus les nuits passent. Lorsque ses mains agrippent ses hanches, il n’est pas rare qu’il pense Ă  toutes les fois oĂč elle a Ă©tĂ© mauvaise ou toutes les fois oĂč elle s’est jouĂ©e de lui lorsqu’il ne fallait pas. Mine, soufflĂ© prĂšs de son oreille. Un frisson lui parcourt l’échine et ses muscles se tendent. Elle ne peut pas faire ça, pas maintenant. Elle ne peut pas jouer la possessive quand il est prĂȘt Ă  se donner corps et Ăąme Ă  sa sƓur dans quelques semaines. - Cassandra. SoufflĂ© comme un supplice, il prie pour qu’elle arrĂȘte. Et pourtant, ce soir, il la suppliera de l’appeler sien. L’ñme paradoxale, un enfant qui ne sait pas ce qu’il dĂ©sire. PrĂ©nom sifflĂ© comme pour lui demander de l’épargner tout en sachant qu’il nourrit son esprit malsain. Les diffĂ©rences entre Teo et Candace sont nombreuses, mais le caractĂšre des deux reste la chose oĂč il rencontre plus de divergence. Teo est plus sage, moins joueuse, plus pure. Chez Candace, il retrouve ce jeu malsain et cette dangerositĂ©. En jouant avec la belle, il joue avec le feu et Dieu ce qu’il aime se brĂ»ler les doigts. - We shouldn’t- Il la veut, c’est certain. Mais le suĂ©dois est plus raisonnable que la gamine. Il ne peut faire ça Ă  sa femme alors qu’elle est Ă  quelques mĂštres. SĂ»rement lĂąche de ne pas se lancer Ă  cause du danger, Viktor tente par tous les moyens de fuir. Pourtant, il sait Ă  quel point il la dĂ©sire, mais sait Ă  quel point il ne peut la possĂ©der en ce moment-mĂȘme. Les mots se perdent et la belle se glisse au milieu de la salle. Le blondinet s’avance, sait dans quel jeu il s’engage. - Don’t you like it ? LĂ©gĂšrement vexĂ©, peur que la salle ne lui plaise pas. Il aurait aimĂ© avoir des compliments de sa part et ne veut pas la voir cracher sur la salle qu’il pensait ĂȘtre leur salle. Bizarrement, Viktor tente de lui plaire plus qu’il n’essaye de tenter sa femme. Malicieuse, derriĂšre une colonne florale, elle l’attire comme la plus douĂ©e des sirĂšnes. Il ne peut y rĂ©sister. - Or is it your jealousy that is speaking? Pique lancĂ©e dans l'unique but de marquer un point dans ce jeu malsain. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2334 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Don’t you like it?Elle parvient Ă  dĂ©celer une bribe de contrariĂ©tĂ© dans le timbre de sa voix et ne peut s’empĂȘcher de froncer les sourcils, jusqu’à Ă©tirer son faciĂšs d’une lĂ©gĂšre moue de dĂ©goĂ»t. Ce serait ĂȘtre de mauvaise foi que de trouver Ă  redire sur la salle. Si il y avait bien une chose qu’elle ne pouvait retirer Ă  sa soeur, c’était son sens artistique et, couplĂ© Ă  celui du suĂ©dois, le rendu final ne pouvait qu’ĂȘtre Ă©poustouflant. LĂ  oĂč elle aurait peinĂ© Ă  se dĂ©cider, quand bien mĂȘme eĂ»t-elle engager le meilleur wedding planner de Louisiane, ces deux lĂ  Ă©taient capables d’exceller. Ils Ă©taient faits pour ĂȘtre ensemble, c’était indĂ©niable. Et, elle, Ă  l’image d’une fillette colĂ©rique, prenait plaisir Ă  Ă©craser rĂȘves et chĂąteaux de sable.— Not really, it’s too
 smooth. You know? qu’elle lĂąche, tout sourire, en s’amusant Ă  effleurer du bout de son index la composition florale. PrĂȘte, Ă  arracher une Ă  une ses pĂ©tales Ă  la moindre is it your jealousy that is speaking?Ses doigts se referment aussitĂŽt autour de l’une d’elle, la laisse glisser au pied du blond dans un sourire forcĂ©. — Oh, sorry. Sur un ton faussement dĂ©solĂ©, elle s'excuse. Elle se maudit d’ĂȘtre Ă  sa merci et le maudit plus encore d’ĂȘtre capable, Ă  l’aide de quelques mots Ă  peine, de l’irriter autant qu’il ne l’enfiĂšvre, de l'obsĂ©der autant qu’il ne excĂšde. Viktor qui Ă©lectrise chaque parcelle de son corps Ă  mesure qu’il se refuse Ă  lui appartenir. Viktor qui la possĂšde Ă  la nuit tombĂ©e et s’abandonne au bras d’une autre aux premiers rayons du soleil.— Me, jealous? You must be joking!CachĂ© par la colonne, elle se permet une promiscuitĂ© nouvelle. La blonde s’avance de quelques pas, jusqu’à ce qu’il perçoive la chaleur de son souffle doux et rĂ©gulier. Si la situation le permettait, elle ne s’efforcerait pas Ă  le piquer Ă  son tour, se contenterait de dĂ©vorer ses lĂšvres avec aviditĂ©. — You know what they say about weddings, honey? It’s the perfect place for dating, elle marque une pause, s’avance dangereusement pour lui susurrer quelques mots au creux de l’oreille, or find a fucking one-night stand for me. Who know. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2335 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș La belle l’attire dans ses filets sans mĂȘme qu’il ne s’en rende compte. SirĂšne douĂ©e de son charme qui en un claquement de doigt, a l’homme a ses pieds la suppliant de relĂącher son emprise sur lui. S’il avait le choix, il dĂ©ciderait de ne pas ĂȘtre si Ă©pris d’elle, se dĂ©ciderait Ă  garder ses distances en connaissant la dangerositĂ© qu’est cette crĂ©ature fĂ©minine aux dons de charme incroyable. Lorsque sa main se referme sur une des fleurs pour venir l’arracher de sa composition florale, la mĂąchoire du garçon se referme instinctivement. Elle a ce besoin de destruction que Viktor ne comprend qu’une fois sur deux. Quand il joue l’adulte responsable et respectable, il ignore cet aspect de lui qu’elle fait ressortir chez-lui. Cette envie de tout dĂ©truire, cette envie sauvage de tout avoir dans la paume de sa main pour tout rĂ©duire en cendre. - Please don’t. Il demande presque gentiment, voulant Ă  tout prix garder son calme. Il ne veut pas participer Ă  son petit jeu malsain et qui les mĂšne droit dans un mur. Le s’il-te-plaĂźt lancĂ© comme pour garder un semblant de respect mutuel. Le suĂ©dois la respecte, elle et son corps. Le suĂ©dois la respecte tant il peut la dĂ©tester pour ce comportement enfantin empli de jalousie malsaine. Candace a besoin d’anarchie lĂ  oĂč Viktor recherche le calme, Candance se montre lĂ  oĂč Viktor tente par tous les moyens de cacher l’ordure qu’il se redresse lorsqu’elle nie jalouser sa sƓur et lorsqu’elle se met Ă  parler de coup d’un soir. Le blond dĂ©glutit et son poing se resserre sur lui-mĂȘme. Elle sait oĂč appuyer pour le faire mal, pour l’atteindre. Elle sait et elle en joue. Et Dieu ce qu’il dĂ©teste ça, ce qu’elle peut allumer la flamme pour crĂ©er un feu dĂ©vastateur. - Go ahead. Fuck everyone you want to fuck. Dit-il, main lancĂ©e dans une direction inconnue comme pour lui dĂ©signer d’y aller maintenant. Sur son visage, on peut lire la colĂšre et la jalousie dĂ©vastatrice. Ses prunelles ne reflĂštent que haine et malice, si bien qu’on pourrait y croiser les flammes jaillissante derriĂšre ses iris bleutĂ©es. - But we both know that you’ll always come back to me. Proche de lui, il arrive Ă  sentir son souffle sa peau et il frisonne. Il tourne sa tĂȘte vers elle, ne laissant aucune proximitĂ© entre leurs deux visages si ce n’est que quelques millimĂštres. Quelques millimĂštres entre leurs lĂšvres, et dans un Ă©lan de fĂ©rocitĂ©, il souffle. - You can’t get rid of me. You know it. Ses prunelles se relĂšve et maintient ce regard qui les anime tous les deux. À quelques millimĂštres du danger, de la passion, de l’envie, de son tout. Re [hot] phosphenes candace 1 Ven 3 Jan - 2337 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Go ahead. Fuck everyone you want to ne dĂ©voile rien, se contente d’arborer le faciĂšs le plus dĂ©tachĂ© qui soit. Comme si ses mots ne l'atteignaient pas, comme si la rĂ©action du scandinave n’était pas sans lui dĂ©plaire et qu’intĂ©rieurement la blonde ne jubilait prĂ©sentement pas. C’est dĂ©raisonnable, Ă  la limite presque d’ĂȘtre malsain, mais Candace ne peut s’empĂȘcher d’en tirer un certain plaisir. Elle a le coeur qui dĂ©borde quand la voix de Viktor se pare d’un timbre envieux, l’échine qui frissonne lorsqu’il enrage rien qu’à l’imaginer au bras d’un autre. Jalousie grisante, ensorcelante convoitise. But we both know that you’ll always come back to vient se rapprocher, ne laisse plus que quelques millimĂštres entre leurs deux visages. Il se prĂȘte Ă  leur danse macabre, se laisse entraĂźner dans ce jeu infernal, leur jeu infernal. Une once de culpabilitĂ© s’éveille alors en elle, prise entre la raison qui l’implore de tout envoyer valser et le dĂ©sir qui embrase chaque parcelle de son corps Ă  mesure qu’il approche son visage du can’t get rid of me. You know ce qu’il ne l’achĂšve et que plus rien n’ait de sens autour d’eux. Ni Teodora, ni ce foutue mariage. Il n’y a plus qu’elle et lui, plus que les dĂ©sirs de sa chair qui ne demandent qu’à ĂȘtre comblĂ©s et son corps prĂȘt Ă  se damner pour se perdre contre celui du suĂ©dois.— Just like you know I want s’avance lĂ©gĂšrement et relĂšve la tĂȘte pour effleurer le bout de ses lĂšvres du bout des siennes. Rien qu’un instant, furtif, et recommencer, quelques secondes Ă  peine. La peur d’ĂȘtre surprise ronge toujours ses entrailles, accĂ©lĂšre son pouls, saccade sa respiration. Mais c’est plus fort qu’elle, comme une pulsion primaire qui ne demanderait qu’à ĂȘtre assouvie.— Take me somewhere else. Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 112 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș — Just like you know I want lippes frĂŽlent les siennes et il a l’impression de goĂ»ter au plus doux des poisons, au plus enivrant de tous. Comme une addiction, le blond la dĂ©sire plus qu’il n’a dĂ©sirĂ© quiconque dans sa vie. Elle l’envoĂ»te, le charme et utilise les bons mots pour le faire chavirer. I want you too, qu’il pense alors qu’il vient poser sa main sur la joue de porcelaine de la belle. La tension fait comme vibrer la piĂšce et le suĂ©dois a l’impression d’ĂȘtre autre part. Il en oublie sa femme, le mariage et les prĂ©paratifs. La seule personne qui compte, au moment mĂȘme, c’est Cassandra toute entiĂšre. Il dĂ©sire ses lĂšvres, son corps et ose mĂȘme dĂ©sirer son cƓur Ă  certain moment. Mais il sait qu’entre les deux, ce n’est qu’une histoire d’attraction et de dĂ©sir. Alors que son corps lui appartient, son cƓur appartient Ă  sa sƓur. C’est ainsi qu’il arrange les choses dans sa tĂȘte, dans ce bordel ambiant qu’est sa misĂ©rable vie. - Candace. Surnom prononcĂ© comme un supplice, comme un rĂąle silencieux. Il la veut. Elle a gagnĂ©, encore une fois. Lorsqu’elle lui demande de l’emmener autre part, il ne faut pas un milliseconde pour que le blond attrape sa main et s’enfuit avec sa belle. Il s’arrĂȘte Ă  la premiĂšre porte, l’ouvre dans la volĂ©e et sans mĂȘme vĂ©rifier si cette piĂšce est vide, il emporte la gamine dedans. Porte refermĂ©e derriĂšre elle, il la coince sur celle-ci et l’emprisonne de ses bras. Les mots ne pourraient dĂ©crire Ă  quel point il la dĂ©sire. Les mots manquent. Le premier baiser est volĂ©, il emprisonne ses lippes avec les siennes et on pourrait sentir la tension augmenter Ă  ce simple geste. Il dĂ©vore ses lĂšvres sucrĂ©es comme s’il attendait de faire ça depuis des heures. Et c’est sĂ»rement le cas. Le baiser n’est pas doux, il est fougueux et presque sauvage. - I want you. Qu’il lui dit alors que ses prunelles remontent pour soutenir le regard, comme s’il pouvait parler grĂące Ă  ses iris. Il lui faut peu de temps pour qu’il vienne succomber et embrasser chaque parcelles de sa peau visible. Il revient rapidement sur ses lĂšvres qu’il emprisonne Ă  nouveau. Ce qu’elle peut le rendre dingue. Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 113 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș prĂ©nom, soufflĂ© comme un aveu silencieux, suffit Ă  lui hĂ©risser quelques poils et laisser courir un nouveau frisson le long de son Ă©chine. Il ne lui laisse aucun rĂ©pit, pas mĂȘme le temps de savourer la main qu’il porte Ă  son visage poupon. AussitĂŽt, ses doigts se referment autour de sa main droite et il l'entraĂźne dans la piĂšce la plus proche, bien Ă  l’abri des regards. La porte claque derriĂšre elle et, ses yeux n’ont pas le temps de s’habituer Ă  la pĂ©nombre des lieux que dĂ©jĂ , il la plaque sans mĂ©nagement contre cette derniĂšre. Les gestes sont imprĂ©cis, saccadĂ©s, animĂ©s par un dĂ©sir certainement trop longtemps want mots se perdent entre deux baisers, au creux de lĂšvres insatiables, dans un souffle saccadĂ© qui tĂ©moigne de l’ascenseur Ă©motionnel que le blond lui fait vivre. D’un geste las, elle tente d’accĂ©der Ă  la poignĂ©e, en quĂȘte d’une clĂ© ou d’un quelconque loquet, de façon Ă  ce que rien ni personne ne puisse venir les dĂ©ranger. RatĂ©, elle se retrouve vite vaine, trop vite mĂȘme, les mains qui tĂątonnent inutilement la porte, l’esprit qui divague. Elle ne parvient pas Ă  se concentrer, si ce n’est sur le dĂ©sir qui anime son bas ventre, comment pourrait-elle mĂȘme se concentrer sur quoi que ce soit quand il s’attarde dans son cou et dĂ©vore toutes les parcelles de son corps Ă  la portĂ©e de ses lĂšvres.— Don’t look at me like that way. You’re gonna drive me ses mains viennent encercler son visage et l'incliner vers le sien afin de dĂ©poser, d'abord, un fin baiser sur sa lĂšvre infĂ©rieure.— Ok. You drive me crazy, Viktor Thörngren qu’elle souffle entre deux baisers, jusqu’à finir par possĂ©der ses lĂšvres toutes entiĂšres. Elle l’embrasse fougueusement Ă  pleine bouche, sa langue virevoltant avec la sienne, se collant lascivement tout contre lui, ses mains vagabondant dans ses cheveux et sur sa se dĂ©tacher tout aussi subitement, se plaquer d’elle-mĂȘme contre la porte en bois. Haletante.— I didn't expect you to be so... reckless qu’elle lĂąche dans un rire, ses lĂšvres toujours collĂ©s aux siennes, s’amusant de laisser courir sa langue sur ses derniĂšres. Habituellement, c'Ă©tait elle l'inconsciente. Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 1236 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Viktor est contrĂŽlĂ© par le dĂ©sir qui brĂ»le en lui. Un feu qui a Ă©tĂ© allumĂ© par Candace, elle qui jetait des brindilles pour voir le tout se consumer. Fou d'elle, il l'emporte je-ne-sais-oĂč. Main serrĂ©e dans la sienne, premiĂšre porte prise pour venir emprisonner la belle contre celle-ci. Le regard se fait brĂ»lant, le contact de sa peauc contre la sienne est Ă©lectrique. Un sourire lui Ă©chappe lorsqu'elle lui avoue qu'il va la rendre folle Ă  l'aide d'un seul regard. Le blond se sent Ă  la fois Ă  la dĂ©rive tout en Ă©tant en contrĂŽle de la situation. Il sait que sa femme n'est pas loin, sait qu'il compte prendre la belle dans le lieu oĂč il cĂ©lĂ©brera son mariage, mais il n'en a que faire. Il veut Candace tout entiĂšre. Il la veut maintenant. GuidĂ© par son instinct, il ne se dit pas que c'est mal, il ne s'en veut pas. Il n'a que la belle en tĂȘte, elle et son corps, elle et ses lĂšvres. — Yeah? Souffle-t-il avant de lui jeter un autre regard, la dĂ©vorant complĂštement des yeux comme le plus beau des bijoux. Baiser posĂ© sur ses lĂšvres, baiser d'une douceur nouvelle. Il sourit sur ses lĂšvres en venant poser sa main sur la hanche de la belle comme pour la rapprocher de lui. PrĂ©nom prononcĂ© vient rendre fou l'homme. Elle le rend plus dingue et celui-ci ne pensait pas cela possible. Le dos de la belle vient frapper la porte, Ă  quelques centimĂštres d'elle, il vient observer la belle comme s'il s'agissait de sa plus belle proie spoiler; elle est sa plus belle proie, son plus beau lot, le plus brillant des diamants. — There's a lot you don't know, Cassandra. Son rire vient faire battre son coeur un peu plus fort. Sa main se replace sur sa hanche et vient serrer son emprise. Il la couvre de baisers, en perd son souffle, mais ne peut s'arrĂȘter. Sa main vient soulever lĂ©gĂšrement son t-shirt pour avoir un contact direct avec la douce peau de sa belle. Il l'emprisonne de son autre main, rapproche son corps du sien tout en continuant de la couvrir de baisers. — God, Candy. Surnom soufflĂ© dans un essoufflement sans fin, le blond sourit sur son cou. Dans sa tĂȘte, une centaine de scĂ©narios ont lieu. Il ne pense mĂȘme pas au danger, Ă  Teodora. Candace rĂšgne dans son esprit et Ă©veille en lui ses plus sombres cĂŽtĂ©s. Son t-shirt lĂ©gĂšrement remontĂ©, il lui redonne un de ces sourires, ceux qui la rende apparemment dingue. — Can I take that off? Il demande, l'air presque innocent. Il se joue d'elle, joue le bon garçon alors qu'il n'a qu'une envie lui arracher ce foutu tissu pour pouvoir l'admirer davantage. Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 1339 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș There's a lot you don't know, acquiesce machinalement, secoue la tĂȘte de haut en bas, dans un sourire qui se perd entre leurs lĂšvres entremĂȘlĂ©s. Il y a beaucoup de choses qu’elle ne connaĂźt pas Candace, mais le corps de Viktor n’en fait pas parti. Il est ancrĂ© Ă  mĂȘme sa peau, gravĂ© sur ses lĂšvres. Elle ne connaĂźt que trop bien ses caresses, se dit qu’elle pourrait reconnaĂźtre ses doigts agiles et habiles entre mille Ă  mesure qu’il relĂšve dĂ©licatement son tee-shirt pour mieux la sentir et resserre son Ă©treinte. God, souffle du blond contre son cou lui procure quelques dĂ©licieuses chatouilles et, comme par rĂ©flexe, elle vient caler sa tĂȘte contre la sienne. Elle a les cheveux qui s’emmĂȘlent Ă  mesure qu’elle enfouit sa tĂȘte dans le cou de son amant, qu’elle frotte, docile, son visage contre le sien, Ă  la recherche de ses I take that off?Elle ne relĂšve pas la tĂȘte, s’amuse d’ignorer sa requĂȘte et prĂ©fĂšre se contenter de dĂ©poser presque sagement plusieurs baisers le long de son cou, jusqu’à tracer un chemin qui l’amĂšne aux prĂ©mices de son torse. D’une main elle s'agrippe Ă  sa nuque, de l’autre vient dĂ©boutonner, lascive, les deux premiers boutons de sa chemise. Sa langue glisse sous le tissu qu’elle relĂšve d’un doigt et le marque, vorace, d’un suçon.— Just my shirt, right? qu’elle lĂąche, moqueuse, en relevant la tĂȘte. There’s also a lot you don’t know, you know ?NĂ©gligemment elle vient poser son front contre le sien et fait remonter sa jambe gauche le long de celle du blond.— Like the fact that I have nothing under my skirt qu’elle souffle, n’était pas un oubli, juste une Ă©niĂšme provocation. Le genre de surprise qu’elle aimait lui rĂ©server quand ils devaient se rencontrer en extĂ©rieur. Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 2215 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Re [hot] phosphenes candace 1 Sam 4 Jan - 2305 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Re [hot] phosphenes candace 1 Dim 5 Jan - 1310 InvitĂ©â€č InvitĂ© â€ș Re [hot] phosphenes candace 1 Dim 5 Jan - 1316 Contenu sponsorisĂ©â€č â€ș Re [hot] phosphenes candace 1 Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum
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 dit Nyx en faisant semblant d’ĂȘtre pensiveAprĂšs quelques instants, Nyx rigola. Elle, se reconvertir en Gryffondor ? Ça aurait pu ĂȘtre son Ă©pouventard tiens ! Elle rigola Ă  cette pensĂ©e. En effet, si elle se reconvertissait en Gryffondor, ça arrangerait beaucoup sa famille. Mais, elle Ă©tait une Serpentard et elle ne changerait ça pour rien au monde. - Je rigole bien sĂ»r, dit Nyx en souriant, mais oui j’ai voulu quittĂ© les couleurs des serpents aujourd’hui
 mais rien avoir avec les lions, c’est juste que le rouge met en valeur les brunes je trouve, dit Nyx d’un ton innocent en affichant toujours un sourire et en levant les yeux Nyx regarda de nouveau Max, et elle devait se l’avouer, sa copine Ă©tait vraiment magnifique. Que dirait ses parents s’ils savaient qu’elle sortait avec une fille ? Ils mettraient sĂ»rement la faute sur la maison de Serpentard, car c’est une maison de dĂ©vergondĂ©s ». Mais, elle s’en fichait, ce qu’elle ressentait pour cette personne Ă©tait bien trop fort et elle ne voulait pas gĂącher tout ça. Elle dĂ©posa un baiser sur les lĂšvres de Max. Elles Ă©taient si douces. Quand le baiser finit, Nyx regarda les livres qui Ă©tait Ă  cĂŽtĂ© d’elles. Encore des rĂ©visions. Elle n’était pas surprise, et rigola. - Tu n’arrĂȘteras donc jamais ? demande Nyx d’un ton moqueur et provocateur Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Lun 24 Avr - 2349 Comme elle pouvait ĂȘtre mignonne quand elle rougissait. Ses pommettes empourprĂ©es. Son regard pĂ©tillant. Et son sourire. Son sourire timide qui avait le don de me faire perdre tout mes moyens. Tout mon sĂ©rieux. Je ne resistais donc pas longtemps Ă  l'embrasser de nouveau juste avant qu'elle ne prenne la Mmh, oui je me disais que je pourrais me reconvertir en Gryffondor aujourd’hui
Sa rĂ©ponse me surprit. Sur l'instant, je voulais bien avouer y avoir crus. Je m'Ă©tais reculĂ©e. Les yeux grands ouverts. Une expression de surprise sur le visage. C'Ă©tait forcĂ©ment une blague non? Nyx une griffondor? Pour moi elle serait plutĂŽt poufsouffle au regard de son caractĂšre doux et aimant lorsque nous sommes ensembles. Mais je devais avouer que serpentard lui allait bien avoir rigolĂ©, elle m'avoua la vĂ©ritable raison de la prĂ©sence de ce nƓud rouge. Et je ne pouvais le rouge te va Ă  lui souris. A la fois avec les lĂšvres mais aussi avec le regard. J'Ă©tais tellement heureuse de l'avoir prĂšs de moi. Dans mes bras. Je resserrais lĂ©gĂšrement mon emprise autour de sa taille fine. Et mon cƓur faillit encore une fois rater un battement lorsque son regard se posa Ă  nouveau sur moi aprĂšs un baiser. Trop court Ă  mon goĂ»t. -Tu n’arrĂȘteras donc jamais ? demanda-t-elle d’un ton moqueur et provocateur -Et bien figure toi que non. J'aime dĂ©couvrir de nouvelles choses et puis les examens approchent. Il me reste beaucoup de choses Ă  idĂ©e me vint alors Ă  l'esprit. Connaissant Nyx je doutais qu'elle accepte. Je savais que les cours n'Ă©taient pas toujours sa prioritĂ© et peut-etre qu'elle avait prĂ©vu un autre programme pour sa soirĂ©e. Mais je lui demandais quand mĂȘme aprĂšs avoir scellĂ© nos lĂšvres en un doux Pourquoi ne resterais tu pas reviser un peu avec moi avant que le soleil se couche?DerniĂšre Ă©dition par Max Valdrak le Mar 25 Avr - 1458, Ă©ditĂ© 1 fois Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Mar 25 Avr - 246 Les paroles de Max rĂ©sonnaient encore dans sa tĂȘte. Le rougir te va Ă  ravir ». Ces paroles Ă©taient, Ă  prĂ©sent, gravĂ©es dans sa tĂȘte. Un sourire aux lĂšvres, elle regardait toujours cette fille qui lui faisait perdre tout moyen seulement en posant son regard sur elle. Elle se demandait comment en Ă©tait-elle arrivĂ©e lĂ . D’habitude elle Ă©vitait de s’attacher aux gens avec qui elle filtrait, mais avec cette fille, c’était diffĂ©rent. Elle ne voulait pas s’arrĂȘter lĂ , elle ne voulait pas la perdre. Son regard toujours plongĂ© dans le sien, elle avait senti son Ă©treinte se resserrer. Elle adorait ça, ça la faisait craquer. - Et bien figure toi que non. J’aime dĂ©couvrir de nouvelles choses et puis les examens approchent. Il me reste beaucoup de choses Ă  revoir. Un sourire s’afficha sur le visage de Nyx. Une pure Serdaigle. Elle n’en avait jamais doutĂ©. Contrairement Ă  elle, Max donnait beaucoup d’importance aux examens. Elle n’avait toujours pas commencĂ© ses rĂ©visions, mais elle avait le temps selon elle, il restait encore quelques mois devant elle, c’était largement suffisant. Mais, elle savait trĂšs bien qu’elle allait s'y mettre au dernier moment, comme Pourquoi ne resterais-tu pas rĂ©viser un peu avec moi avant que le soleil se couche ? Nyx regarda Max incrĂ©dule. Elle ne s’attendait pas du tout Ă  cette proposition. Pourtant, Max savait trĂšs bien qu’elle n’aimait pas rĂ©viser. Et, pire encore, rĂ©viser toutes les deux Ă©taient une mission impossible pour elle. Comment pouvait-elle se concentrer avec une personne d’une beautĂ© aussi envoutante Ă  ses cĂŽtĂ©s ? Bien que Nyx avait un self-control extraordinaire, elle avait Ă©normĂ©ment de mal face Ă  Max. Peut-ĂȘtre, serait-il l’occasion d’obtenir quelque chose en retour en Ă©change des rĂ©visions ? Un sourire au coin apparu sur le visage de Nyx accompagnĂ© de ce regard qui voulait dire qu’elle prĂ©parait quelque chose. - Mmh
 tu me surprendras toujours, tu sais ? D’accord j’accepte, mais Ă  une condition, je veux quelque chose en Ă©change
 dit Nyx d’un ton provocateur, toujours avec ce regard et son sourire au coin, tu veux peut-ĂȘtre me proposer quelque chose
 mon amour ? demanda Nyx d’un ton innocent et toujours un peu provocateur C’était la premiĂšre fois qu’elle appelait Max ainsi. Mais, il n’y avait rien de sĂ©rieux, il s’agissait surtout de rigoler. Nyx avait ce petit air innocent accompagnĂ© de son sourire au coin qui voulait dire qu’elle voulait obtenir quelque chose. Nyx se demandait comment allait rĂ©agir Max. Elle Ă©vitait de jouer avec elle, le plus possible, mais elle n’avait pas pu s’en empĂȘcher Ă  cet instant. Elle avait un peu peur. Elle resserra un peu plus son Ă©treinte pour Ă©viter de la laisser partir si elle le voulait et attendit sa rĂ©action en la regardant dans les yeux de son regard vert Ă©meraude. Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Mar 25 Avr - 1353 Un Ă©clat de rire m'Ă©chappa. Son air surprit. DĂ©boussolĂ©. Je ne pouvais pas m'en empĂȘcher. Cela ne lui ressemblait pas. Et j'Ă©tais contente d'avoir rĂ©ussi Ă  lui faire prendre cette expression. Puis, un sourire en coin apparut sur son visage. J’arrĂȘtais de rire. MĂȘme si l'image d'une Nyx incrĂ©dule trottait toujours dans mon esprit. Elle prĂ©parait quelque chose. Je lui lançais un regard interrogateur. -[...] mon amour?Je me figeais sur les deux derniers mots. Oubliant presque la question. Ce surnom reconnait et se rĂ©pĂ©tait dans ma tĂȘte. Je fus lĂ©gĂšrement dĂ©stabilisĂ©e. C'Ă©tait la premiĂšre fois qu'elle m'appelait de la sorte. Cela avait rĂ©veillĂ© les papillons dans mon estomac. Un sourire timide, gĂȘnĂ©, fleurit sur mon visage. Puis, mon regard croisa le sien. Je me rappelais alors de la question. Je reflechis un court instant Ă  une proposition. Les yeux cherchant dans le ciel une idĂ©e. Soudain, des notes de musique sortirent de mon casque que je n'avais point Ă©teint. Une idĂ©e, j'en avais une maintenant. Mais allait-elle lui plaire? Je la regardais Ă  nouveau dans les yeux. Je posais un baiser sur ses lĂšvres et lui murmurais Ă  l'oreille ma demande tel un secret. Un doux sourire aux lĂšvres. -Et si je te faisais danser mon cƓur... Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Mar 25 Avr - 1501 Max avait l’air dĂ©stabilisĂ©. Nyx avait peur qu’elle parte ; qu’elle parte loin d’elle. Elle regretta tout de suite de s’ĂȘtre lancĂ©e dans ce jeu avec celle qu’elle aimait. Pourquoi devait-elle toujours tout gĂącher ? Cependant, un sourire timide s’afficha sur le visage de Max. Elle avait l’air gĂȘnĂ© et le cƓur de Nyx se resserra. Son regard croisa le sien et l’instant d’aprĂšs elle regardait le ciel. Elle avait l’air pensive, Ă  quoi pouvait-elle penser ? Regrettait-elle d’ĂȘtre avec elle ? Son regard croisa de nouveau le sien pour dĂ©poser ensuite un baiser sur ses lĂšvres. Ces lĂšvres si douces qui Ă©tait pire qu’une drogue. Quelques instants plus tard, Nyx se redit et son estomac se contracta. Max Ă©tait en train de lui murmurer de douces paroles Ă  son oreille. Nyx ferma les yeux. Etait-elle au courant du pouvoir qu’elle avait sur elle ? - Et si je te fais danser mon cƓur
Une danse ? Avait-elle bien entendu ? Cette fille n’arrĂȘtera donc jamais de la surprendre. Nyx ne savait pas quoi rĂ©pondre face Ă  cette proposition. Elle savait danser, elle dansait souvent en soirĂ©e, mais le plus souvent, elle avait de l’alcool dans le sang ou elle Ă©tait dĂ©foncĂ©e, au choix. Soudain, des mots rĂ©sonnĂšrent dans sa tĂȘte. Mon cƓur ». Max ne lui avait jamais donnĂ© de petit surnom jusqu’à maintenant, elle avait une sensation bizarre, mais apaisante. Son cƓur battait Ă  toute vitesse. Elle regarda sa bien-aimĂ©e dans les yeux, avant de lui dĂ©poser un doux baiser dans le cou, une zone qui Ă©tait vraiment sensible selon elle. Un sourire sur son visage. Elle mordit ensuite sa lĂšvre infĂ©rieure en regardant Max, avant de dire - Une danse
 il me faudrait une bouteille de Whisky Pur feu dans ce cas, rigola Nyx en espĂ©rant que son ironie ne vexerait pas Max. Tu ne veux quand mĂȘme pas danser ici, devant tout le monde ? J’ai une rĂ©putation Ă  maintenir, dit Nyx d’un ton moqueur et provoquant Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Mer 26 Avr - 2235 Je frissonnais. Sur lĂšvres contre ma peau. Contre mon cou. Quelle agrĂ©able sensation. J'aurais aimĂ© qu'elle continu. Mais je me contentai de l'observer. Se mordant la lĂšvre. Je fondis Ă  nouveau. Et attendis la rĂ©ponse Ă  ma proposition. - Une danse
 il me faudrait une bouteille de Whisky Pur feu dans ce cas, dit- elle en L'alcool n'est pas nĂ©cessaire pour passer un bon moment, lui rĂ©pondis juste avant qu'elle ne continue. - Tu ne veux quand mĂȘme pas danser ici, devant tout le monde ? J’ai une rĂ©putation Ă  ton Ă©tait moqueur et provoquant. Mais je ne le relevais pas. Je me contentais de la regarder. Pensait-elle vraiment que j'abandonnerais aussi facilement? Elle avait tort. J'Ă©tais plutĂŽt tĂ©tue. Et j'avais espoir qu'en insistant un peu je puisse la faire danser. Je lui lançais alors un regard de dĂ©fi. Puis je lui demandai d'un ton aussi moqueur et provoquant que le sien. - Et pourquoi pas? Regarde autour de nous, rares sont les personnes qui nous prĂȘtent attention. Et puis, je suis persuadĂ©e que tu te dĂ©brouillerais merveilleusement bien...et sans une goutte d'alccol. J'accompagnais mes derniers mots d'un petit clin d’Ɠil discret. Sans attendre sa rĂ©ponse, j'attrapais d'une main le petit appareil de musique ensorcelĂ©. Je parcourus les diffĂ©rentes chansons. Laquelle pourrait bien lui faire plaisir? Mais bien sĂ»r. Mon choix se porta sur une chanson du vingtiĂšme siĂšcle. Un classique de TĂ©lĂ©phone. Une musique parfaite pour danser le rock. Je lançai donc la musique. Je tendais une main vers Nyx aprĂšs avoir remis mes lunettes aux contours rouges. - Me feriez vous l'honneur de m'accorder vous cette danse? demandais je avec un grand sourire Ă  la personne sur mes genoux. Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Jeu 27 Avr - 1400 Nyx Ă©tait crispĂ©e devant elle. Il est vrai qu’il y avait une part de vĂ©ritĂ© dans ce qu’elle venait de dire, et Max l’avait remarquĂ©. Nyx dĂ©cida de rester muette, pour Ă©viter de blesser de nouveau sa copine. Sa copine, qui avait Ă  prĂ©sent un regard qu’elle connaissait bien. Un regard de dĂ©fi. AprĂšs quelques instants qui lui parurent une Ă©ternitĂ©, Max parla d’un ton qui ressemblait beaucoup au Et pourquoi pas ? Regarde autour de nous, rares sont les personnes qui nous prĂȘtent attention. Et puis, je suis persuadĂ©e que tu te dĂ©brouillerais merveilleusement bien
 et sans une goutte d’alcool. Nyx regardait autour d’elle. Il est vrai qu’il n’y avait presque personne dans les environs. Mais, danser, restait quand mĂȘme trĂšs gĂȘnant pour elle, elle n’était pas habituĂ©e Ă  faire ça, hors soirĂ©e. Avant qu’elle n’ait pu dire ou remarquer quelque chose, Max avait lancĂ© une musique. Une musique qui avait l’air plutĂŽt rythmĂ©, elle aimait beaucoup cette ambiance, et Max le savait trĂšs bien. D’ailleurs, elle ne s’était pas arrĂȘtĂ©e lĂ . Elle lui tendait Ă  prĂ©sent une main aprĂšs avoir remis ses lunettes, qui lui donnait un certain charme, mĂȘme si Nyx aimait Ă©normĂ©ment ses yeux. - Me feriez-vous l’honneur de m’accorder cette danse ? demanda Max, un grand sourire sur ses lĂšvresUn sourire apparu sur le visage de Nyx. On pouvait apercevoir ses dents blanches. Ses bras toujours autour du coup de sa copine, elle l’embrassa de nouveau avant de se lever. Elle remit elle aussi ses lunettes. Bonheur. La lumiĂšre avait diminuĂ©. Elle regardait Max, un petit sourire gĂȘnĂ©. Elle dĂ©fit un peu le nƓud de son foulard, laissant apparaĂźtre un peu plus son cou, et attrapa la main de Max et lui faisant un signe de tĂȘte qui n’était rien d’autre qu’un signe d’approbation. Elle savait qu’elle ne l’aurait pas lĂąchĂ© toute façon. Bien que Nyx Ă©tait plutĂŽt tĂȘtue dans son genre, Max l’était aussi, et beaucoup plus sur ce genre de choses. Alors, elle se laissa entraĂźner avec Max, sourire au coin
 Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Ven 28 Avr - 2044 LA de Nyx accordĂ©Un nouveau baiser. Un signe de tĂȘte comme rĂ©ponse. Un sourire complice sur mon visage. Je savais qu'elle n'avait jamais dansĂ© ce type de danse avant. Mais ce n'Ă©tait pas la premiĂšre fois que j'apprenais cela Ă  une dĂ©butante. J'Ă©tais sĂ»re que j'allais bien m'amuser avec ma copine. J'attendis qu'elle se lĂšve et je fis de mĂȘme. Je lui pris la main. Commençant Ă  lui donner le rythme. Je la regardais dans les yeux. Yeux dans lesquels je me perdis un instant. Plus rien n'existait. En cet instant, il n'y avait que elle, moi et la musique. Musique dont la voix du chanteur commençait Ă  se faire entendre. Mais je ne l'Ă©coutais pas vraiment. Je me laissais guider par la musique. L’entraĂźnant avec moi. La faisant tourner. La guidant. Sans dĂ©tacher mon regard d' je loupais ma passe. Ma main lĂącha malgrĂ© moi celle de ma cavaliĂšre. Elle faillit tomber. Par ma faute. Je la rattrapais de justesse, en un penchĂ© improvisĂ©. J’espĂ©rai qu'elle n'avait rien remarquĂ©. Je lui souris avant de reprendre la danse. Un sourire timide, gĂȘnĂ©e. Les derniĂšres notes retentirent. La danse se clĂŽturait. Je fis une petite courbette trĂšs formelle. Lui baisant la main au passage. Elle semblait rassurĂ©e. Elle Ă©tait si mignonne. J'avais encore une fois rĂ©ussi Ă  la dĂ©stabiliser. Une petite victoire. - Merci pour cette danse mon cƓur. Je la pris par la taille et l'embrassai tendrement. Je la serrais ensuite dans mes bras. Posant ma tĂȘte sur la sienne. Les yeux fermĂ©s. J'imprimais l'instant dans ma mĂ©moire. Comme tout les moments que je passais avec elle. Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Sam 29 Avr - 1210 Max se leva Ă  son tour, sourire complice sur son visage. Nyx s’attendait Ă  tout de sa part, elle savait que sa copine Ă©tait une trĂšs bonne danseuse. Un frissonnement lorsqu’elle prit sa main. Quelques instants plus tard, Max l’entraĂźna avec elle, en la faisant tourner, et en la guidant, comme personne n’aurait pu mieux faire. Son regard dans le sien, elle ne voyait rien d’autre qu’elle. Elle Ă©tait tellement hypnothysĂ©e par son regard, que Nyx remarqua qu’elle Ă©tait en train de tomber seulement une fois que Max l’avait rattrapĂ©e. Un sourire timide sur son visage, presque gĂȘnĂ©e. Nyx lui sourit Ă  son tour, teint rosĂ© sur le visage. La mĂ©lodie de la musique paraissait tellement lointaine lorsque son regard croisait le sien. Max fit une petite courbette trĂšs formelle, avant mĂȘme qu’elle remarque que la musique Ă©tait arrivĂ©e Ă  son terme. Un baiser sur la main de Nyx, qui la fit craquer. Elle avait l’air d’ĂȘtre dans un compte de rĂȘves, mais le fait Ă©tait lĂ , tout cela Ă©tait bien rĂ©elle grĂące Ă  la perfection de Max. Nyx avait un petit sourire rassurĂ© sur le visage. - Merci pour cette danse mon cƓur. Mon cƓur ». DeuxiĂšme fois en une journĂ©e. Nyx essaya de cacher son visage qui Ă©tait fortement en train de rougir. Mais elle fut prise par la taille avant de pouvoir faire un quelconque mouvement. Ses lĂšvres. Ses lĂšvres Ă©taient sur les siennes. Cette sensation
 Son cƓur battait Ă  une vitesse impressionnante. Le baiser finit, Max Ă©tait dĂ©jĂ  en train de la serrer dans ses bras, posant sa tĂȘte sur la sienne. Ses bras Ă©taient tellement rassurants, elle aurait pu rester ainsi toute l’éternitĂ©. Elle ferma les yeux pour profiter de ce moment. Cependant, un autre sentiment montait en elle. Celui de la culpabilitĂ©. Nyx cachait Ă©normĂ©ment de choses Ă  Max, mais elle faisait ça pour son bien. Elle avait tout de mĂȘme peur que sa copine les dĂ©couvre. Les mensonges, les cachoteries. Elle savait qu’elle n’aimait pas ça, mais elle Ă©tait une Serpentard aprĂšs tout
 Yeux fermĂ©s dans les bras dans sa copine, elle essaya de faire disparaitre cet horrible sentiment, mais, en vain. Elle dĂ©cida donc, de se dĂ©faire de l’étreinte de sa copine. Un sourire mal assurĂ© sur son visage. Elle dĂ©posa un baiser rapide sur ses lĂšvres et se retourna ensuite, pour aller vers le banc oĂč il y avait les livres de Max. Dos Ă  sa copine, son sourire s’effaça Ă  cause de ce sentiment de culpabilitĂ©. Elle dĂ©testait lui mentir et elle se dĂ©testait elle-mĂȘme pour ça. Elle risquait de la perdre, Ă  n’importe quel moment, et c’était une chose qu’elle ne pouvait pas imaginer. Mais, si elle arrĂȘtait de lui mentir, elle la perdrait tout de mĂȘme. Le mensonge. VoilĂ  donc son dernier recourt. Une chose Ă©tait sĂ»re, si elle devait passer des ASPICS concernant les mensonges, elle obtiendrait un Optimal. Triste rĂ©alitĂ©, mais pas tellement pour Nyx. Le mensonge Ă©tait devenu une chose habituelle chez elle. ArrivĂ©e au banc, oĂč les bouquins de Max Ă©taient posĂ©s, elle en prit un au hasard. Elle ne prit pas la peine d’en lire le titre, car toute façon elle s’en fichait Ă©perdument. Elle se retourna vers Max, un sourire de nouveau prĂ©sent sur son visage. - Je n’arrĂȘterais jamais de te le rĂ©pĂ©ter, mais tu es une excellente danseuse, dit Nyx un sourire sincĂšre. Alors, que choisis-tu maintenant ? Le petit bouquin innocent, ou la mĂ©chante Nyx ? demanda-t-elle d’une voix enfantine et moqueuse en bougeant le livre Ă  cĂŽtĂ© de son visage Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Lun 1 Mai - 2348 LA de Nyx accordĂ©Mon esprit s'Ă©vadait. Je n'avais plus envie de penser Ă  rien. Juste elle et moi. Une Ă©treinte. Cela faisait longtemps que je n'avais pas prit quelqu'un dans mes bras. Trop longtemps. Cela m'avait manquĂ©. Ce sentiment de rĂ©confort. De protection. Comme si plus rien n'existant autour. Tous les problĂšmes, les doutes, les craintes balayĂ©s en un simple geste. Quelle douce sensation. Je ne voulais plus la lĂącher. Mais je ne pouvais la retenir. Nyx se dĂ©tacha de moi. J'ouvris les yeux pour la regarder et lui sourire. Cependant, je remarquais bien que quelque chose n'allait pas. Elle m'embrassa puis se retourna. Mon sourire fana laissant place Ă  l’inquiĂ©tude. Pourquoi ce sourire mal assurĂ©? Avais je fait quelque chose de mal? Les questions affluaient. Les rĂ©ponses, elles, manquaient Ă  l'appel. Que faire? Je restais lĂ . Silencieuse. Tandis que Nyx se rapprochait du banc. Je la regardais, sans bouger. Qu'allait elle faire? Elle prit un livre et se retourna pour me remercier pour la danse et me poser une question. Je devais faire un choix. Je la regardais sans comprendre. Je me rapprochais d'elle. Et, attrapais le livre. Je lui pris dĂ©licatement des mains en lui souriant. Je le posais sur le cĂŽtĂ©. Le livre sur le banc. Mes mains entourant son visage. Mon regard dans le sien. Ses derniers me revinrent Ă  l'esprit. -[...] ou la mĂ©chante Nyx ?Que devais je dĂ©duire de cela? Pourquoi se considerait-elle comme la mĂ©chnate? Est ce liĂ© Ă  ce changement brutal d'humeur? Toujours des questions. Mais aucunes rĂ©ponse. Je l'embrassais tendrement et pris la parole d'une voix douce. - Tout d'abord, laisse le livre de mon pĂšre tranquille. Et puis, ne dis pas que tu es la mĂ©chante. A mes yeux tu es quelqu'un d'exceptionnel et mĂȘme si tu as pu faire des erreurs, cela ne changera pas les sentiments que j'Ă©prouve pour toi. On a tous une part de bon et de mauvais. Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Mar 2 Mai - 1751 Max avait l’air de ne pas comprendre la demande de Nyx, ce qui Ă©tait comprĂ©hensible. Choisir entre un livre et elle ? Elle aurait dĂ» rĂ©flĂ©chir un peu avant de parler. Mais face Ă  sa copine, elle perdait tous les moyens
 Elle resta lĂ , livre Ă  la main, en soutenant le regard d’incomprĂ©hension de Max. Mais, lorsqu’elle se rapprocha d’elle, pour lui prendre dĂ©licatement le livre des mains, elle sourit. Livre Ă  prĂ©sent sur le banc. Lorsque ses mains avaient touchĂ© son visage, Nyx frissonna, et ferma un instant les yeux, pour profiter du moment et se concentrer sur ce qu’elle aller dire. Mais au lieu de ça, elle dĂ©posa ses lĂšvres sur celles de Nyx. Un doux baiser, qui suffisait Ă  lui rĂ©chauffer le cƓur. Le moment tant redoutĂ© arriva. Cependant, Ă  la surprise de Nyx, Max prit une voix douce, toute mignonne - Tout d’abord, laisse le livre de mon pĂšre tranquille. [
]Malaise. Nyx pensait avec prit un livre de cours, mais elle avait ratĂ© mĂȘme ça, juste parce qu’elle n’avait pas vĂ©rifiĂ© ce qu’elle prenait dans les mains. Nyx savait qu’elle avait fait un faux pas, alors elle resta silencieuse, en Ă©coutant Max - [
] Et puis, ne dis pas que tu es la mĂ©chante. A mes yeux tu es quelqu’un d’exceptionnel et mĂȘme si tu as pu faire des erreurs, cela ne changera pas les sentiments que j’éprouve pour toi. On a tous une part de bon et de mauvais. Nyx regarda sa copine, incrĂ©dule. Un sourire Ă©tait apparu sur son visage. Un sourire timide. Mais, quelques secondes plus tard, son estomac et son cƓur se contractĂšrent. Encore ce sentiment la CulpabilitĂ©. Nyx hĂ©sita un instant Ă  tout rĂ©vĂ©ler Ă  Max, en repensant Ă  ses paroles. [
] cela ne changera pas les sentiments que j’éprouve pour toi. [
] ». Nyx n’en Ă©tait pas aussi sĂ»re qu’elle. Oui, nous avons tous une part de bon et de mauvais, mais en ce qui la concernait, elle avait plus de mauvais que de bon
 Nyx dĂ©cida donc de ne rien dire, et de continuer comme Ă  son habitude. Il Ă©tait mieux que Max ne sache rien pour l’instant, et tout ira pour le mieux. Nyx avait toujours ce petit sourire timide sur son visage, et regarda Max dans les yeux, avant de lui rĂ©pondre d’une voix aussi douce - Tu es beaucoup trop bien pour moi, mon amour
 Mais merci, tu fais ressortir le bon qui est en moi, mĂȘme si ce n’est qu’une petite partie, dit Nyx avec un petit sourire. Tu es adorable avec moi. Tu sais
 tu occupes une trĂšs grande partie de mon cƓur mĂȘme si des fois je ne le montre pas vraiment, continua-t-elle maladroitement. Je ne suis pas trĂšs douĂ©e avec ça, mais mes sentiments pour toi ne disparaĂźtront jamais, ou pour le moins, pas entiĂšrement. Ils seront toujours lĂ , dans mon cƓur
 Nyx le pensait vraiment. Et en disant cela, elle avait pris la main de Max pour la poser sur son cƓur qui battait Ă  la chamaille. Elle voulait lui prouver qu’elle avait un cƓur, parce qu’elle savait, que si elle dĂ©couvrait ce qu’elle faisait, tout cela pouvait changer d’un moment Ă  l’autre. AprĂšs un petit moment Ă  se regarder dans le blanc des yeux, Nyx dĂ©cida enfin de bouger, ou du moins d’essayer, car elle ne pouvait faire aucun mouvement, ces muscles ne voulaient pas rĂ©pondre. Elle dĂ©cida alors de reprendre la parole, mais d’une voix beaucoup plus joueuse, pour pouvoir Ă©viter ce petit moment, oĂč elle se rendait compte qu’elle n’était vraiment pas quelqu’un de bien, face Ă  une personne comme Max. - Alors
 on en Ă©tait oĂč
 ? Ah oui ! Les rĂ©visions, dit-elle pour changer de sujet, en reprenant son petit sourire au coin Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Jeu 4 Mai - 2343 Ce sourire. Toujours ce sourire. Ce mouvement de lĂšvres qui me faisait craquer. Un geste qui signifiait beaucoup. Timide et hĂ©sitant, mais avant tout sincĂšre. C'Ă©tait ce qui comptait le plus. Mon regard plantĂ© dans le sien. Quelque chose avait changĂ© dans ses yeux que je me plaisais Ă  contempler. Comme un non dit. Un regard qui trahit. Cependant, je n'arrivais point Ă  desceller ce qu'il me cachait. Cette pensĂ©e tourna en boucle dans ma tĂȘte. Toujours de nouvelles questions s'ajoutant et complĂ©tant les prĂ©cĂ©dentes. Les rĂ©ponses, elles, n'Ă©taient point au rendez vous. Puis une cƓur Ă  sentiments restais muette. Je ne savais quoi dire. Nyx n'Ă©tait pas souvent de celle qui se confit comme cela aussi facilement. Mon sourire s'Ă©tendit Ă  nouveau. Ses mots se rĂ©pĂ©taient en boucle dans ma tĂȘte. Comme si mon esprit allait les effacer d'un moment Ă  l'autre. Je sentais son cƓur sous ma main. Il battait Ă  la chamade. Aussi vite que le mien en cet instant. Je ne savais toujours pas quoi lui rĂ©pondre. Et mĂȘme, si j'avais su je n'aurais pas pu. Ma voix refusant de revenir. Soudain, je me rappelai d'une chose. Mais lorsque j'allais bouger. Nyx reprit la parole. Les rĂ©visions. J'avais faillis les oublier. Elles pouvaient bien attendre encore un peu. Je levais les yeux au ciel puis l'embrassai tendrement. Je rapprochais ma main de la poche de ma chemise. Celle se trouvant prĂ©s du cƓur. J'attendais de la croiser de nouveau pour lui glisser dans son sac ou sa poche dans les couloirs malgrĂ© elle. Mais elle se trouvait face Ă  moi. Je pris le petit bout de papier. Ramenant sa main Ă  l’horizontale, j'y dĂ©posai l'objet le cachant toujours. -Je suis sĂ»re que tu as bien plus de bon en toi que tu le laisses supposer. Ceci est pour toi, j'aurais prĂ©fĂ©rĂ© que cela soit un aigle mais il Ă©tait trop compliquĂ© pour moi. Mais au moins quand on ne se verra pas, tu auras mon petit oiseau avec toi. MĂȘme si ce n'est pas grand petite grue sur sa paume que ma main dĂ©voila. Un simple origami. Un petit "je t'aime" inscrit et cachĂ©. En regardant en dessous elle le trouvera. Cet oiseau aux couleurs de nos deux maisons. Un petit souvenir Ă  garder si elle l'acceptait. Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Dim 7 Mai - 1939 Max levait les yeux aux ciels. Nyx sentit la culpabilitĂ© remonter en elle. Avait-elle dit quelque chose de mal ? Mais cette sensation s’en alla quand Max l’embrassa tendrement. Elle ne se lassera jamais de ses lĂšvres. Elle les reconnaĂźtrait entre mille. Max dĂ©posa quelque chose dans sa main, avant qu’elle puisse sans rendre compte. Elle essaya de voir, mais sa main cachait cette chose. Que pouvait-elle bien ĂȘtre ? La curiositĂ© de Nyx monta en flĂšche. - Je suis sĂ»re que tu as bien plus de bon en toi que tu le laisses supposer. [
]Max ne savait pas de quoi elle parlait. Elle connaissait juste une façade de Nyx la meilleure. Mais, malheureusement, cette façade n’était qu’une minime partie de sa personne. Que dirait Max si elle connaissait l’autre partie de sa copine ? Celle qui ne devrait pas exister, mais qui pourtant, existe trĂšs bien. Nyx sourit tout de mĂȘme Ă  sa copine. Elle ne voulait pas qu’elle se doute de quelque chose. Elle le dĂ©couvrira trĂšs certainement un jour, mais pas maintenant. Pourquoi la faire souffrir, alors je peux Ă©viter ça ? » pensa [
] Ceci est pour toi, j’aurais prĂ©fĂ©rĂ© que cela soit un aigle mais il Ă©tait trop compliquĂ© pour moi. Mais au moins, quand on ne se verra pas, tu auras mon petit oiseau avec toi. MĂȘme si ce n’est pas grand-chose. La main de Max dĂ©voila une petite grue en papier. En regardant mieux, Nyx aperçut un petit je t’aime » qui Ă©tait bien cachĂ©. Elle sourit face ce petit origami aux couleurs de leurs maisons. Nyx ne savait pas quoi dire. Elle resta muette, petit sourire aux lĂšvres, le teint lĂ©gĂšrement rosi. Nyx savait que Max avait beaucoup de talent, et elle adorait ça. Il Ă©tait certain que ce petit cadeau, elle ne le quittera Ă  prĂ©sent jamais. C’était loin d’ĂȘtre pas grand-chose » pour elle. En rĂ©alitĂ©, ça signifiait beaucoup. Elle Ă©prouvait de fort sentiment pour Max, et elle pourrait se sacrifier pour elle, elle en Ă©tait certaine. - Max
 commença Nyx d’une petite voix, Je t’aime, continua-t-elle en regardant sa copine dans les yeux. Nyx lui prit la main avant de continuer - Je te remercie pour ce petit oiseau, sache que c’est loin d’ĂȘtre pas grand-chose » pour moi. Il restera toujours sur moi, oĂč que j’irai, dit Nyx avec un petit sourireElle dĂ©posa ses lĂšvres sur celles de Max, en l’embrassant tendrement, et en essayant d’y mettre tout son amour. Elle voulait qu’elle sache Ă  quel point elle tenait Ă  elle, et que ce n’était pas de la comĂ©die. Quand le baiser prit fin, Nyx reprit la parole, d’une voix sincĂšre - Max
 je voulais que tu saches, que je ne veux pas te perdre, vraiment. Tu comptes Ă©normĂ©ment pour moi, et ce n’est pas un jeu. Quoi que je puisse faire, sache que je t’aime, d’accord ? lui dit Nyx accompagnĂ© d’un de ses sourires charmeursNyx avait dit ça en toute sincĂ©ritĂ©. MĂȘme si elle ne disait pas la vĂ©ritĂ© sur certaines choses, Ă  l’instant prĂ©sent, elle n’avait pas menti. Nyx avait toujours un petit sourire aux lĂšvres et elle dĂ©cida de soigneusement ranger le cadeau de Max dans son sac. Ensuite, elle voulait un peu dĂ©tendre l’atmosphĂšre, pour Ă©viter que Max commence Ă  avoir des doutes sur elle. Nyx lui prit donc la main, pour y dĂ©poser un baiser dessus, et se coller ensuite Ă  elle, pour lui chuchoter Ă  l’oreille - Tu sais
 si tu veux on peut rĂ©viser une autre fois, essaya de lui proposer Nyx d’un ton provocateur et amusĂ© Elina PetersonGryffondor Re On pique une petite tĂȘte ? Elina Peterson, le Ven 19 Mai - 2326 LA de Nyx et Max pour intervenirLe week-end enfin! Je ne me souviens pas vraiment de la semaine... l'alcool et la "cigarette" m'ont aidĂ© Ă  tenir le coup pendant les cours. Le soir je sortais en douce pour fumer et boire jusqu'Ă  avoir du mal Ă  rejoindre mon lit... Je m'effondrais ensuite et dormais d'une traite le peu d'heures oĂč il me restait avant la journĂ©e suivante... les jours se sont suivis... Identiques... seules les matiĂšres changeaient... Étrangement aujourd'hui je suis sobre de tout... Ni cigarette, ni alcool... Le problĂšme quand on consomme trop c'est que le corps s'habitue et pour avoir les mĂȘmes effets il en faut toujours plus... Du coup j'essaye de ne pas consommer la journĂ©e... Ça me tape sur les nerfs et je suis tendue. Une ballade au bord du lac me fera le plus grand bien... J'enfile une leggins noire et une chemise blanche un peu ample et longue. J'attache mes longs cheveux en un chignon lĂąchĂ©, enfile mes ballerines, attrape mes Ă©couteurs que je visse sur mes oreilles et mets l'une de mes musiques du moment Ă  fond pour ne pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©e par les bruits que j'approche du lac je fais un tour d'horizon pour ĂȘtre bien sure que je ne connais personne susceptible de me dĂ©ranger... Au moment oĂč je termine mon observation mon regard se pose sur un couple. Je souris... ils s'embrassent c'est mignon. Enfin mignon jusqu'au moment oĂč je m'aperçois qu'il s'agit de la vipĂšre de Nyx... Un sourire mauvais apparaĂźt sur mon visage, elle paraĂźt heureuse, son regard est clair, elle est sobre et d'apparence on dirait qu'elle est clean... Elle est douce avec sa copine, cette derniĂšre ressemble plus Ă  un garçon qu'Ă  une fille habillĂ©e comme ça mais je ne me laisse pas duper. Je tiens ma vengeance. J'ai encore les marques de ses coups sur mon visage, d'ailleurs ils ont commencĂ© Ă  virer au jaune vert tout moche. Je m'approche du couple en enlevant mes Tiens Spero... Je suis surprise de te trouver ici... D'habitude tu es plus du genre Ă  harceler les sorciers en contact avec les moldus, leur taper dessus oĂč te souler la tronche en fumant des substances pas trĂšs lĂ©gales non? Ah mince c'est vrai tu voulais pas que ta copine sache ce que tu es vraiment... Je suis vraiment dĂ©solĂ©... Sinon j'espĂšre que tu as apprĂ©ciĂ© la journĂ©e parce que la soirĂ©e risque d'ĂȘtre moins cool... Je la regarde pas dĂ©solĂ© du tout. Cette vipĂšre a pourri ma vie et ma scolaritĂ© dĂšs qu'elle en a eu l'occasion. Elle n'a que la monnaie de sa piĂšce. La roue tourne chĂ©rie et elle va faire trĂšs mal. Je sais que la vengeance n'est pas la solution avec ce genre de personne, elle va surement me faire payer cher les rĂ©vĂ©lations que je fais Ă  sa copine mais bon... C'est tellement jouissif de voir son visage ce dĂ©composer. J'ai quand mĂȘme une petite pointe de regret pour sa copine qui elle n'a rien demandĂ© mais bon c'est un dommage collatĂ©ral il y en a toujours. J'en suis une... Mais bon c'est la vie... J'attends de voir la rĂ©action de la serpentard et mĂȘme si je dois prendre d'autres coups ce n'est pas bien grave, au moins elle montrera son vrai visage au lieu de passer pour la petite sainte n'y touche qu'elle prĂ©tend ĂȘtre. Son petit manĂšge devant Benbow la derniĂšre fois me rend encore folle rien que d'y penser Nyx SperoSerpentard Re On pique une petite tĂȘte ? Nyx Spero, le Sam 20 Mai - 1235 Une Ă©treinte CulpabilitĂ© ne cessant pas de Erreurs devenant des Choix. Les Ennuis se prĂ©sentant Ă  toute vitesse. Des ConsĂ©quences venant des Mensonges. Une Peur envoutant l’Esprit. Une voix raisonnant dans sa tĂȘte. Une voix qu’elle connaissait peu trop bien. Une voix qu’elle aurait apprĂ©ciĂ© ne pas entendre. Ne pas entendre ici. Ici, avec sa copine. Max. Elle ne mĂ©ritait pas ça. Elle ne mĂ©ritait pas de l’apprendre ainsi. Nyx savait dĂ©jĂ  qu’elle jouait avec le feu. Elle savait aussi que la vĂ©ritĂ© finirait par Ă©clater. Mais, elle ne pensait pas aussi rapidement. Surtout pas par cette personne. Cette personne qu’elle dĂ©testait plus Ă  cet instant prĂ©cis. Nyx n’avait qu’une seule envie. Lui lancer un Doloris en pleine tronche, jusqu’à ce qu’elle la supplie de la tuer. Noirceur triomphant sur Blancheur. Les TĂ©nĂšbres se faisant Simple LumiĂšre ne la faisant pas chavirer. Un pĂȘcheur cherchant de repĂȘcher la SĂ©rĂ©nité  Nyx serra les dents. MĂąchoire contractĂ©e. Poings serrĂ©s. Regardant cette personne qui avait fait irruption dans son couple. Cette personne qui avait Ă  prĂ©sent tous les pouvoirs face Ă  elle. Nyx n’aimait pas du tout ça. Elle n’osa pas regarder Max. Elle avait bien trop peur pour ça. Elle Ă©tait bien trop lĂąche. Elle savait trĂšs bien que ça n’allait pas bien se passer. Elle voulait tuer la Gryffondor sur place. Nyx connaissait la formule. Deux petits mots. Et tout serait fini. Mais, elle ne pouvait pas faire cela devant Max. Elle devait penser Ă  elle avant tout. Regard noir vers la Rouge et Or. Une petite voix dans sa tĂȘte lui disait qu’elle l’avait mĂ©ritĂ©. AprĂšs tout ce qu’elle lui faisait subir depuis toutes ses annĂ©es. Elle aussi aurait agis de la sorte, voir mĂȘme pire. A ce moment prĂ©cis, elle comprenait la Gryffondor. Elle voyait la satisfaction dans son visage. Elle avait rĂ©ussi son coup. Les pensĂ©es de Nyx n’arrĂȘtaient pas de se mĂ©langer. Plus rien n’allait. Elle avait besoin de fumer. LibĂ©rer son esprit. Elle voulait tuer Elina Ă  main nue. Cependant, une chose l’empĂȘcher d’agir ainsi. C’était Max. Elle devait penser Ă  elle. Mais, elle n’osait toujours pas se tourner vers elle pour la regarder. Courage en main. Il le Peur ne la lĂąchant plus. Nyx se tourna enfin pour regarder Max. Regard baissĂ© d’abord. Elle avait honte de lui avoir cachĂ© ce plein de choses. Elle leva enfin son regard vers elle. Essayant de parler. Aucun son ne sortit. Oubliant la prĂ©sence de la Gryffondor. L’ignorant. Elle lui rĂ©glera son compte plus tard Ă  cette harpie. Nyx serra les dents et se focalisa sur Max, pour ne pas laisser sa colĂšre exploser. AprĂšs quelques minutes, elle prit enfin la parole, voix cassĂ©e. - Max
 Rien de plus sorti pour l’instant. Mais, elle essaya de se concentrer. Elle hĂ©sita un instant Ă  nier tout ce qu’Elina avait dit. Cependant, ça allait juste empirer la chose. Rien de plus. - Je comptais t’en parler, vraiment. Crois-moi
 Mais, je ne voulais te perdre une nouvelle fois. Tu comptes beaucoup trop pour moi. Et ces histoires n’ont rien avoir avec toi et moi
 je ne suis pas la mĂȘme personne avec toi. Nyx pensait vraiment ce qu’elle avait dit. La regardant dans les yeux. La peur se faisait ressentir. Son cƓur battait Ă  toute vitesse. Elle s’en fichait si Elina avait tout entendu. Si elle voyait dans l’état dans laquelle elle avait rĂ©ussi Ă  la mettre. Une seule chose comptait Ă  ses yeux Ă  cet instant Ne pas perdre Max. Elle Ă©tait une autre personne en sa prĂ©sence. Car il n’y avait qu’elle qui comptait. Mais, la personne qu’elle est quand Max n’est pas lĂ , est une personne dĂ©testable. Qui n’a que des pensĂ©es sombres. Elina n’avait pas tout mentionnĂ©. SĂ»rement parce qu’elle n’était pas au courant. Une fois Poudlard fini, elle ne comptait pas rester bien sage
 Max ValdrakSerdaigle Re On pique une petite tĂȘte ? Max Valdrak, le Sam 20 Mai - 1537 Je ne savais plus trop quoi penser. Je savais qu’elle me cachait quelque chose. Mais je ne pouvais imaginer quoi. Au moment oĂč j’allais rĂ©pondre Ă  ma copine, une jeune fille Ă©tait arrivĂ©e. Elle avait parlĂ©. Dit des choses auxquelles je ne voulais pas croire. La personne qu’elle dĂ©crivait n’était point celle que je connaissais. Cela n’était pas possible
Et pourtant
Un regard vers Nyx et je savais avant mĂȘme qu’elle ne prenne la parole que la rouge et or n’avait pas menti. Je pouvais voir la culpabilitĂ© dans ses yeux. Je ne savais pas comment je devais rĂ©agir. MalgrĂ© la description qui m’en Ă©tait faite je ne pouvais pas me dĂ©tacher de l’esprit la vision gentille et douce que j’avais d’elle. Je comprenais maintenant mieux son attitude. Celle qu’elle avait avant la jeune fille vienne nous interrompre. Je comprenais mieux son regard qui semblait triste. Allait-elle tout me dire ? Peut-ĂȘtre. Pour l’heure elle restait aussi silencieuse que moi. Mais le silence qui devenait pesant fut brisĂ©. Sa voix. BrisĂ©e. HĂ©sitante. Pleine de remords. Me fit mal au cƓur. Elle parlait. Je l’écoutais. Sans l’interrompre. Je n’avais pas grand-chose Ă  dire. Je me retrouvais un peu perdue. Elle semblait l’ĂȘtre aussi. Puis elle se tut. Elle devait attendre une rĂ©ponse. Une rĂ©action. Mais je ne bougeais plus. FigĂ©e. Mes membres ne rĂ©pondaient plus. Mes pensĂ©es allaient dans tous les sens. Je cherchais quoi lui dire. Je la croyais quand elle me disait que je comptais beaucoup pour elle. Je la croyais quand elle disait qu’elle ne voulait pas me perdre Ă  nouveau. Moi non plus je ne le voulais un instant, je pensais fuir pour rĂ©flĂ©chir. Cependant, je m’étais promis de ne plus le faire. En particulier avec Nyx. Je devais alors trouver les mots justes. Cela Ă©tait compliquĂ©. Mais je m’y risquais
-Je te crois. Et mĂȘme si je n’aime pas ce que j’ai entendu cela ne change pas le fait que je t’aime. Je ne serais pas naĂŻve au point de te demander de changer pour moi. Je ne veux pas que tu changes pour moi. Mais pour toi. Je ne suis pas Ă©nervĂ©e contre toi. Tu dois avoir tes raisons pour agir ainsi. Cependant sache que si tu as besoins de quelqu’un pour t’aider Ă  aller vers l’avant je serais lĂ . Je serais toujours lĂ  pour toi. Je marquais une courte pause pour reprendre mon souffle. Mon cƓur battait un peu trop vite. Je la regardais dans les yeux. J’étais sincĂšre. Je parlais avec le cƓur et je savais qu’elle l’avait que j’ai dit tout Ă  l’heure, que tout le monde a un bon fond je le pense. La preuve quand tu es avec moi. Tu n’es pas une personne diffĂ©rente tu es toi. C’est juste une autre partie de ta personnalitĂ© qui s’exprime. Chacun a ses dĂ©fauts. Mais ceux-ci ne doivent pas dominer comme les pensĂ©es sombres. Je levais les yeux au ciel et souris Ă  ce que je venais de dire. RĂ©primant un lĂ©ger disant cela je dois passer pour une optimiste naĂŻve. Peut-ĂȘtre. Mais en dĂ©plaise aux autres c’est ce que je pense. Une personne n’est pas totalement bonne ou mauvaise. Blanc ou noir. Le monde est fait d’un nuancier de gris. A nous de trouver la teinte qui nous correspond. Je marquais une nouvelle pause remarquant que je m’étais encore Ă©loignĂ©e du sujet de discussion. -Tout cela pour dire, qu’il y a des raisons derriĂšre tout. Et si tu veux m’en parler Ă  cƓur ouvert je serais lĂ  pour t’écouter sans te juger. Ce n’est pas mon rĂŽle de te juger. Je tiens fort Ă  toi et je veux te soutenir, t’aider Ă  avancer sans t’enfoncer. Re On pique une petite tĂȘte ? Contenu sponsorisĂ©, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum AuBonbon qui Pique. November 21, 2018 · SONDAGE! Vous ĂȘtes plutĂŽt OR jaune, blanc, ou rose? :D. Une commande Maya Jewelry sera validĂ©e fin de semaine, c'est le moment de vous faire plaisir! ( Pour un montant lĂ©gĂšrement infĂ©rieur Ă  celui du site, et en Ă©vitant la douane :p) ( CrĂ©dit photo: Ritual Arts Tattoo and Body Piercing ) Au Bonbon qui Pique.
La solution Ă  ce puzzle est constituéÚ de 8 lettres et commence par la lettre A Les solutions ✅ pour PIQUE LEGEREMENT de mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. DĂ©couvrez les bonnes rĂ©ponses, synonymes et autres types d'aide pour rĂ©soudre chaque puzzle Voici Les Solutions de Mots CroisĂ©s pour "PIQUE LEGEREMENT" 0 0 0 0 0 0 0 0 Partagez cette question et demandez de l'aide Ă  vos amis! Recommander une rĂ©ponse ? Connaissez-vous la rĂ©ponse? profiter de l'occasion pour donner votre contribution! Similaires
Ilsse glissent partout, dans la poche, dans un sac Ă  main, dans la voiture, au travail ou tout simplement Ă  la maison pour un moment de dĂ©tente UN BONBON QUI A SÉDUIT LE MONDE ENTIER : Depuis sa crĂ©ation en 1932, le bonbon Mentos a traversĂ© les mers et conquis les palais du monde entier. Que ce soit Ă  la menthe, aux parfums fruitĂ©s, ou Ă  la Bonjour, Comme vous avez choisi notre site Web pour trouver la rĂ©ponse Ă  cette Ă©tape du jeu, vous ne serez pas déçu. En effet, nous avons prĂ©parĂ© les solutions de CodyCross Se dit d’un bonbon qui pique lĂ©gĂšrement. Ce jeu est dĂ©veloppĂ© par Fanatee Games, contient plein de niveaux. C’est la tant attendue version Française du jeu. On doit trouver des mots et les placer sur la grille des mots croisĂ©s, les mots sont Ă  trouver Ă  partir de leurs dĂ©finitions. Le jeu contient plusieurs niveaux difficiles qui nĂ©cessitent une bonne connaissance gĂ©nĂ©rale des thĂšmes politique, littĂ©rature, mathĂ©matiques, sciences, histoire et diverses autres catĂ©gories de culture gĂ©nĂ©rale. Nous avons trouvĂ© les rĂ©ponses Ă  ce niveau et les partageons avec vous afin que vous puissiez continuer votre progression dans le jeu sans difficultĂ©. Si vous cherchez des rĂ©ponses, alors vous ĂȘtes dans le bon sujet. Le jeu est divisĂ© en plusieurs mondes, groupes de puzzles et des grilles, la solution est proposĂ©e dans l’ordre d’apparition des puzzles. Solution CodyCross Se dit d’un bonbon qui pique lĂ©gĂšrement Vous pouvez Ă©galement consulter les niveaux restants en visitant le sujet suivant Solution Codycross ACIDULE Nous pouvons maintenant procĂ©der avec les solutions du sujet suivant Solution Codycross Faune et Flore Groupe 163 Grille 5. Si vous avez une remarque alors n’hĂ©sitez pas Ă  laisser un commentaire. Si vous souhaiter retrouver le groupe de grilles que vous ĂȘtes entrain de rĂ©soudre alors vous pouvez cliquer sur le sujet mentionnĂ© plus haut pour retrouver la liste complĂšte des dĂ©finitions Ă  trouver. Merci Kassidi
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Le Deal du moment -33% Jumbee Roundnet – Jeu de plein air Ă  ... Voir le deal € COMMENCEMENT. Corbeille RP terminĂ©s Aller Ă  la page 1, 2 AuteurMessageInvitĂ©InvitĂ©Sujet Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Ven 10 DĂ©c - 217 piratesoul & lilytoon Derek venait d’envoyer le dernier message Ă  Andrew, qu’il mit son casque sur la tĂȘte et dĂ©marra sa moto. Il s’était juste rapidement assurĂ© que le jeune homme Ă©tait bien au boulot et d’ensuite lui Ă©crire qu’il allait arriver d’ici peu. Ne prenant pas la peine d’attendre la rĂ©ponse de celui-ci, de toute façon c’était urgent et il devait simplement le voir tout de suite. Quittant le parking du journal, il prenait son heure de midi de libre pour pouvoir sortir. Il Ă©tait dans un de ces Ă©tats depuis deux jours, qu’il commençait franchement Ă  en avoir assez. Assez de ces histoires et de ces questions. Derek passa entre les voitures pour avancer plus vite, ne voulant pas inutilement perdre de temps. Surtout qu’il ne savait pas quand Andrew pouvait se libĂ©rer cinq minutes pour venir. Donc il prĂ©fĂ©rait ĂȘtre lĂ  bien tĂŽt pour attendre. Car ça il allait attendre ! Arrivant au parking de l’hĂŽpital, il y gara sa moto et rangea le casque. Prenant ses clefs, il se hĂąta vers l’immeuble, suivant le mur de droite pour arriver derriĂšre oĂč Ă©tait la terrasse de la cantine. Certains du personnel dĂ©jeunĂ© sur place et des visiteurs surement. Derek sortit son tĂ©lĂ©phone portable et Ă©crit un autre texto. Citation Je suis arrivĂ©. Je t’attends Ă  la terrasse de la cantine. C’est urgent, je pars pas avant que tu viennes. Le journaliste envoya le texto et rangea son tĂ©lĂ©phone dans sa poche. Un peu sur les nerfs tout de mĂȘme, il replia jusqu’au dessus du coude une des manches de sa chemise qui s’était un peu dĂ©faite. Comme d’habitude le temps Ă  cette heure de journĂ©e Ă©tait particuliĂšrement chaud. Il s’avança alors, quittant la terrasse pour aller se mettre contre le mur plus loin. L’endroit Ă©tait mĂȘme idĂ©al, c’était parfait. Il aurait moins de mal ici, que de rester devant un public. Il s’épaula contre le mur, gardant son regard dirigĂ© sur les vitres qui sĂ©parait l’extĂ©rieure de l’intĂ©rieure. Il verrait mĂȘme tout de suite quand Andrew entrerait dans la cantine. Derek Ă©tait tout de mĂȘme agitĂ©. Ce n’était rien, il avait juste Ă  avoir quelque chose de la part du jeune homme. AprĂšs tout, il y avait certainement qu’Andrew qui saurait lui donner des rĂ©ponses concrĂštes. DĂ©jĂ  que l’infirmier lui avait prĂȘtĂ© une oreille attentive y a plus d’un mois, maintenant il en avait juste Ă  nouveau besoin. Et le voila ! Le journaliste attendit que le jeune homme soit sortit sur la terrasse et de croiser son regard pour lui faire signe de la main. N’attendant pas son arrivĂ©, Derek recula, tout en suivant le mur, jusqu’à ce que l’angle lui permit de ne plus voir les tables de la terrasse. Il attendit alors sur place qu’Andrew arrive jusqu’à chez lui. Depuis la semaine derniĂšre, qu’Andrew l’avait raccompagnĂ© chez lui, Derek ne l’avait pas revu. Salut ! », lĂącha-t-il, plus nerveux qu’il ne le voulait, mais la situation Ă©tait loin d’ĂȘtre simple. T’as combien de temps de libre, lĂ  ? », demanda-t-il. MĂȘme s’il saurait se dĂ©brouiller, qu’avec cinq minutes. Mais bon
 c’était surtout aussi pour ne pas en arriver Ă  ce pourquoi il Ă©tait lĂ  !DerniĂšre Ă©dition par Derek J. Morrison le Dim 26 DĂ©c - 246, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Ven 10 DĂ©c - 1354 Andrew avait apprit lors de ses longues annĂ©es d'Ă©tudes pour devenir aide-soignant, qu'il fallait garder son calme en toutes circonstances, que paniquer mĂȘme une seconde pour mettre en danger ses patients mais aussi lui mĂȘme. Le garçon s'attelait Ă  garder cette rĂšgle dans le top de ses prioritĂ©s, cependant quand il s'agissait des personnes chĂšre Ă  son cƓur, tout son univers se retrouvait chambouler. Comme avec Chris, quand le centre l'appelait pour le prĂ©venir que son petit frĂšre venait une nouvelle fois de mettre sa vie en danger, son cƓur s'emballait, et il ne pouvait retrouver son calme, qu'une fois rassurĂ© sur l'Ă©tat de santĂ© de celui qui portait le mĂȘme ADN que lui. Depuis, une semaine, l'infirmier souffrait d'une nouvelle affliction, que malheureusement aucun mĂ©dicament ne pourrait soigner. Il Ă©tait tombĂ© amoureux, en tout cas c'est ce qu'il supposait, de Derek. Pourtant, le garçon savait que tout cette histoire Ă©tait impossible, encore une...et qu'il devrait se contenter d'ĂȘtre son ami, l'Ă©couter, le conseiller et ĂȘtre lĂ  pour lui s'il avait besoin de quelque chose. C'est pour cela que quand son tĂ©lĂ©phone vibra dans la poche de sa veste, dans les vestiaires, et qu'il Ă©tait sous la douche commune, il se pressa d'attraper une serviette pour clopiner jusqu'Ă  celui-ci. Les cheveux mouillĂ©s couvrant son front, montrant que malgrĂ© le trĂšs peu de temps passĂ©, sa coupe avait Ă  nouveau changĂ© HJ magie du monde du rp XD, et une main couvrant ses parties intimes, il rĂ©pondu au message qui voulait s'assurer qu'il Ă©tait bien Ă  son travail. Puis le nĂ©o-zĂ©landais qui se faisait reluquer les fesses par ses collĂšgues autant fĂ©minines que masculines, entendit des sifflements qu'il arrĂȘta d'un signe de la main. Derek allait arriver et il voulait le voir pendant la pause dĂ©jeuner. Sullivan paniqua, s'inquiĂ©tant pour son ami. Son cƓur s'emballait comme avec son petit frĂšre, il espĂ©rait de rien de grave Ă©tait arrivĂ©. Drew' voulait tout de suite rĂ©pondre Ă  son message en lui demandait ce qu'il avait, et que tout cela l'inquiĂ©tait, mais le jeune homme n'envoya pas ce sms. Alors, que le nĂ©o-ZĂ©landais s'habillait, il commençait Ă  imaginer le pire; un accident de moto, une mort dans sa famille, une soudaine maladie incurable dĂ©couverte, ou une peine de cƓur avec ce Ash » comme il l'appelait. Sur son banc, enfin en caleçon, l'infirmier prit le temps de souffler, ne voyant pas le temps dĂ©filer. Car dans sa tĂȘte, il repassait cette semaine, oĂč il n'avait pas vu le grand brun, oĂč il ne l'avait pas appelĂ©, ni mĂȘme envoyĂ© un message. Ce n'est pas l'envie qui lui manquer, mais Ă©trangement il prĂ©fĂ©rait prendre ses distances, plutĂŽt que souffrir une nouvelle fois. MĂȘme, s'il avait passĂ© ses soirĂ©es Ă  regarder son tĂ©lĂ©phone pour voir si Derek allait l'appeler. En parlant du loup, il reçu un nouveau message. Citation Je suis arrivĂ©. Je t’attends Ă  la terrasse de la cantine. C’est urgent, je pars pas avant que tu viennes. Il lui rĂ©pondit aussitĂŽt, ses doigts tremblotant sur le clavier de son tĂ©lĂ©phone. Citation TrĂšs bien, je suis lĂ  dans cinq minutes o C'Ă©tait quoi ce smiley dans son message ? Mais pas le temps de s'engueuler, il enfila sa tenue de travail, vert pomme; avec son haut et son col en v qui Ă©pousait parfaitement son torse imposant, et son bas qui tombait parfaitement sur ses chaussures blanches. Tu manges avec nous, coco ? » demanda l'un de ses collĂšgues. Il lui fit non d'un signe de tĂȘte et commença Ă  courir pour se rendre au lieu de rendez-vous imposĂ© par le reporter. L'infirmier courrait comme s'il venait d'ĂȘtre bippĂ© par le bloc opĂ©ratoire pour une urgence. Andrew courrait, car il avait peur pour son ami, peur d'entendre une nouvelle dĂ©vastatrice, une nouvelle qui l'Ă©loignerait de lui. Car, il avait tellement de choses qu'il voulait lui dire avant...La course fut folle entre les brancards, les patients en chaise roulante, les ascenseurs prit Ă  la derniĂšre minute, les escaliers descendu quatre Ă  quatre. La cantine de l'hopital Ă©tait dans l'aile opposĂ© oĂč il se trouvait. Normalement, c'Ă©tait 15 minutes avec des bonnes jambes, mais il avait promis de le faire en cinq minutes. C'est ainsi que Sully' sortit sur la terrasse essoufflĂ©, cherchant du regard Derek. Son signe de main, et son Ă©loignement sur le cĂŽtĂ©, l'inquiĂ©ta, mais il essaya de garder son calme en ne laissant rien apparaĂźtre. Il suivit patiemment le grand brun jusqu'Ă  qu'il s'arrĂȘte, et qu'ils se retrouvent dans un petit coin en toute intimitĂ©. Salut ! » l'observant Andrew sentait qu'il avait quelque chose, mais polit il rĂ©pondit simplement. Hey ! » dit-il le souffle coupĂ©, et les mains sur ses genoux. Andrew remonta la tĂȘte pour prendre une nouvelle inspiration. T’as combien de temps de libre, lĂ  ? » Le nĂ©o-zĂ©landais se gratta la tempe, c'est lui oĂč il venait de le tutoyer ? Grand ouragan dans son esprit, avec cette simple pensĂ©e; cela devait vraiment ĂȘtre grave. J'ai une heure je pense, sauf si on me bippe, pourquoi ? » rĂ©pondit-il. Le garçon n'Ă©tait pas croyant mais il commença Ă  prier tout les dieux existants pour avoir tord de s'inquiĂ©ter, et que cela terminerait par une bonne blague; Oui, pardon de te dĂ©ranger, mais je trouve pas mes clĂ©s de moto, tu les aurais pu ramassĂ© dans l'ascenceur ? InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Ven 10 DĂ©c - 1520 Les cinq minutes avaient paru bien longues. MĂȘme qu'il se demandait s'il ne ferait pas mieux de lui Ă©crire et d'annuler tout ça. Mais non ! Il ne pouvait plus reporter les choses Ă  plus tard. Il devait une bonne fois pour toute savoir. Donc Derek recula dĂšs qu'il vit l'infirmier au loin. Andrew avait dĂ» se dĂ©pĂȘcher de venir, vu qu’il s’emblait essouffler. C’était sĂ»rement de sa faute Ă  avoir dit que c’était urgent. Enfin ça l’était
 mais ça n’avait pas Ă©tĂ© nĂ©cessaire de courir aussi vite pour lui par contre. M’enfin maintenant les choses Ă©taient faite aprĂšs tout et Derek Ă©tait quand mĂȘme content que le jeune homme ait trouvĂ© le temps de venir jusqu’ici. Car il voulait mettre tout ça au plus vite derriĂšre lui. Il avait tout tentĂ©. Suivit les conseils d’Andrew, sortant maintenant depuis prĂȘt d’un mois pour essayer de rĂ©gler cette affaire. S’éloignant mĂȘme d’Ashton un peu, mais du coup le jeune homme ne semblait plus ĂȘtre le gros de ses problĂšmes. Et y a deux nuits, pour lui ça avait Ă©tĂ© le comble ! Il n’avait plus envie de tourner bien longtemps autour du pot. Si les choses devaient changer, alors elles allaient arriver qu’il le veuille ou pas. Mais il n’avait aucune envie de se torturer l’esprit pendant un autre mois entier, voir plus longtemps. Surtout que ça durait dĂ©jĂ  un bon moment, mĂȘme avant la rencontre avec Andrew. Hey ! » Derek l’observa, le laissant reprendre son souffle. C’était tout de mĂȘme gentil de la part d’Andrew d’avoir fait si vite rien que pour lui. En tout cas c’était bien de le voir en forme. Andrew semblait avoir prit le repos qu’il lui fallait. L’épisode de l’ascenseur avait eu du mal Ă  quitter son esprit au dĂ©but. Il se demandait mĂȘme pourquoi il ne lui avait pas Ă©crit le lendemain pour demander s’il Ă©tait bien rentrĂ©. Mais mĂȘme ses rĂ©actions l’avaient gĂȘnĂ©, tout semblait ĂȘtre parti Ă  la dĂ©rive. T’as combien de temps de libre, lĂ  ? » , demanda Derek, essayant de se calmer un peu aussi. Pourquoi ĂȘtre autant sur les nerfs ? Enfin
 il devait voir le bon cĂŽtĂ© des choses
 sauf qu’il n’en voyait pas vraiment, mais tout dans son temps. J'ai une heure je pense, sauf si on me bippe, pourquoi ? » Une heure ? Bon
 c’est peut ĂȘtre mĂȘme plus que ce qu’il aurait bien voulu. Il ne savait plus trop quoi faire. Peut ĂȘtre devait il s’excuser pour le dĂ©ranger et s’en aller. Ou
 non simplement l’inviter Ă  dĂ©jeuner, ça pourrait passer totalement inaperçu. C’est qu’en plus il devait avoir l’air d’un idiot Ă  le fixer ainsi sans rien dire. Je pense que c’est suffisant », lĂącha-t-il alors. Suffisant pour quoi ? Pour savoir ! Et il n’avait pas envie de savoir avec n’importe qui. Au risque mĂȘme que peut ĂȘtre il se trompe. Mais il avait largement eut le temps d’y penser ces deux derniers jours. Et dĂšs qu’il avait prononcĂ© ces mots, il ne laissa le temps Ă  Andrew d’y rĂ©pondre. Posant ses mains sur le cou du jeune homme, ses pouces glissant un peu sur la mĂąchoire de ce dernier, Derek le fit se pivoter un peu pour qu’Andrew se retrouve dos contre le mur. Pour finir, il s’en rapprocha pour sceller ses lĂšvres contre celles d’Andrew. Fermant les yeux, il prĂ©fĂ©ra du coup que se concentrer sur ce baiser. GoĂ»tant Ă  ces lĂšvres sucrĂ©es, il se surprit Ă  rapidement vouloir l’approfondir un peu plus. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Ven 10 DĂ©c - 1955 Andrew Ă©tait trĂšs loin de se douter du futur des Ă©vĂšnements, quand il arriva en courant au lieu de rendez-vous que lui avait fixĂ© Derek. Il Ă©tait arrivĂ© essoufflĂ©, ayant retournĂ© dans sa tĂȘte un milliard de questions qui tournaient toutes autour d'un point central, la santĂ© du journaliste. Heureusement en le voyant lui faire signe pour qu'il s'isole sur le cĂŽtĂ©, l'infirmier peut remarquer qu'il n'avait aucun plĂątre ou blessure physique. Mais alors pourquoi il voulait le voir aussi rapidement ? se demanda t-il en s'approchant, respirant avec difficultĂ© Ă  cause de cette course Ă©prouvante. Hey ! » lui lança t-il en continuant son avait le visage Ă©trangement sĂ©rieux, comme si quelque chose Ă©tait sur le point d'exploser. Drew' ne montra aucun signe d'inquiĂ©tude sur son visage, utilisant ses trois annĂ©es en tant qu'infirmier pour savoir qu'elle visage offrir aux malades quand il fallait annoncer une mauvaise nouvelle. Cependant Ă  l'intĂ©rieur, les interrogations fusaient Est-ce qu'il Ă©tait malade ? Est-ce que son meilleur ami, ce Ash lui avait fait du mal ? Devait-il partir trĂšs loin bientĂŽt ? Bien sĂ»r, ils se connaissaient Ă  peine, et Morrison n'avait aucune raison de venir lui raconter tout cela. AprĂšs tout, il Ă©tait quoi pour lui, juste une rencontre... T’as combien de temps de libre, lĂ  ? » demanda Derek. Andrew reprit en rĂ©pondant. J'ai une heure je pense, sauf si on me bippe, pourquoi ? »C'est pour cela qu'il ne lui avait pas Ă©crit au lendemain de ce moment dans l'ascenseur, car lui Ă©crire, c'Ă©tait vouloir le revoir, et ĂȘtre Ă  nouveau avec lui. Andrew devait se faire Ă  l'idĂ©e, il Ă©tait amoureux du grand brun, c'Ă©tait tombĂ© comme cela, sans qu'il puisse rien n'y faire. Lui, qui s'Ă©tait promis de ne plus jamais aimer, de ne pratiquer que l'amour libre le temps d'une nuit. A ce jour, son cƓur et son corps Ă©tait entiĂšrement dĂ©vouĂ© Ă  Derek, car depuis cette dĂ©couverte, le Chasseur n'Ă©tait pas sortit, avait refusĂ© tout les rendez-vous coquins proposĂ©s par des anciennes rencontres. Ses soirĂ©es avaient Ă©tĂ© simples, et plutĂŽt tristes ; un plat chinois, son canapĂ© avec son regard rivĂ© sur son tĂ©lĂ©phone. Alors, revoir le journaliste d'aussi prĂȘt, lui procura un long frison qui fit chevreter ses lĂšvres. Mais que voulait-il de lui ? Andrew allait bientĂŽt le savoir. Je pense que c’est suffisant » lĂącha t-il alors que l'infirmier allait lui demander pourquoi. Il vit les mains du grand brun s'accrocher Ă  sa nuque. Dans sa tĂȘte c'Ă©tait dĂ©jĂ  le chaos Il n'allait pas faire cela ? , se sentait pivoter, il ne lutta pas, bien trop surprit par ce retournement de situation. Sully' regarda les lĂšvres qu'il dĂ©sirait tant s'unir aux siennes. Si c'Ă©tait un rĂȘve, il voulait en profiter. Si c'Ă©tait un baiser d'adieu, il voulait le savourer. Et, si c'Ă©tait un baiser de vĂ©rification, il voulait juste saisir le plus longtemps ce moment. L'infirmier aurait pu le repousser, lui poser des questions; Qu'est ce que cela signifiait ? Pourquoi lui ? Pourquoi maintenant ? Mais alors qu'il avait les yeux grands ouverts, il les ferma pour juste l'embrasser, rĂ©pondant enfin Ă  ses lĂšvres, agrippant la tĂȘte de Morrison, et enfonçant ses doigts dans ses cheveux. Drew' se fit plus intense, tout en gardant une douceur toute particuliĂšre. Il se colla Ă  Derek, voulant ne plus faire qu'un avec lui, au moins pendant quelques secondes, sa bouche se dĂ©lectant de ses lĂšvres, qu'il serait entre le siennes. Son corps bougeait comme dans une chorĂ©graphie au ralentie, aimant cette chaleur, cette odeur et la rĂ©action de leurs muscles s'entrechoquant. L'infirmier savait que ce baiser ne durerait pas, et ne voulait pas subir la souffrance de se faire rejeter, ou de voir le grand brun disparaĂźtre juste aprĂšs ce moment tendre entre eux. Il paniqua ne sachant pas si ce qu'il allait faire, pourrait ĂȘtre encore plus dĂ©placĂ© ? Sully' se dĂ©tacha avec douceur des lĂšvres aux saveurs Ă©dulcorĂ©es, et laissa glisser ses mains sur le visage du journaliste. Il chercha Ă  croiser son regard, et lui demanda. Qu'est ce qui se passe ? Tu me fais peur, Derek ! Tu as l'air complĂ©tement chamboulĂ©... » dit-il avec douceur en arrĂȘtant de le vouvoyer, tout en laissant ses mains caresser ce visage piquant Ă  cause de sa barbe apparente. Tu peux tout me dire. Je suis lĂ  ! Je peux tout entendre tu sais... » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Ven 10 DĂ©c - 2134 Il est vrai que Derek craignait qu’Andrew prenne mal sa dĂ©marche. Mais en sachant que le jeune homme en face de lui devait plutĂŽt ĂȘtre adepte des coups d’un soir, il supposait qu’un baiser Ă©changĂ© ne devait pas trop le dĂ©ranger. Et si par hasard ce serait le cas naturellement il s’en excuserait. Mais ceci il ne pouvait que le savoir aprĂšs l’avoir embrassĂ©. C’est pour ça qu’il l’avait tournĂ© contre le mur de l’hĂŽpital, tout en s’approchant pour goĂ»ter dans un premier temps doucement aux lĂšvres d’Andrew. Pendant un court moment vint l’hĂ©sitation et les questions. Sur ce moment, Andrew aurait pu le repousser ou rĂ©pondre Ă  son baiser. Et au final, son camarade avait choisit de rĂ©pondre au baiser, ce qui encouragea Derek Ă  se rapprocher de lui pour que leur corps soient plus prĂšs l’un de l’autre. Sentant les doigts d’Andrew glisser entre ses cheveux, Derek suivit le mĂȘme mouvement pour leur baiser, intensifiant par la mĂȘme occasion ce qu’il ressentait en lui. Au dĂ©but de doux frisson mais qui devinrent rapidement plus fort au creux de ses reins. Cela faisait un bon moment qu’un simple baiser ne lui avait plus fait autant d’effet. Ce qu’il avait connu depuis son ex petite amie avait toujours Ă©tait terne et sans saveur. Mais actuellement c’était tout autre chose. Si ça n’aurait tenu qu’à Derek, il aurait continuĂ© ce baiser encore et encore, voulant toujours goĂ»ter aux lĂšvres d’Andrew et glisser sa langue sur ces derniĂšres. Mais ce ne fut pas le cas, l’infirmier recula lĂ©gĂšrement la tĂȘte, arrĂȘtant le baiser. Le journaliste n’en fit rien et rouvrit les yeux, retrouvant une rĂ©alitĂ© bien plus difficile. Il venait d’embrasser Andrew et il avait aimĂ© ça. Pire, il voudrait recommencer. Avec un simple baiser, Andrew l’avait satisfait bien plus que la derniĂšre soirĂ©e qu’il avait passĂ© avec Melody. Derek inspira un coup, mais ne bougea pas, ne souhaitant briser la proximitĂ© qu’il avait avec le jeune homme. Il pencha lĂ©gĂšrement sa tĂȘte contre la main d’Andrew qui venait lui caresser la joue. Qu'est ce qui se passe ? Tu me fais peur, Derek ! Tu as l'air complĂ©tement chamboulĂ©... » Surement
 MĂȘme s’il avait pensĂ© pouvoir Ă©chapper Ă  tout ça et rester tel quel, il devait arrĂȘter de se voiler la face. Tu peux tout me dire. Je suis lĂ  ! Je peux tout entendre tu sais... » Derek reposa son front doucement contre celui d’Andrew, son nez frĂŽlant doucement celui de son camarade. Il ferma un moment les yeux, avant de croiser Ă  nouveau le regard du jeune homme. Je le sais » Andrew avait bien Ă©tĂ© la personne la plus proche pour ce qu’était de ses petits soucis. Seulement parce qu’il n’avait pas eu le courage d’en parler Ă  Val, qui aurait dĂ» ĂȘtre certainement la personne Ă  la place d’Andrew, pour ce qui Ă©tait de se confier. Mais les choses Ă©taient simplement ainsi. J’avais besoin de savoir
 », continua-t-il d’un ton plus bas. ça fait deux jours que ça me torturait l’esprit » Avec le coup foireux qu’il avait eu avec la jeune femme
 pourtant ça semblait ĂȘtre bien partie. Ils avaient rapidement sympathisĂ© dans la boĂźte de nuit puis Ă©taient rentrĂ© chez elle pour y finir la soirĂ©e. Sauf que c’était loin de c’était bien passé  J’ai tentĂ© de passer une nuit avec une femme, mais ça c’est mal passé  » reprit il plus doucement. Car c’était tout de mĂȘme difficile Ă  dire, et surtout honteux. Personne n’allait vanter les soirĂ©es catastrophiques. Le journalise dĂ©posa un court baiser sur les lĂšvres du jeune homme puis redressa la tĂȘte. Je pense que je ferais mieux d’arrĂȘter de me mentir
 et puis mĂȘme si c’est dĂ» Ă  autres choses, je verrais si le corps masculin m’est satisfaisant ou pas, ça rĂ©pondrais bien plus rapidement aux questions. » Mais aprĂšs si ce n’était pas le cas ? Et s’il dĂ©couvrirait que ce n’était pas pour lui ? Alors il aurait un problĂšme bien plus grave que pensĂ© initialement. Mais au fond il en doutait
 car rien que ce baiser lui avait dĂ©jĂ  bien plus apportĂ©. Et il Ă©tait franchement en manque. Des mois qu’il n’avait pas pu profiter d’un baiser et d’apprĂ©cier de sentir un corps chaud contre le sien. Derek se pencha Ă  nouveau en avant pour capturer les lĂšvres de l’infirmier, voulant apaiser un peu sa soif de tendresse. Parce que niveau tendresse, il avait tentĂ© de le compenser en prenant le chat de Sookie comme victime Ă  le bisouiller et le cĂąliner dĂšs qu'il le pouvait. Pas dit que le chat s'en ait plaint, mais un ce dernier ne pourrait pas rassasier totalement le journaliste. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Sam 11 DĂ©c - 220 Ce baiser doux et langoureux qu'il Ă©changea avec Derek, ne semblait pas un rĂȘve. En tout cas, si c'Ă©tait le cas, c'Ă©tait le plus beau rĂȘve qu'il aurait pu faire. La sensation de surprise, liĂ© au plaisir et la dĂ©couverte des lĂšvres acidulĂ©es du grand brun, Ă©tait comme si son corps avait Ă©tĂ© plongĂ© dans une cuve ardente. C'Ă©tait horrible Ă  dire comme cela, mais l'infirmier en avait embrassĂ© des garçons, des fois dans un Ă©bat passionnĂ© ou pour tester ses talents de Chasseur. Mais contre ce mur, son corps contre celui de journaliste, il se passa chez lui le petit plus qui l'emmenait bien plus loin Ă  chaque nouveau baiser, cette bouche, cette langue. Derek embrassait si bien qu'il aurait pu profiter de ses talents pendant des heures. Mais malgrĂ© ses caresses, et ses gestes tendre, une peur s'insinua en Andrew qui pensa que le grand brun pouvait Ă  tout moment couper ce lien si particulier. Il eut peur de souffrir, et avec douceur lui demanda ce qu'il pouvait bien avoir, tout en lui caressant le visage avec ses mains. Tu peux tout me dire. Je suis lĂ  ! Je peux tout entendre tu sais... » dit-alors que le front de Derek toucha le sien, l'infirmier bougea lentement, effleurant le nez de son voisin, comme une nouvelle caresse, cette chaleur intense s'installant dans sa poitrine. Non, il n'Ă©tait pas malade, Drew' Ă©tait juste heureux. Je le sais »Le nĂ©o-zĂ©landais ne l'interrompit pas, et prĂ©fĂ©ra concentrer son Ă©nergie Ă  encourager celui en continuant les gestes affectueux, en faisant glisser son index sur la nuque Ă©nergique de son ami, pour terminer sa course sur le premier bouton de sa chemise. J’avais besoin de savoir
 ça fait deux jours que ça me torturait l’esprit » Le jeune garçon chĂątain n'ajouta rien. Ayant trĂšs peur de la suite; Il voulait tester quoi ? Que les garçons lui plaisaient ? Qu'Andrew lui plaisait ? Et ? » arriva t-il juste Ă  dire en faisant sauter le premier bouton du col de la chemise de journaliste. Il savait que les futures paroles de Derek pouvait le blĂ©ser comme l'enchanter. J’ai tentĂ© de passer une nuit avec une femme, mais ça c’est mal passé  » Ah ? » ne sachant pas quoi dire d'autre. Il venait d'avoir sa rĂ©ponse, ce n'Ă©tait qu'un baiser pour tester ses penchants. Cela ne faisais pas si mal que cela, peut ĂȘtre car il se sentait si bien contre celui qu'il voulait se blottir depuis plusieurs jours. Andrew voulut baisser la tĂȘte, mais les lĂšvres de Derek le renvoya au plus haut de ce moment si magique. Je pense que je ferais mieux d’arrĂȘter de me mentir
 et puis mĂȘme si c’est dĂ» Ă  autres choses, je verrais si le corps masculin m’est satisfaisant ou pas, ça rĂ©pondrais bien plus rapidement aux questions. »Andrew chassa un cil sur le visage de celui qui embrassait bien avec douceur. Mais entendant ses derniers mots, le journaliste voulait le tuer ? pensa t-il. D'autres images s'infiltrĂšrent dans son esprit; le corps puissant de Derek complĂštement dĂ©vĂȘtue, que sa bouche pouvait explorer millimĂštre aprĂšs millimĂštre. Lui, contre ses muscles tendus par l'effort et d'oĂč perlaient une sueur cristalline. Mais Ă  quoi pensait-il ? C'Ă©tait quoi ses pensĂ©es pas trĂšs catholiques. Il ajouta avec malice dans ses pensĂ©es; S'il voulait tester , Derek, il connaissait un hĂŽtel pas loin ! On y va, c'est moi qui paye ! Bien sĂ»r, le nouveau baiser chassa ses vilaines pensĂ©es. L'infirmier Ă©tait bien dĂ©cidĂ© Ă  le faire durer, celui-lĂ , jusqu'Ă  ne plus pouvoir respirer. Il s'empressa de retourner son baiser, tout en laissant vagabonder ses mains sur le torse de son voisin, terminant par passer une main dans son dos tout en le caressant. Une chaleur intense s'intensifia dans son bas ventre quand des bruits de pas se fit entendre un peu plus loin. Peut ĂȘtre des internes ? Il se dĂ©tacha des lĂšvres, le regard aguichĂ© ne voulant pas terminer cette rencontre. Son cerveau en surchauffe, pensa rapidement Ă  la remise juste dans le prolongement. Andrew pouvait voir la porte de celle-ci, s'il tournait la tĂȘte. Tout alla trĂšs vite, ne voulant pas se laisser Ă  rĂ©flĂ©chir, il se dĂ©tacha du grand brun, et l'attrapa par le poignet, en lui susurrant Ă  voix basse. Chut ! Suis-moi ! » lança t-il en passant son passe Ă©lectronique accrochĂ© son pantalon devant une borne grise. La porte s'ouvrit, et il entra en tirant Derek avec lui. Ils se retrouvĂšrent dans une remise mĂ©dicale tout Ă  fait ordinaire avec des grandes Ă©tagĂšres, et au bout une pile de blouse de mĂ©decins qui pouvait faire canapĂ© pour un avança, tout en gardant la main du grand brun dans la sienne, et prit place sur les blouses, et proposa Ă  Derek de prendre place Ă  cĂŽtĂ©. L'infirmier, tourna la tĂȘte, son torse touchant presque celui de son voisin. Il dĂ©posa un baiser, puis caressa la main qu'il n'avait pas lĂącher. Il n'avait pas oubliĂ© les derniĂšres paroles du journaliste, et pensait lui rĂ©pondre Ă  prĂ©sent. Je comprends que tu sois perturbĂ©, tu veux me raconter les dĂ©tails ? Je sais pas, peut ĂȘtre qu'elle a fait quelque chose qui t'a dĂ©plu ? » dit-il tout en dĂ©vorant les lĂšvres de Derek mais s'il l'embrassait, il ne pouvait lui rĂ©pondre. Alors il s'avança et dĂ©posa un baiser brĂ»lant sur sa nuque. Est-ce qu'elle t'a fait quelque chose comme cela ? » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Sam 11 DĂ©c - 2015 Derek n’avait rien dit, laissant faire le jeune homme quand celui-ci avait fait cĂ©der le premier bouton de sa chemise. Le temps Ă©tait mĂȘme propice Ă  se balader torse nu, donc il n’allait pas se plaindre pour ci peu. Et puis il n’avait pas envie de se prendre la tĂȘte, mais juste profiter des lĂšvres d’Andrew pour le moment. Ça faisait bien longtemps qu’un baiser ne l’avait plus fait autant plaisir, Ă  ressentir Ă  nouveau ces quelques frissons. Peu importe si ça devait venir d’un homme, d’un ami
 Ainsi donc le jeune journalise lui fit par de son futur projet. Et oui peut ĂȘtre devait il trouver une aventure avec un homme pour savoir une bonne fois pour toute. Mais savoir qu’il devait le faire ne lui faisait pas encore ĂȘtre prĂȘt Ă  passer ce pas et il savait qu’il n’allait pas le faire d’aussi tĂŽt. Peut ĂȘtre aussi Ă  cause de l’apprĂ©hension qu’il avait. Mais pour le moment il voudrait laisser cela Ă  plus tard. DĂ©jĂ  il lui faudrait se sentir Ă  l’aise au milieu gay avant de tenter quoi que ce soit de plus. Derek s’était aprĂšs ces quelques mots penchĂ© Ă  nouveau en avant pour capturer les lĂšvres d’Andrew. Il aurait bien pu rester un long Ă  simplement l’embrasser, tellement il en ressentait le besoin actuellement. Les mains de l’infirmier qui passa sur son torse le firent agrĂ©ablement frissonner. PossĂ©dant les lĂšvres d’Andrew avec un peu plus d’ardeur, le bruit de pas qu’il entendit le fit tout de mĂȘme arrĂȘter. Reculant la tĂȘte, il regarda sur le cĂŽtĂ© pour vĂ©rifier si quelqu’un allait venir. Accepter soit mĂȘme un pas en avant, ne voulait pas forcĂ©ment signifier qu’il Ă©tait prĂȘt Ă  le montrer au monde, mĂȘme s’il ne connaissait pas ces gens et qu’il ne les verrait certainement plus. Pensant qu’il ferait donc mieux d’arrĂȘter, Derek s’était reculĂ© d’un pas pour mettre de la distance entre leur corps. Pourtant il sentit rapidement que son camarade ne l’entendait pas de cette oreille. Etant attrapĂ© au poignet, il tourna la tĂȘte vers Andrew. Chut ! Suis-moi ! » N’ayant certainement pas le choix, Derek le suivit, sentant les doigts d’Andrew glisser de son poignet Ă  sa main pour la lui saisir. Un sentiment bizarre
 HabituĂ© Ă  prendre par la main les filles, tout semblait bien diffĂ©rent maintenant. MĂȘme si ce n’était qu’une main chaude qui venait y a peu Ă  le faire frissonner sous ses caresses. Andrew ouvrit la remise avec son badge, mais Derek se demanda si c’était tout de mĂȘme l’endroit idĂ©al pour un tĂȘte Ă  tĂȘte
 et si d’autres infirmier viendraient chercher quelque chose lĂ  dedans ? Mais ne sachant pas les habitudes des internes, il ne dit rien, faisant confiance Ă  son voisin. Une fois la porte de fermĂ©, il suivit encore l’infirmier jusqu’à un tas de blouse oĂč Andrew s’installa. Bien
 c’était certainement mieux que de finir par terre. Derek s’installa donc Ă  cĂŽtĂ© du jeune homme, tout en se laissant embrasser par la suite. Je comprends que tu sois perturbĂ©, tu veux me raconter les dĂ©tails ? Je sais pas, peut ĂȘtre qu'elle a fait quelque chose qui t'a dĂ©plu ? » Hum
 pas vraiment. AprĂšs tout les prĂ©liminaires c’étaient bien passĂ©. Dire qu’avant dĂ©jĂ  rien que lĂ  ça aurait bloqué  il avait cru que cette fois ci le problĂšme Ă©tait rĂ©glĂ©, qu’il avait juste du prendre un peu de temps pour mettre ses idĂ©es en place. D’un cĂŽtĂ© peut ĂȘtre que sur le coup le fait qu’elle lui fasse une petite gĂąterie n’avait pas posĂ© problĂšme parce qu’il ne l’avait pas regardĂ© faire. Etait-ce pour ça que c’était encore passĂ© ? Il ne saurait pas le dire
 Derek eut un lĂ©ger sourire gĂȘnĂ©, tout en rĂ©pondant un peu au baiser du jeune homme. RacontĂ© des dĂ©tails
 dĂ©jĂ  que ça lui a fallu beaucoup rien que pour dire que la nuit s’était mal passĂ©e, alors rentrer dans les dĂ©tails
 Mais il oublia ça bien vite en sentant les lĂšvres chaudes de son camarade lui dĂ©poser un baiser sur la nuque. Automatiquement, il pencha lĂ©gĂšrement sa tĂȘte sur le cĂŽtĂ© pour lui offrir son cou. Il ferma partiellement les yeux posant une main sur le bras du jeune homme. Est-ce qu'elle t'a fait quelque chose comme cela ? » ça ? Oh oui elle l’avait fait et il avait gardĂ© les yeux clos. Pourquoi ce genre de dĂ©tail lui venait maintenant ? Oui
 »murmura-t-il alors doucement, aimant bien sentir la bouche du jeune homme sur son cou. et remontĂ© le long pour finir au lobe de l’oreille
 »continua-t-il tout bas. Pourquoi avait il dit ça ? Au fond en espĂ©rant un peu qu’il fasse pareille. Pourtant c’était quasi du suicide en lui indiquant un de ses points faible ainsi. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Dim 12 DĂ©c - 205 Andrew pouvait ĂȘtre rassurĂ©, Derek n'avait rien de grave, Ă  part surement ce sentiment d'ĂȘtre perdu, et de vouloir une rĂ©ponse Ă  ses questions. L'infirmier Ă©tait loin de se douter que c'Ă©tait en dĂ©vorant ses lĂšvres, qu'il voulait essayer de les rĂ©soudre. Il aurait pu ĂȘtre vexĂ©, d'ĂȘtre un simple instrument pour satisfaire les besoins de tendresse soudaine. Mais, dans son esprit, c'Ă©tait loin d'ĂȘtre une torture, sentant ce sentiment amoureux le dĂ©vorer depuis une semaine. MĂȘme si cela avait Ă©tĂ© un baiser d'adieu, il l'aurait prit sans demander rĂ©paration. Les baisers de Derek Ă©taient si dĂ©licieux, qu'il aurait pu rester contre ce mur pendant des heures et des heures. Ce picotement le long de sa nuque, le laissait complĂ©tement Ă  la merci de son camarade, ses gestes tendre , ce rapprochement, cette sensation de chaleur dans le creux de son ventre. Le garçon n'avait pas ressenti cela depuis plus d'un an, depuis qu'il avait Ă©tĂ© lĂąchement abandonnĂ© par Braddley. Mais, il ne s'emballait pas un peu vite ? AprĂšs tout, Derek " Voulait juste savoir " comme il lui avait signifiĂ©. Cela voulait dire quoi ? Je t'embrasse, et puis je m'en vais ? Non pas uniquement d'aprĂšs ce que Derek lui expliqua par la suite, encore deux baisers ? Il voulait aller plus loin dans ses recherches, pas avec lui bien sĂ»r, pas ici et pas maintenant. Mais cela suffit Ă  l'infirmier pour s'imaginer des choses bien plus osĂ©es, faire l'amour tout simplement. Étrangement, cela faisait une Ă©ternitĂ© que Sully' n'avait pas fait l'amour, il avait baissĂ© c'Ă©tait certain, juste des petits coups pour contenter le corps comme l'esprit. Pour certain, il n'avait pas de diffĂ©rence, pour Andrexw il y en avait une. Dans la premiĂšre, et la plus importante, il y avait des sentiments en jeu. MĂȘme si cela faisait deux semaines qu'il n'avait rien fait du tout. L'image de Derek ayant complĂ©tement investit et bloquĂ© ses envies, comme sa libido. Un bruit les empĂȘcha de continuer cet Ă©change passionnĂ© et sensuel, des bruits de pas qui força l'infirmier Ă  prendre une dĂ©cision. Il dĂ©cida d'emmener Derek dans la rĂ©serve annexe, qui Ă©tait trĂšs peu visitĂ©. Non, car il avait envie de l'aider Ă  rĂ©pondre Ă  sa derniĂšre question. Lui, qui Ă©tait habituĂ© au petit coup entre deux portes, et mĂȘme aux gĂąteries dans les rues de Sydney. Un sentiment bizarre s'insinuait en lui, quand il s'agissait du grand brun. Il n'avait pas envie de baiser avec lui, mais faire l'amour avec lui. Le garçon avait des envies romantiques de repas, de baiser autour de chandelles, un lit, et tout faire pour offrir une nuit inoubliable Ă  son camarade. Mais, est-ce qu'il serait ce garçon ? AprĂšs tout, il n'Ă©tait qu'un moyen de savoir...Une fois dans la remise, qui n'Ă©tait que le moyen qu'il avait trouvĂ© pour qu'il puisse continuer Ă  discuter, mais aussi Ă  s'embrasser sans ĂȘtre dĂ©rangĂ©. La pile de blouse au fond de celle-ci offrait un canapĂ© improvisĂ©, qu'il s'empressa de proposer Ă  son ami. Non, il ne voulait pas abuser de la situation, mĂȘme s'il rĂȘvait de l'embrasser Ă  nouveau. Il Ă©tait lĂ  aussi pour l'Ă©couter, et il lui demanda ce qui pouvait bien s'ĂȘtre passĂ© avec cette jeune femme pour qu'il se sente aussi perturbĂ©. Andrew l'embrassa dans le cou, attendant sa rĂ©ponse. Est-ce qu'elle t'a fait quelque chose comme cela ? » Il passa sa langue lĂ©gĂšrement sur une des veines apparentes. Prenant plaisir Ă  satisfaire Derek et entendre son Oui... » C'Ă©tait grisant de sentir qu'il pouvait avoir un pouvoir mĂȘme s'il Ă©tait limitĂ©, et il aurait pu s'arrĂȘter lĂ  si il n'avait pas ajoutĂ©. et remontĂ© le long pour finir au lobe de l’oreille
 »Andrew dĂ©colla sa bouche, amusĂ©. Est-ce qu'il lui mettait au dĂ©fis ? Il remonta donc, sa langue et ses lĂšvres s'aventurant le long de ce cou puissant, et il termina par attraper dĂ©licatement le lobe de l'oreille de Derek. Il emprisonna celui-ci dans sa bouche, et le suça avec tendresse avant de demander entre deux sucions Ah ? Comme cela ...» L'infirmier se pencha sur le grand brun pour avoir une plus grand option d'approche de cette oreille qu'il voulait plus qu'Ă  lui. Mais qu'est-ce qu'il Ă©tait entrain de faire ? Cela n'a l'air pas bien mĂ©chant tout cela ? » demanda t-il laissant voguer sa main sur le torse du journaliste, en faisant sauter un nouveau bouton. La chemise Ă  demi-ouverte, il plongea sa main sans rĂ©flĂ©chir, ne pensant qu'Ă  ce corps qu'il voulait explorer. Cela te plait ? Tu veux que j'arrĂȘte oĂč... » demanda t-il. Sa main brulante caressa ce torse, et termina sa courte sur le ventre de son camarade Ă  la limite de cette zone qu'il ne fallait mieux pas franchir. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Dim 12 DĂ©c - 1930 Etait-ce une bonne idĂ©e ? De commencer Ă  ce petit jeu, qui pourrait ĂȘtre dangereux ? Mais en sentant les lĂšvres d’Andrew sur son cou, Derek ne pouvait pas y rĂ©pondre. Surtout qu’il Ă©tait facilement tiraillait de deux cĂŽtĂ©s. L’un qui aurait prĂ©fĂ©rĂ© mettre un terme Ă  tout ça et l’autre qui ne souhaitait qu’à ce que le jeune homme continue. Surtout qu’il ne savait pas ce qu’Andrew pourrait faire, maintenant. Ni qu’il savait ce que son camarade pouvait penser de tout ça. Simplement en profiter ? Peut ĂȘtre bien, car il ne saurait pas ce que ça puisse apporter de grand au jeune infirmier. AprĂšs tout Derek ne devait actuellement pas ĂȘtre le meilleur coup que son voisin devait avoir. Les pensĂ©es de Derek furent interrompu quand il sentit la langue d’Andrew remonter sur son cou pour finir la trajectoire sur le lobe de son oreille. Sentant la chaleur monter en lui, le reporter ferma les yeux, bloquant le soupir dans sa gorge qui avait menacĂ© de s’échapper. Ses doigts sur le bras d’Andrew se crispĂšrent un peu. Ah ? Comme cela ...» Derek ne rĂ©pondit rien, ne voulant pas faire cĂ©der une autre barriĂšre. Ça avait dĂ©jĂ  Ă©tait un avant-goĂ»t de trop et il devait s’arrĂȘter maintenant. MĂȘme si une lĂ©gĂšre suite ne devait en rien ĂȘtre mal, il n’avait pas envie de brĂ»ler les Ă©tapes. Cela n'a l'air pas bien mĂ©chant tout cela ? » Vraiment ? Car pour Derek ça semblait sur le coup d’ĂȘtre bien grand. Mais ça devait ĂȘtre dĂ» au trouble qu’il ressentait toujours. Il posa son regard sur Andrew, tout en le lĂąchant au bras. Le journaliste sentit un autre bouton de sa chemise cĂ©der et la main de l’infirmier qui glissa sur son torse. Comme une suite logique, il lui sembla entendre son cƓur marteler Ă  ses oreilles. Son souffle devint plus chaud, s’échappant de ses lĂšvres. Cela te plait ? Tu veux que j'arrĂȘte oĂč... » Si
 Une simple question, mais qui lui fit l’effet d’une douche froide. Saisissant l’avant-bras plus brusquement que voulu, il le fit retirer sa main de sous sa chemise. Il le lĂącha par la suite et se releva pour faire quelques pas en avant, gardant le dos tournĂ© Ă  Andrew. Au fond de lui, oui, il aurait bien aimĂ© s’ĂȘtre trompĂ©. Et pourquoi ? Parce que ce serait plus simple ? Parce que les choses n’auraient pas Ă  changer alors ? Parce qu’il n’aurait pas Ă  dĂ©cevoir certaines personnes, dĂ» moins en avoir peur. Car il ne saurait pas la rĂ©action de certaines personnes qui lui Ă©taient cher. Car mĂȘme s’il saurait sans problĂšme en remplacer une bonne partie, il y avait par exemple Val, ou Ashton
 mĂȘme si pour ce dernier fallait rĂ©gler autre chose avant. Derek passa sa main nerveusement sur sa nuque et se racla la gorge. Si ça lui plaisait
 c’était ce qu’Andrew lui avait demandĂ©. La rĂ©ponse semblait Ă©vidente, mĂȘme si le oui Ă©tait mĂ©langĂ© avec une certaine rĂ©ticence. Qu’avec il pensĂ© ? Qu’il viendrait ici et aprĂšs un baiser que tout allait ĂȘtre rose. Que par miracle il se sentirait bien comme il Ă©tait ? Qu’il pouvait ouvrir les bras Ă  cette homosexualitĂ© » apparente ? Oh non, ce n’était en rien une chose simple. Il inspira longuement et hocha la tĂȘte. Il ne voulait plus revenir dessus. Du moins pour le moment
 Il posa ses mains sur les boutons de sa chemise pour fermer les deux boutons et se retourna partiellement vers l’infirmier, le regard plus fermĂ©. De plus mĂȘme si elle n’avait aucune raison d’ĂȘtre, il en voulait Ă  Andrew de lui faire ressentir ces choses », malgrĂ© que c’était lui qui Ă©tait venu pour l’embrasser. Mais juste pour l’embrasser
 juste pour savoir si c’était dĂ©sagrĂ©able ou pas. Et il avait ressenti bien plus que nĂ©cessaire. Voila ce qu’il n’arrivait pas encore Ă  accepter. Parce qu’il n’aurait pas du sentir cette agrĂ©able chaleur, ce sentiment de bien ĂȘtre sous les caresses du jeune homme. Tu finis Ă  quelle heure aujourd’hui ? », demanda Derek, voulant passer Ă  autre chose. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Lun 13 DĂ©c - 438 Est-ce que ce simple baiser Ă©tait allĂ© bien trop loin ? Bien sĂ»r, Andrew savait trĂšs bien en faisant entrer dans cette remise Derek, que c'Ă©tait ni ce qu'il Ă©tait venu chercher, et ce qu'il voulait vraiment. Mais comment l'infirmier pouvait rĂ©sister Ă  ce corps et Ă  ses lĂšvres, lui qui s'assumait complĂ©tement autant dans sa sexualitĂ©, que de ses envies. C'Ă©tait si simple pour lui, d'aimer, de donner, de recevoir, de passer une nuit de plaisir, ou simplement dire non. Mais pourquoi alors avoir cherchĂ© Ă  titiller Derek, Ă  l'exciter dans cette remise en s'attaquant au lobe de son oreille ? Tout simplement, car le nĂ©o-zĂ©landais Ă©tait amoureux, et gouter ce corps comme ses lĂšvres, Ă©taient un rĂȘve devenu rĂ©alitĂ©. Maintenant il allait devoir redescendre de son nuage. Cela te plait ? Tu veux que j'arrĂȘte oĂč... » demanda t-il. Drew' savait qu'il dĂ©passait les limites en passant cette main sous la chemise du journaliste. C'Ă©tait un jeu dangereux, et la rĂ©action du grand brun ne se fit pas attendre. Il lui attrapa l'avant bras, dans cette position, son poignet lĂ©gĂšrement inclinĂ©, le fit grincer des dents. Derek, voulait qu'il retire son bras, et il s'exĂ©cuta, trĂšs content de retrouver son bras, mais aussi son poignet que l'infirmier commença Ă  masser. Le garçon regarda son camarade se dresser sur ses jambes, prĂ©fĂ©rant fuir ce moment dĂ©rangeant. Je vois... » L'infirmier se douta que Morrison Ă©tait revenu Ă  la raison, cette stupide raison. Qui lui rappelait que c'Ă©tait surement trĂšs sale ce qu'il faisait. VexĂ©, Andrew ? Non, plutĂŽt déçu de cette maniĂšre de rĂ©agir. C'Ă©tait exactement, la mĂȘme que Braddley avait employĂ© Ă  leur derniĂšre rencontre. Est-ce que c'Ă©tait trop demandĂ© de lui expliquer, qu'il allait trop vite, qu'il avait besoin de temps pour y voir clair ? Non, il devait affronter le dos du grand brun, et rester dans l'incertitude. Sur sa pille de blouse, Drew' se mordit avec violence sa lĂšvre infirmiĂšre, se traitant d'idiot. Il avait cru quoi ? Il n'Ă©tait qu'un instrument ici pour comprendre des choses. Il n'avait droit de ressentir aucune Ă©motion, d'avoir aucun dĂ©sir. L'infirmier se leva, Ă©poussetant son haut et son pantalon. Il valait mieux que cela. Est-ce qu'il avait l'air de ses filles de petite vertus sur la 4Ăšme qui teste beaucoup d'homme pour un peu d'argent ? Un sentiment profond de dĂ©ception s'empara de ses entrailles. C'Ă©tait pas la premiĂšre fois qu'on l'utilisait, Braddley l'avait utilisĂ© pendant cinq ans, depuis il s'Ă©tait promis de ne plus vivre cela. Derek avait tournĂ© la tĂȘte sur lui, et osait le regarder avec un Ɠil sĂ©vĂšre. C'Ă©tait quoi ce regard ? C'Ă©tait sa faute si le journaliste ne s'assumait pas ? C'Ă©tait sa faute de rĂ©pondre favorablement Ă  son baiser ? Il aurait prĂ©fĂ©rait quoi une claque, et un coup dans les parties intimes ?Il n'avait pas vĂ©cu le rejet et la rupture de Braddley pour mĂ©riter ce genre de regard, il s'avança pour dĂ©passer Derek, en offrant au passage un bon jeu de coude, la remise n'Ă©tait pas trĂšs grande pour Ă©voluer. Il remarqua par la mĂȘme occasion, que le grand brun avait reboutonnĂ© sa chemise, trĂšs bien, ils pouvaient s'en aller maintenant. C'Ă©tait trĂšs bien pour le nĂ©o-zĂ©landais, qui attrapa son badge pour ouvrir la porte qui pourrait les libĂ©rer tout les deux. Tu finis Ă  quelle heure aujourd’hui ? » demanda Derek. Un bip sonore se fit entendre quand le garçon fit passer son badge, ses mains sur la poignĂ©e. Il s'arrĂȘta, mais ne prit pas la peine de se retourner. Si Derek mĂ©prisait ce qu'ils avaient fait, c'est qu'il le mĂ©prisait aussi. Et, pour cela, il n'avait vraiment plus rien Ă  se dire pour l'infirmier. Je ne sais pas... » dit-il trĂšs froidement en poussant la porte avec violence et s'engouffra dehors. Par politesse, il tenue la porte pour le journaliste, ne voulant pas qu'il finisse enfermer. Il osa enfin Ă  le regarder dans les yeux. L'Ă©motion Ă©tait Ă  fleur de peau, ses yeux tout d'un coup lumineux et tremblant. Pourquoi ? Tu veux savoir d'autres choses ? » Il montra du doigt le bout de la rue. Bah, Ă©coute ! Il y a les putes sur le grand boulevard, il y a mĂȘme des mecs, je suis sĂ»r qu'ils seront ravis de tirer ton fric ! » Puis, il lĂącha la porte, et commença Ă  marcher le long du mur, se sentant vraiment au plus mal. Les larmes montaient Ă  ses yeux. Il se sentait sale...Car Derek lui avait fait ressentir des choses, des choses qu'il pensait oubliĂ© depuis longtemps. Dans quelques secondes il allait se mettre Ă  pleurer. Mais pourquoi ? En tout cas, il ne voulait pas ĂȘtre vu comme cela...surtout pas par Derek.... InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Lun 13 DĂ©c - 1419 Oh oui Derek voudrait bien chasser un peu toute la situation et revenir Ă  une rĂ©alitĂ© plus acceptable pour le moment. Enfin, pas vraiment qu’il n’accepte pas
 mais c’était mĂȘme trop compliquĂ© dans sa tĂȘte Ă  savoir ce qu’il voulait actuellement. Bien sur de vouloir la facilitĂ©, Ă©tait naturelle, mais il savait qu’il ne l’aurait pas. Il faudrait qu’il essaie juste d’y aller calmement, car sinon ça finirait toujours comme maintenant. Le journaliste fit un pas sur le cĂŽtĂ© pour laisser Andrew passer qui semblait dĂ©jĂ  vouloir sortir. Ainsi il s’empressa de demander. Tu finis Ă  quelle heure aujourd’hui ? » Car il n’avait pas non plus envie d’ĂȘtre venu voir le jeune homme que pour ça et voulait bien aller peut ĂȘtre au cinĂ©ma avec Andrew si celui-ci avait le temps et l’envie. Ou faire autre chose ce soir, car il n’aimerait pas rester sur cette note un peu moins joyeuse. Je ne sais pas... » La voix d’Andrew lui fit se demander dĂ©jĂ  ce qu’il y avait. MĂȘme s’il pouvait supposer que c’était dĂ» Ă  sa rĂ©action. Pourtant il n’aurait pas pensĂ© que l’infirmier le prenne mal
 plutĂŽt avec une certaine dĂ©sinvolture. Mais en croisant le regard de celui-ci, Derek comprit qu’il s’était vraiment mal comportĂ© et mal jugĂ© la situation. Pourquoi ? Tu veux savoir d'autres choses ? Bah, Ă©coute ! Il y a les putes sur le grand boulevard, il y a mĂȘme des mecs, je suis sĂ»r qu'ils seront ravis de tirer ton fric ! » Derek s’empressa de retenir la porte et resta dans l’encadrement de celle-ci. Les mots d’Andrew firent l’effet d’un vrai coup de poing. Il s’était comportĂ© comme un rĂ©el abruti. Il observa l’infirmier s’en aller, ne sachant que faire. Il n’avait pas envie de cette situation
 et surtout de faire mal Ă  Andrew, mĂȘme si c’était malheureusement fait. Il s’en voulait vraiment. LĂąchant la porte, il se mit Ă  courir pour rattraper l’infirmier. Andrew. » Derek lui attrapa le bras pour que le concernĂ© arrĂȘte de marchĂ©. Je suis dĂ©solĂ© » La situation Ă©tait tellement inattendue qu’il ne savait quoi dire. Il posa sa main sur la joue du jeune homme pour qu’il le regarde enfin. Il ne supportait pas cette situation. MĂȘme si d’un cĂŽtĂ©, ils ne se connaissent pas depuis bien longtemps et que d’autres auraient pu en rester lĂ  et ne jamais revenir, Derek ne pourrait pas, car il s’était quand mĂȘme attachĂ© au jeune homme. Mais sur le coup, Derek se sentit encore plus minable en croisant le regard du jeune homme. En voyant les larmes perler sur les joues de l’infirmier, il sentit une douleur et un profond malaise en lui. Et dans un geste simplement instinctif et non rĂ©flĂ©chit, il serra Andrew dans ses bras, tout en passant une main sur les cheveux du jeune homme. Excuse moi
 j’ai Ă©tĂ© trop con. », murmura-t-il en espĂ©rant qu’Andrew ne le repousse pas. MĂȘme si certainement il le mĂ©ritait. Il n’avait jamais voulu qu’Andrew pense qu’il l’utilisait d’une quelconque maniĂšre. Parce qu’il ne concevait pas d’aller voir ailleurs
 Parce qu’il pensait
 a vrai dire il en avait aucune idĂ©e, n’étant plus sĂ»r de rien. Derek le serra un peu plus contre lui. DĂ©solĂ© si ma rĂ©action t’as fait du mal
 Ce n’était pas contre toi. C’était juste moi. Moi et ces
 nouveautĂ©s que j’ai juste du mal Ă  m’y faire. Mais s’il te plait ne le prend pas contre toi. » Il ne voulait pas que leur relation change
 du moins pas en Ă©voluant en pire. Donc s’il ne devait plus refaire ça avec Andrew et bien ils resteraient amis, de bons amis. Car il ne voulait pas le perdre Ă  cause de ses problĂšmes. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Lun 13 DĂ©c - 1708 Je ne sais pas... » Andrew n'avait plus envie de rĂ©pondre Ă  Derek qui voulait savoir Ă  qu'elle heure il allait finir. Il voulait juste quitter cette piĂšce et prendre une grande respiration. Il avait eu l'impression d'avoir Ă©tĂ© utilisĂ©, et se sentait bizarrement humiliĂ©. Bien sĂ»r, ce n'Ă©tait pas entiĂšrement la faute du journaliste. C'Ă©tait la faute de ce Braddley qui l'avait complĂ©tement foutu en l'air. Donc, non, il ne voulait plus rester une seule minute de plus dans la mĂȘme piĂšce que son camarade. Les souvenirs dĂ©sagrĂ©ables d'avoir Ă©tĂ© pendant cinq annĂ©es un bouche troue sentimental et sexuel, affluaient par Ă  coup. L'Ă©motion montait Ă  ses pommettes, et il ne voulait pas ĂȘtre vu dans cet Ă©tat. Il se dirigea donc vers la porte de le rĂ©serve, et l'ouvrit avec son badge. Andrew aurait pu se retirer et ne rien dire, mais c'Ă©tait plus fort que lui, il lĂącha ses mots si durs sans sourciller. Pourquoi ? Tu veux savoir d'autres choses ? Bah, Ă©coute ! Il y a les putes sur le grand boulevard, il y a mĂȘme des mecs, je suis sĂ»r qu'ils seront ravis de tirer ton fric ! » Andrew, une fois dehors, prĂ©fĂ©ra longer le mur, laissant Derek se dĂ©brouiller avec la porte. Il savait que ses paroles avaient Ă©tĂ© durs, et il regrettait dĂ©jĂ . Mais ses sentiments qui se mĂ©langeaient en lui, Ă©taient bien trop douloureux. Les larmes montĂšrent Ă  ses yeux, sans qu'il puisse comprendre vraiment la porter de tout ce drama. L'infirmier malgrĂ© sa sexualitĂ©, n'Ă©tait pas un grand pleureur, il n'Ă©tait pas non plus le genre Ă  montrer ses sentiments. Alors, pourquoi il n'arrivait pas Ă  se contrĂŽler en prĂ©sence du journaliste ? Pensa t-il. Andrew. » lĂącha Derek, mais mĂȘme la main pour le retenir, il n'en voulait pas. L'infirmier repoussa une premiĂšre fois cette approche, mais le geste avait eu l'effet escomptĂ©. Le garçon avait Ă©tĂ© stoppĂ© dans son Ă©lan, et la main du grand brun, celle-ci, il ne la repoussa pas. La sensation Ă©tait si agrĂ©able, cette chaleur, cette douceur...C'est tout ce qu'il avait besoin Ă  prĂ©sent, pour repousser tout ses anciens dĂ©mons. Il ne voulait pas qu'il le voit pleurer, mais c'Ă©tait trop tard. Le visage en berne et honteux Ă  son tour de se montrer en position de faiblesse. Il baissa les yeux, reniflant et essayant de retrouver son calme en scrutant les chaussures de son camarade. Andrew se sentait si coupable de son attitude, de son Ă©tat d'humeur, lui, qui Ă©tait si empathique, il n'avait pas essayĂ© de se mettre dans les chaussures de Morrison. Mais c'Ă©tait difficile tout cela, surtout quand on ressentait des sentiments forts...Quand Derek le prit dans ses bras, il fut interdit, se refusant d'abord Ă  le prendre Ă  son tour dans ses bras, mais ses larmes continuant de perler sur son visage. Excuse moi
 j’ai Ă©tĂ© trop con. » L'infirmier se permit de remonter les bras pour s'accrocher aux Ă©paules de son voisin. Il se sentait si bien, en totale sĂ©curitĂ©. Pour la premiĂšre fois depuis un an, il relĂąchait toute cette pression, toute cette peine en enfonçant ses doigts sur les Ă©paules qui lui Ă©tait offert. Drew' se laissa complĂ©tement allez, posant sa tĂȘte sur le torse si accueillant du grand brun et pleura, comme il n'avait jamais pleurĂ©, sans retenir aucune larme, sans se soucier des regards, ou de ce qu'on pourrait penser de lui. DĂ©solĂ© si ma rĂ©action t’as fait du mal
 Ce n’était pas contre toi. C’était juste moi. Moi et ces
 nouveautĂ©s que j’ai juste du mal Ă  m’y faire. Mais s’il te plait ne le prend pas contre toi. » MalgrĂ© ce qu'on pouvait dire, cela faisait du bien de pleurer, et le garçon reprenait maintenant pieds dans la rĂ©alitĂ©. Les paroles de Derek le calmĂšrent et le rassurĂšrent. Il dĂ©colla sa tĂȘte sans lĂącher prise, et parla Ă  cƓur ouvert. L'infirmier savait qu'il c'Ă©tait mal comportĂ© et qu'il devait s'expliquer. C'est moi...Je suis dĂ©solĂ©...J'aurais pas dĂ» me jeter sur toi comme cela...Je comprends, tu es perdu et tu te poses un tas de questions, et moi j'en profite... » Il commença Ă  se dĂ©faire de ce lien, non car cela le dĂ©rangeait mais uniquement car il voulait s'adresser Ă  Derek, yeux dans les yeux. MĂȘme s'il devait avoir une tĂȘte horrible, il s'en moquait. Je veux pas que tu penses que tu ne peux pas avoir confiance en moi, Derek ! Je sais, on se connait pas encore bien mais je veux ĂȘtre lĂ  pour t'aider si tu te poses des questions. Je serais toujours disponible pour toi, nuit et jours, 7 jours sur 7, tu comprends cela ? » Il termina en lĂąchant avec les Ă©paules de Derek, qu'il devait avoir lĂ©gĂšrement agressĂ©. Il sĂ©cha ses larmes d'un revers de manches. Je suis dĂ©solĂ© d'avoir chialer comme cela...J'ai l'air d'un con je te jure.. » dit-il en se moquant de lui mĂȘme. Tu veux savoir Ă  quelle heure je termine ? Normalement c'est 19h, ce soir. Tu veux qu'on se retrouve aprĂšs ?» dit-il en passant une main sur le torse de Derek, lĂ  il avait pleurĂ©, comme si un geste de sa main allait chassĂ© la zone humide. Il essaya de sourire, mĂȘme si c'Ă©tait encore difficile. AprĂšs tout, il serait surement jamais l'amant de Morrison, il ne serait jamais la personne qui le ferrait chavirer, mais s'il pouvait juste lui laisser une toute petite place dans son cƓur, et bien cela convenait trĂšs bien. Andrew saurait se contenter de cela pour ĂȘtre simplement heureux. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Lun 13 DĂ©c - 1953 Oh non, il n’était pas question pour Derek de laisser s’en aller ainsi Andrew. Pas maintenant, dans une situation pareille. Il craignait que s’il ne faisait rien, que le dĂ©but d’amitiĂ© qu’ils pouvaient avoir et construire par la suite serait vouĂ© Ă  l’oublie. C’est bien pour ça qu’il lui avait couru aprĂšs. Parce qu’il voulait rattraper ce qu’il avait fait de faux, s’excuser et rĂ©parer ses erreurs, autant qu’il le pouvait. Et malgrĂ© le fait qu’Andrew avait repoussĂ© sa main, Derek tenta encore une derniĂšre fois de croiser son regard en faisant glisser sa main sur la joue du jeune homme pour que l’infirmier le regarde. Et naturellement ce qu’il y vit, ne pouvait pas le laisser de marbre. Derek s’en voulait terriblement de l’avoir mit dans un tel Ă©tat. Et ainsi donc, en Ă©tant d’un naturel impulsif, il ne pu que le prendre dans ses bras pour tenter d’arranger les choses, d’un moyen ou un autre. Glissant ses doigts sur la chevelure d’Andrew, il essayait de le calmer un peu. Excuse moi
 j’ai Ă©tĂ© trop con. » s’inculpa-t-il en fermant un moment les yeux, inspirant l’odeur fraĂźche et boisĂ©e qu’émanait de la chevelure du jeune homme. Sentant les mains d’Andrew sur ses Ă©paules, il en fut Ă©galement rassurĂ© de ne pas se faire repousser. RassurĂ© de savoir qu’il y avait encore moyen d’arranger les choses. Le tenant contre lui, il le laissa un moment pour Ă©vacuer sa peine. De le voir ainsi, lui Ă©tait douloureux
 et il pensait que peut ĂȘtre y avait bien plus derriĂšre que juste ce qui venait de se produire. Mais il ne pouvait pas le savoir et n’avait pas envie de creuser non plus, malgrĂ© sa curiositĂ© qu’était un plus pour son travail, mais pas pour d’autres situation. Et lĂ , il ne voulait pas faire davantage de peine au jeune infirmier. Et mĂȘme en sentant les doigts d’Andrew plus fermement sur ses Ă©paules, Derek ne fit aucun geste pour se dĂ©faire de cette caressant les cheveux, il dĂ©posa un baiser sur le haut du front avant de s’excuser Ă  nouveau. DĂ©solĂ© si ma rĂ©action t’as fait du mal
 Ce n’était pas contre toi. C’était juste moi. Moi et ces
 nouveautĂ©s que j’ai juste du mal Ă  m’y faire. Mais s’il te plait ne le prend pas contre toi. » C’était bien la derniĂšre chose qu’il voulait, car le jeune Sullivan n’était en rien coupable de ce qui Ă©tait arrivĂ©. Il lui devait beaucoup, car il ne saurait pas dire comment les choses auraient tournĂ© s’il ne l’aurait pas rencontrĂ© y a un mois. Peut ĂȘtre serait il encore et toujours chez lui en train de se torturer l’esprit. Il n’avait que vraiment avancĂ© depuis sa rencontre avec Andrew. C'est moi...Je suis dĂ©solĂ©...J'aurais pas dĂ» me jeter sur toi comme cela...Je comprends, tu es perdu et tu te poses un tas de questions, et moi j'en profite... » lui dit-il aprĂšs avoir reculĂ© la tĂȘte. Mais Derek hocha nĂ©gativement de la tĂȘte, ne voulant pas qu’Andrew se sente fautif. Peut ĂȘtre qu’ils s’étaient tout simplement laissĂ© aller trop loin tout les deux, mais ce n’était pas l’unique faute de l’infirmier. T’en fais pas pour ça
 » le rassura Derek. Il Ă©tait un grand garçon quand mĂȘme, et s’il aurait vraiment mal prit, certainement qu’il aurait rĂ©agit diffĂ©remment aussi. C’était juste lui, le fait de cette rĂ©alitĂ© que oui, il aimait bien ça, qui l’avait Ă©branlĂ© du coup. Derek ne fit aucune rĂ©sistance et laissa Andrew se dĂ©tacher doucement de lui. Je veux pas que tu penses que tu ne peux pas avoir confiance en moi, Derek ! Je sais, on se connait pas encore bien mais je veux ĂȘtre lĂ  pour t'aider si tu te poses des questions. Je serais toujours disponible pour toi, nuit et jours, 7 jours sur 7, tu comprends cela ? » lui annonça Andrew avec un tel entrain que ça perturba tout de mĂȘme un peu Derek. Mais peut ĂȘtre qu’il n’y avait rien derriĂšre, juste le fait de vouloir tenir Ă  leur amitiĂ©. Derek eut un petit sourire et acquiesça de la tĂȘte. D’accord » , dit-il en restant prĂȘt de lui. Andrew retira quelques traces de larmes nĂ©gligemment d’un revers de manche, ce qui attendrit le reporter. Je suis dĂ©solĂ© d'avoir chialer comme cela...J'ai l'air d'un con je te jure.. Tu veux savoir Ă  quelle heure je termine ? Normalement c'est 19h, ce soir. Tu veux qu'on se retrouve aprĂšs ?» Franchement Ă©mu par Andrew, bien plus qu’il ne l’aurait imaginĂ©, Derek leva sa main pour venir effacer les traces de larmes plus soigneusement avec son pouce. Je veux bien oui. Je pensais qu’on pourrait se faire un petit cinĂ© ? Je peux passer te prendre ici ou chez toi, si t’as besoin de temps. » Retirant les larmes du cĂŽtĂ© droit, Derek changea de main pour faire de mĂȘme de l’autre cĂŽtĂ© du visage de l’infirmier, tout en laissant ses mains sur place. Il ne voudrait plus le voir pleurer, pas Ă  cause de lui en tout cas, mĂȘme partiellement. Ni lui faire du mal. Il Ă©tait dĂ©jĂ  heureux de pouvoir ĂȘtre son ami, alors hors de question qu’il mette ça en danger. Il allait trouver tout simplement une autre solution
 Derek lui lĂącha alors doucement le visage, quand il jugea qu’Andrew Ă©tait Ă  nouveau plus ou moins prĂ©sentable. Manquait qu’à passer de l’eau sur les yeux pour estomper les rougeurs et de faire dĂ©gonfler les yeux un peu. ça te va comme programme ? », demanda-t-il. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Lun 13 DĂ©c - 2250 Cela avait fait bien fou que Derek le rattrape, s'excuse et le prenne dans ses bras. Il tenait Ă  lui alors ? Peut-ĂȘtre pas exactement comme l'infirmier pouvait tenir au journaliste, car pour lui, c'Ă©tait des sentiments amoureux. Mais sa chaleur, et sa douceur avaient permis de faire s'envoler une souffrance; celle crĂ©e par l'abandon de Braddley. Cette annĂ©e de dĂ©pression semblait maintenant derriĂšre lui, comme cela, comme un claquement de doigt. C'Ă©tait de la magie ? Non, c'Ă©tait tout simplement, car maintenant il pouvait compter sur Morrison, et il espĂ©rait qu'Ă  son tour il savait qu'il pouvait compter sur lui. C'est moi...Je suis dĂ©solĂ©...J'aurais pas dĂ» me jeter sur toi comme cela...Je comprends, tu es perdu et tu te poses un tas de questions, et moi j'en profite... » avait-il dit sur le ton de la confidence, alors que les larmes qui Ă©taient si facilement sortit il y a quelques instants Ă©taient bien loin maintenant. Les caresses, et l'attention du grand brun Ă  son Ă©gard, avait su lui redonner courage, surtout de ne pas terminer cette relation bien trop particuliĂšre pour certain, mais si indispensable aux yeux de l'infirmier depuis quelques temps. T’en fais pas pour ça
 » ajouta Derek. Andrew afficha une petite moue satisfaite avant de reposer sa tĂȘte sur le torse du journaliste. Il respira profondĂ©ment, se sentant tellement bien, s'il avait Ă©tĂ© un chat, il se serait surement mis Ă  ronronner. Mais il Ă©tait temps de se dĂ©tacher, non qu'il n'aurait pas voulu rester dans cette position, mais le jeune homme voulait lui signifier quelque chose d'important. Je veux pas que tu penses que tu ne peux pas avoir confiance en moi, Derek ! Je sais, on se connait pas encore bien mais je veux ĂȘtre lĂ  pour t'aider si tu te poses des questions. Je serais toujours disponible pour toi, nuit et jours, 7 jours sur 7, tu comprends cela ? » C'est vrai que cela aurait Ă©tĂ© plus clair d'avouer se sentiments. Mais c'est tout ce qu'il pouvait faire pour l'instant, c'Ă©tait dĂ©jĂ  compliquĂ© de les affronter dans son esprit, alors voir le regard de Derek, le juger et peut ĂȘtre crĂ©er Ă  nouveau une situation de crise. Non ! Drew' voulait rester sur ce point positif, et voir Derek sourire Ă  ce qu'il venait de dire, Ă©tait la plus belle des victoires. D’accord » lui souligna le journaliste en approchant sa manche pour chasser ses vilaines larmes. Sans vraiment se contrĂŽler, Sully' se mit Ă  rougir, heureusement qu'il faisait sombre dans cette ruelle qui longeait la cantine et qui rejoignait l'hĂŽpital. Andrew Ă©tait soudainement touchĂ© par l'affection que pouvait lui parler son camarade, personne jusqu'Ă  ce soir n'avait sĂ©chĂ© ses larmes. Non, mais en reculant le plus en arriĂšre, personne... Je suis dĂ©solĂ© d'avoir chialer comme cela...J'ai l'air d'un con je te jure.. Tu veux savoir Ă  quelle heure je termine ? Normalement c'est 19h, ce soir. Tu veux qu'on se retrouve aprĂšs ?» demanda t-il avant de voir la main de Derek arriver pour terminer son travail, et ainsi sĂ©cher ses larmes. Je veux bien oui. Je pensais qu’on pourrait se faire un petit cinĂ© ? Je peux passer te prendre ici ou chez toi, si t’as besoin de temps. » Derek toujours aussi attentionnĂ©, avec sa main sur son visage. Drew' ne put retenir un petit mouvement de tĂȘte, se frottant lĂ©gĂšrement contre cette main, fermant les yeux une micro-seconde. Cette main si chaude et rien que pour lui, c'Ă©tait tout ce qu'il fallait pour faire fuir cette maudite peine. Les mains enfin loin de son visage, il reprit conscience de la rĂ©alitĂ©. Il se mit Ă  rougir Ă  nouveau, cette fois un peu plus fort, et arbora un magnifique sourire, pour montrer que tout allait bien maintenant. ça te va comme programme ? » lui demanda Derek. L'infirmier hocha la tĂȘte pour seule rĂ©ponse, ce programme lui convenait parfaitement. Un petit cinĂ©, parfait ! On se retrouve Ă  20h ici ! J'ai un multiplex en bas de la rue ? On trouvera bien un truc ! » Sully' regarda sa montre, tout heureux de ce dĂ©nouement. Peut-ĂȘtre trop ! Il fallait qu'il y aille et sans vraiment rĂ©flĂ©chir, et surtout peu adepte de serrer les mains, oĂč encore la bonne tape virile dans le dos. Il se mit sur la pointe des pieds et posa un smack sur les lĂšvres de Derek, avant de redescendre et de lĂącher le plus naturellement du monde. Ah tout l'heure alors ! » Il commença son retour vers l'hĂŽpital, pour continuer sa journĂ©e de travail. Ce geste lui avait paru tellement naturel, que c'Ă©tait bien Ă©trange de sa part. Ne prĂ©fĂ©rant pas rĂ©flĂ©chir, il s'engouffra dans la cantine, et se concentra sur ce qui Ă©tait important, sauver des vies.******************19h55 devant la cantine, Andrew attendait Derek, il Ă©tait assez impatient de se faire ce cinĂ©, mais aussi curieux de savoir s'il aurait une rĂ©flexion sur ce smack juste avant leur sĂ©paration. La journĂ©e avait Ă©tĂ© difficile comme d'habitude, mais le grand brun n'aurait pas Ă  avoir peur, il n'allait pas s'endormir cette fois. Il avait mis prit le luxe de prendre une bonne douche, pour laver les odeurs mĂ©dicales. Le jeune homme avait mĂȘme prit le temps de regarder les films Ă  l'affiche. Il avait plusieurs sĂ©ances qui avaient retenue son attention. DĂ©s que Derek se prĂ©senta au coin de la rue, Andrew tout content dans ses habits de ville, manteau en cuir, jeans et basquettes, vint Ă  sa rencontre. Il marcha d'un pas rapide, presque sautillant. Qu'est ce que cela pouvait le mettre en joie de voir le journaliste, c'Ă©tait trĂšs curieux. Une fois devant lui, alors que la rue Ă©tait Ă  nouveau dĂ©serte, il lui raconta ce qu'il avait pu bien voir Ă  l'affiche. Alors, je sais pas si tu as vu, mais on a 20h10, Megamind, un film d'animation ? Sinon on a Due Date Ă  20h30 ? On a aprĂšs des films d'horreurs Ă  20h45 avec Devil, et le dernier exorcisme Ă  21h ? » dit-il en trĂ©pignant comme un enfant, se prĂ©parant Ă  une sortie. La fin de journĂ©e avait eu son lot de dĂ©cĂšs, de mauvaises nouvelles, mais ce soir, il voulait tout oublier. L'infirmier offrit un nouveau grand sourire, tout en regardant Derek avant de terminer par dire. Moi, je suis un peu gamin, mais je dirais bien Megamind, et toi ? » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Lun 13 DĂ©c - 2358 Ah ce qu’il se sentait rassurĂ©. Comme un bon poids en moins en lui, en voyant le sourire rayonnant de l’infirmier. Repartir d’ici sur le malaise d’il y a quelques minutes, lui aurait trop pesĂ© sur la conscience. Et puis au moins ils Ă©taient tout deux de meilleure humeur pour retourner travailler. Surtout que pour Andrew, ça n’aurait pas Ă©tĂ© bien
 En tout cas le voir sourire ainsi, lui fit vraiment chaud au cƓur. ça te va comme programme ? » demanda-t-il en gardant un lĂ©ger sourire. Il l’espĂ©rait
 maintenant peut ĂȘtre que le jeune homme aurait faim aprĂšs sa journĂ©e de travail. Et lui aussi surement
 oh ils prendraient du popcorn ou autre chose au cinĂ©ma. Un petit cinĂ©, parfait ! On se retrouve Ă  20h ici ! J'ai un multiplex en bas de la rue ? On trouvera bien un truc ! » l’en informa Andrew. Derek acquiesça, d’accord pour ce que venait de dire l’infirmier. Il aurait le temps d’arriver en tout cas. Etant sur le pied de dĂ©part, le journaliste se demandait quelle attitude choisir. Peut ĂȘtre que le plus simple serait une petite tape sur l’épaule ou un signe de la main
 mais il n’eut pas Ă  s’en faire plus longtemps, vu qu’Andrew prit les devants en lui dĂ©posant un rapide baiser sur les lĂšvres. Il en fut assez surpris, ayant pensĂ© devoir couper court Ă  ce genre d’attitude. Du moins pour sa part, il avait dĂ©cidĂ© ça
 peut ĂȘtre bien qu’Andrew ne pensait pas pareil alors. Bref
 il verrait bien avec le temps, mais de son cĂŽtĂ©, il ne voudrait pas vraiment mettre de malentendu entre eux. Ah tout l'heure alors ! » Oui
 », dit-il de suite, sans rĂ©flĂ©chir. L’observant s’éloigner, un sourire naquit sur ses lĂšvres malgrĂ© lui. Il passa le bout de sa langue sur ses lĂšvres doucement puis dĂ©cida de bouger, ne voulant pas rester planter lĂ  Ă  sourire bĂȘtement. Non mais qu’est-ce qui lui prenait ? Il avait l’impression de rĂ©agir comme s’il aurait donnĂ© son premier baiser. Se ressaisissant, Derek sortit de cette allĂ©e pour traverser la terrasse de la cantine et partir retrouver sa moto. ******************Il Ă©tait 19h30 que Derek se trouvait devant le multiplex en question pour voir les affiches. S’étant garĂ© non loin, il avait dĂ©cidĂ© de passer par ici avant pour avoir une petite idĂ©e Ă  l’avance. Naturellement il y avait les grosses sorties bien mit en avant, mais son envie s’était automatiquement posĂ© sur le film d’animation. Pourtant il soupira en hochant de la tĂȘte. Oublie ça, t’ira le voir tout seul comme d’hab », se dit-il en dĂ©tournant les yeux de l’affiche. Ah ça, faut dire que ses amis n’étaient pas du genre Ă  avoir envie de voir des films d’animations, mais plutĂŽt de la science fiction, ou des films d’horreur. Pas que Derek ne les aimait pas, au contraire, surtout pour les films d’horreur, qu’il n’en ratait aucun, mais vu qu’étant petit il n’a que trĂšs, trĂšs rarement eu l’occasion de regarder les films d’animations, alors mĂȘme maintenant cette envie de les voir Ă©tait restĂ© intact. Et depuis qu’il en avait eu les moyens, il avait commencĂ© Ă  les collectionner, achetant au fil des annĂ©es les DVD des films d’animations qu’il trouvait et qu’il n’avait pas vu en Ă©tant petit. Mais ça c’était un de ses petits secrets, qu’il aimait garder pour lui. Bon
 sinon y avait Due Date, donc la bande annonce, l’avait dĂ©jĂ  fait rire et qui dĂ©tendrait surement la soirĂ©e aussi, car il n’avait pas envie de voir les films d’horreur maintenant. Le dernier qu’il Ă©tait venu voir, il s’était retrouvĂ© avec un avant bras Ă©crasĂ© par les mains d’une amie qui n’arrĂȘtait pas de sursauter Ă  chaque scĂšne et de lui malmener son avant bras et de l’utiliser pour se cacher. Il avait eu l’impression d’ĂȘtre un pantin pendant toute une moitiĂ© de film
 mais naturellement il n’avait rien dit. Quittant les lieux, Derek plongea ses mains dans son manteau pour remonter le long de la rue et se diriger vers l’hĂŽpital. Il espĂ©rait qu’Andrew n’ait pas Ă  devoir rester sur place
 Il jeta un dernier coup d’Ɠil Ă  son tĂ©lĂ©phone portable, mais rien, ce qui Ă©tait donc bon signe. Arrivant sur place, il trouva rapidement Andrew qui l’attendait. Un sourire aux lĂšvres, il vint Ă  sa rencontre. Alors, je sais pas si tu as vu, mais on a 20h10, Megamind, un film d'animation ? Sinon on a Due Date Ă  20h30 ? On a aprĂšs des films d'horreurs Ă  20h45 avec Devil, et le dernier exorcisme Ă  21h ? » Aha
 donc il n’avait pas Ă  faire un petit rĂ©sumĂ© des films en y retournant. Reprenant la marche avec le jeune homme, il s’apprĂȘtait Ă  proposer Due Date, mais Andrew le devança. Moi, je suis un peu gamin, mais je dirais bien Megamind, et toi ? » Le journaliste arqua un sourcil, surpris. Alors lĂ , il ne s’y serait vraiment pas attendu. C’était bien la premiĂšre fois que quelqu’un de son Ăąge lui proposait d’aller voir un film d’animation. LĂąchant un lĂ©ger rire, Derek acquiesça de la tĂȘte, bien heureux. Du coup il n’aurait quand mĂȘme pas Ă  aller le voir tout seul. Et bien je suis tout Ă  fait d’accord, c’était ce que je prĂ©fĂ©rais voir aussi »Car pour Due Date, il n’aurait pas de mal Ă  trouver quelqu’un, surtout que Jess le lui avait dĂ©jĂ  proposĂ©. Il ne s’était pas encore prononcĂ©, mais alors c’était presque sĂ»r qu’ils iraient le voir d’ici peu avec elle. En tout cas, ils feraient mieux de ne pas traĂźner, vu que le film allait commencer d’ici peu. Comment a Ă©tĂ© ta journĂ©e ? », demanda-t-il alors, s’y intĂ©ressant vraiment. Il se doutait bien qu’ĂȘtre infirmier devait ĂȘtre un travail passionnant, malgrĂ© le fait qu’il puisse y avoir des mauvaises nouvelles
 InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mar 14 DĂ©c - 951 Le moment de ce petit cinĂ©ma avec Derek Ă©tait enfin venue, et le journaliste Ă©tait arrivĂ© Ă  l'heure Ă  l'endroit prĂ©vu. Ce qui rassura l'infirmier qui avait eu un petit peur que ce smack, offert sans arriĂšre pensĂ©e, puisse lui faire peur, et qu'il annule leur rendez-vous. Mais le grand brun Ă©tait devant lui, le sourire aux lĂšvres, une vision qui effaça cette journĂ©e de travail difficile. C'Ă©tait la magie de Morrison, un sourire de lui et Drew' se sentait comme sur un petit nuage. Alors, je sais pas si tu as vu, mais on a ... » commença t-il en lui exposant les films Ă  l'affiche. Mais dans sa tĂȘte, le choix Ă©tait dĂ©jĂ  fait, les films d'animation Ă©taient sa prĂ©fĂ©rence. Il n'en avait pas honte, c'est sĂ»r qu'il n'avait pas beaucoup d'argent, mais il avait sa petite collection chez lui. D'abord, car avec son jeune frĂšre et sa maladie, c'Ă©tait les seuls films qu'ils pouvaient regarder ensemble. Le dessin-animĂ© prĂ©fĂ©rĂ© de Chris Ă©tait Wall-E, La petite sirĂšne, ou Anastasia, et mĂȘme si c'Ă©tait pas trĂšs viril, il aimait bien les regarder avec lui. Le garçon ne pouvait dire qu'il n'a pas Ă©tĂ© Ă©mu devant certaine chanson, comme Loin du froid de dĂ©cembre, ou Partir lĂ  bas . C'est sur qu'il n'allait pas s'en vanter, mais avec tout ce qu'il voyait Ă  son travail, les dessins animĂ©s lui permettait de relĂącher la pression. Alors, il lui proposa assez simplement Moi, je suis un peu gamin, mais je dirais bien Megamind, et toi ? » Il observa la rĂ©action de Derek, aprĂšs tout, cette proposition pouvait ne pas lui plaire. Mais s'il ne proposait pas, il ne saurait pas. Et, si le journaliste voulait voir quelque chose de plus sĂ©rieux, de plus effrayant, ou plus rigolo, il n'allait pas lui refuser. Mais sa rĂ©ponse, le fit d'abord sourire. Et bien je suis tout Ă  fait d’accord, c’était ce que je prĂ©fĂ©rais voir aussi » Andrew poussa un petit saut, pas trĂšs adulte, mais aprĂšs sa journĂ©e, il avait besoin de retourner lĂ©gĂšrement en enfance. Puis, il invita le grand brun Ă  le suivre, en prenant les devants, ce n'Ă©tait pas une course, mais en tout cas il Ă©tait en premier. Il lui signifia cette position de leader par des petites Ɠillades joueuses, lui souriant franchement, et offrant des petit signe de tĂȘte pour que le journaliste essaye de le dĂ©passer. Un peu fou fou Sullivan ? Peut-ĂȘtre, il ne savait pas, il Ă©tait juste heureux ce soir. Comment a Ă©tĂ© ta journĂ©e ? » lui demanda Derek. Andrew tourna la tĂȘte, essayant de garder la tĂȘte du peloton. Un feux rouge, l'infirmier s'arrĂȘta, et profita pour rĂ©pondre Ă  son camarade en reprenant son sĂ©rieux. C'Ă©tait toujours dĂ©licat comme rĂ©ponse, car aux urgences, il avait des moments d'Ă©merveillement devant des petits miracles, mais la mort restait omniprĂ©sente. Il ne voulait pas plomber leur petit moment, mais il prĂ©fĂ©rait la franchise. Difficile, surtout la fin d'aprĂšs-midi, j'ai perdu un jeune patient...Il se battait depuis des annĂ©es contre une leucĂ©mie. » annonça Andrew alors que le feux Ă©tait maintenant passĂ© au vert. Il marcha sans courir cette fois, c'Ă©tait une discussion sĂ©rieuse, et il traversa la route, tout en regardant Derek pour savoir s'il devait continuer ou s'arrĂȘter. Cela me fait toujours bizarre, mĂȘme aprĂšs quatre ans, je m'attache, et le lendemain je me dis que je vais les revoir. C'est bĂȘte, non ? » demanda t-il laissant Ă©chapper un petit rire pour se moquer de son attachement, et sa propre compassion. Le cinĂ©ma Ă©tait bien en bas de la rue, de leur position, il pouvait voir la grande enseigne lumineuse. Il avait une file d'attente, surtout des enfants, mais c'Ă©tait logique, vu le film qu'ils allaient voir. Andrew enfonçant les mains dans son blouson, dĂ©cidait de peut-ĂȘtre changer de sujet, il ne voulait pas laisser Derek sur cette image. Car il n'Ă©tait pas triste, la mort Ă©tait son lot quotidien, mais juste soudainement plus morose. Mais il adorait parler de son travail, et dans son entourage personne ne voulait entendre parler de ses journĂ©es, donc cela faisait beaucoup de bien Ă  l'infirmier Et, toi ta journĂ©e ? » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mar 14 DĂ©c - 1346 Voyant le petit saut de contentement de son camarade, Derek en eut bien rit, mais se retint tout de mĂȘme. En tout cas lui-mĂȘme en Ă©tait bien content de pouvoir pour une fois regarder une animation en compagnie de quelqu’un. Parfois il supposait mĂȘme qu’on refusait de l’accompagnĂ© seulement pour qu’ils puissent garder l’image du mec fort et viril qui va pas du tout aller voir des animations pour enfant. Sauf que les animations n’étaient pas lĂ  Que pour les enfants, Ă©tant donnĂ© que parfois ils Ă©taient bien trop jeunes pour comprendre tout ce qu’une animation veut bien faire part. Par contre Derek lĂącha tout de mĂȘme un lĂ©ger rire quand Andrew lui signifia d’ĂȘtre premier. Le reporter eut droit Ă  quelques Ɠillades de la part du grand gagneur. Heureusement qu’il n’était pas forcĂ©ment mauvais perdant
 enfin parfois. Mais ce petit jeu aurait pu rapidement se transformer en vĂ©ritable course s’il n’avait pas voulu rester en seconde position. Comment a Ă©tĂ© ta journĂ©e ? » avait il finit par demander, car une fois dans la salle fallait mieux ĂȘtre tranquille. Sur cette pensĂ©e, le journaliste prit rapidement son tĂ©lĂ©phone portable pour Ă©teindre Ă©galement le vibreur qui arrivait tout de mĂȘme Ă  faire assez de bruit pour qu’on l’entendre. Il s’arrĂȘta aux cĂŽtĂ©s d’Andrew au feu rouge et rangea le tĂ©lĂ©phone dans sa place avant de reporter son regarder sur le jeune homme. Andrew Ă©tait tout Ă  coup devenu bien sĂ©rieux
 il doutait avant mĂȘme que son voisin en parle que la journĂ©e n’avait pas du ĂȘtre bien joyeuse. Difficile, surtout la fin d'aprĂšs-midi, j'ai perdu un jeune patient...Il se battait depuis des annĂ©es contre une leucĂ©mie. » Oh
 », lĂącha-t-il doucement dans un soupire. Oh oui, ça devait ĂȘtre toujours difficile de voir un patient s’en aller
 En plus d’une maladie Ă  avoir combattu si longtemps. Cela me fait toujours bizarre, mĂȘme aprĂšs quatre ans, je m'attache, et le lendemain je me dis que je vais les revoir. C'est bĂȘte, non ? » BĂȘte ? Derek fit non de la tĂȘte, ne trouvant pas vraiment Non je pense mĂȘme que c’est bien plus agrĂ©able pour un patient d’avoir un infirmier ou un mĂ©decin qui est ainsi que d’en avoir un qui reste derriĂšre un mur de glace. C’est plus rĂ©confortant
 » Du moins c’était son avis. Il savait bien qu’il y en avait qui Ă©vitent de s’attacher aux patients, mais bon
 C’étaient leur choix. Derek tourna la tĂȘte vers Andrew et lui sourit. Tu dois ĂȘtre un infirmier extraordinaire » En tout cas de ce qu’il avait lui-mĂȘme dĂ©jĂ  vĂ©cu avec, oui, il le pensait. Derek sortit dĂ©jĂ  son portefeuille pour en prendre quelques billets et pouvoir payer les tickets. En tout cas ils n’étaient pas les seuls Ă  ĂȘtre lĂ  pour Megamind, vu qu’il y avait des enfants avec leurs parents. Ah trop bien, une fois que Lloyd sera un peu plus ĂągĂ©, il aurait l’excuse parfaite pour ne plus venir voir ces animations tout seul. Et, toi ta journĂ©e ? » Restant dans la file d’attente, le journaliste tourna la tĂȘte vers le jeune homme. Et bien je me suis retrouvĂ© au matin nez Ă  nez avec un python qui n’avait pas payĂ© son ticket de bus
 » commença-t-il amusĂ©. C’en Ă©tait mĂȘme le gros titre amusant pour cette histoire. En fait il Ă©tait tranquillement installĂ© sur le siĂšge Ă  l’arriĂšre du bus. On suppose qu’il a du entrer d’une quelconque maniĂšre pendant la nuit. En tout cas maintenant il a retrouvĂ© sa place. » Par contre la suite Ă©tait Ă©galement moins joyeuse
 Et l’aprĂšs-midi, Jess et moi avons travaillĂ© sur une affaire d’enlĂšvement
 un garçon de treize ans, disparu en attendant un bus. La police Ă  une liste d’une trentaine de personne Ă  interrogé  donc j’espĂšre juste qu’ils ont avancĂ© un peu depuis que je les ai quittĂ©. » Depuis qu’il travaillait au journal, c’était bien l’affaire la plus sĂ©rieuse qu’il avait
 et il espĂ©rait ne pas devoir la finir par une mauvaise nouvelle. Mais les histoires d’enlĂšvement, finisse rarement bien
 En tout cas, Derek paya les deux tickets pour le film quand ce furent Ă  eux. Passant le sien Ă  Andrew, le jeune homme jeta un coup d’Ɠil au petit stand. Tu veux quelque chose Ă  grignoter ? » InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mar 14 DĂ©c - 1555 Comment a Ă©tĂ© ta journĂ©e ? » demanda DerekAndrew avait son visage plus sĂ©rieux, son camarade du comprendre assez vite ce qui allait se passer, et ce qu'il avait Ă  dire. Mais l'infirmier n'avait pas envie d'enjoliver la rĂ©alitĂ©, et il parla franchement de sa journĂ©e de travail. Difficile, surtout la fin d'aprĂšs-midi, j'ai perdu un jeune patient...Il se battait depuis des annĂ©es contre une leucĂ©mie. » coupĂ© par un petit soupir de Derek tout Ă  fait justifiĂ© Oh
 », et il reprit sur une pensĂ©e plus personnelle. Cela me fait toujours bizarre, mĂȘme aprĂšs quatre ans, je m'attache, et le lendemain je me dis que je vais les revoir. C'est bĂȘte, non ? » Demanda Andrew pour savoir s'il n'Ă©tait pas peut ĂȘtre trop attentionnĂ© ? AprĂšs tout, ses supĂ©rieurs lui avaient fait clairement savoir que ce n'Ă©tait pas le rĂŽle d'un mĂ©decin de s'attacher Ă  ses patients. Le journaliste dĂ» comprendre le but de sa question car il ajouta Non je pense mĂȘme que c’est bien plus agrĂ©able pour un patient d’avoir un infirmier ou un mĂ©decin qui est ainsi que d’en avoir un qui reste derriĂšre un mur de glace. C’est plus rĂ©confortant
 » Sullivan hĂŽcha la tĂȘte, complĂ©tement en accord sur ce point avec le grand brun. Il avait Ă©tĂ© fait ainsi, il ne pouvait couper ses Ă©motions, et ses sentiments comme s'il avait Ă©tĂ© un grille pain. Il rĂ©pondit au sourire de son voisin avec lĂ©gĂšretĂ©. Tu dois ĂȘtre un infirmier extraordinaire » Lui ? Extraordinaire ? L'infirmier se mit Ă  rougir de tout son soĂ»l, un pique de chaleur explosa ses joues. Il ne savait plus oĂč se mettre. Il donna un coup de coude Ă  Derek de quoi le chahuter lĂ©gĂšrement et le pousser lĂ©gĂšrement sur le cĂŽtĂ©. ArrĂȘte... » lĂącha t-il avec une petite voix. Une fois devant le cinĂ©ma, Andrew fit comme son camarade, et sortit son portefeuille, tout en regardant la file d'attente, bon c'Ă©tait bien de regardĂ©, mais il fallait se placer si on voulait avoir une place. Une fois dans le seul de la queue, l'infirmier demanda Et, toi ta journĂ©e ? » intĂ©ressĂ© de savoir si son ami avait passĂ© une bonne aprĂšs-midi. Et bien je me suis retrouvĂ© au matin nez Ă  nez avec un python qui n’avait pas payĂ© son ticket de bus
 » Andrew ouvrit des grands yeux amusĂ©s. Waou ! » Les serpents ne le dĂ©rangeaient pas, mais voir un python cela devait faire son effet. En fait il Ă©tait tranquillement installĂ© sur le siĂšge Ă  l’arriĂšre du bus. On suppose qu’il a du entrer d’une quelconque maniĂšre pendant la nuit. En tout cas maintenant il a retrouvĂ© sa place. » Andrew avança dans la file d'attente, car deux enfants habillĂ©s en spationaute venaient signe d'avancer en pointant leurs gros pistolets mĂ©tallisĂ©s sur ses hanches. Puis il se tourna vers Derek, repensant Ă  cette histoire de serpent. Et, tu t'es pas proposĂ© de l'adopter ? » demanda t-il amusĂ©, imaginant dĂ©jĂ  l'animal dans l'appartement du journaliste. Et l’aprĂšs-midi, Jess et moi avons travaillĂ© sur une affaire d’enlĂšvement
 un garçon de treize ans, disparu en attendant un bus. La police Ă  une liste d’une trentaine de personne Ă  interrogé  donc j’espĂšre juste qu’ils ont avancĂ© un peu depuis que je les ai quittĂ©. » Andrew acquiesça avec une moue attristĂ©, continuant d'avancer d'une ou deux places, c'Ă©tait une chose difficile les enlĂšvements, autant pour la famille que pour les enfants. Et, surtout, il voyait bien que cela travaillait le journaliste. C'est normal que cela te touche. Cela veut dire que tu es un bon journaliste. » Chacun son tour pour les compliments, qu'il pensait mot pour mot. Mais pour dĂ©ttendre Derek, commençant Ă  le connaitre, il ajouta avec un haussement de sourcils. Je vois qu'on est tout les deux extraordinaires dans notre domaine. »Bien sĂ»r, bien dĂ©cidĂ© Ă  payer sa place, Andrew fut prit par surprise par le grand brun qui s'avança devant la caisse, et ne put lĂącher qu'un Hey ! ». Puis il lui sourit tout en rĂ©cupĂ©rant son billet. Il fallait qu'il arrĂȘte d'ĂȘtre gentil comme cela avec lui. Le garçon n'avait pas l'habitude, Ă©tant plutĂŽt du genre Ă  offrir les choses aux autres, malgrĂ© ses maigres finances. Merci. » lĂ©gĂšrement Ă©mu par ce geste anodin, mais qui faisait plaisir. Tu veux quelque chose Ă  grignoter ? » Et, comment ? Andrew avait une faim de loup. Il fit un signe de la tĂȘte pour dire un grand oui, trĂ©pignant Ă  nouveau devant les montagnes de pop-corn, et de friandises devant ses yeux. Il s'approcha du stand, suivit de prĂȘt par Derek. S'il pensait pouvoir payer cette fois, il se mettait le doigt dans l'Ɠil. L'infirmier essaya de rester dĂ©contractĂ©, et dĂ©s que le serveur s'occupa d'eux. Il tourna la tĂȘte rapidement pour faire son choix et demanda. Alors, je vais vous prendre un grand pop-corn. Oui le truc gĂ©ant derriĂšre vous. Par grave, je partagerais avec monsieur, s'il veut piocher dedans. Et, un grand coca ! Et, toi Derek, tu veux ? » Il le laissa prendre sa commande tranquillement, ayant dĂ©jĂ  prĂ©parĂ© l'argent dans le creux de sa main. Puis, comme un jaguar sur le dĂ©part et prĂȘt Ă  foncer sur l'antilope, avant mĂȘme que Derek puisse sortir un billet. Il plongea pour donner les derniers billets qu'il avait sur lui pour payer leur commande. Andrew, un grand sourire au lĂšvre, attrapa son grand pop-corn, et son grand coca, trĂšs satisfait de son action. Il commença mĂȘme un lĂ©ger sifflement en marchant vers la salle de leur film. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mar 14 DĂ©c - 2122 Et, tu t'es pas proposĂ© de l'adopter ? » Adopter le serpent ? Derek en rit lĂ©gĂšrement en hochant de la tĂȘte. Je doute que ma colocataire serait trĂšs contente de me voir venir dĂ©barquer avec un python dans les bras. Et puis j’ai pas envie de mettre son chat en danger
 » Non non surtout qu’il est trop chou Moustache. Heureusement mĂȘme qu’il est lĂ  et qu’il pouvait le cĂąliner devant la tĂ©lĂ©. C'est normal que cela te touche. Cela veut dire que tu es un bon journaliste. », lui dit Andrew aprĂšs qu’il ait parlĂ© de cet histoire d’enlĂšvement. Mais il ne savait pas en quoi son boulot venait faire lĂ . Car ça pouvait facilement toucher un tas de monde. Derek eut tout de mĂȘme un petit sourire, fallait pas non plus qu’ils se mettent le moral Ă  zĂ©ro. Je vois qu'on est tout les deux extraordinaires dans notre domaine. » Peut ĂȘtre bien » rĂ©pondit-il en riant lĂ©gĂšrement. En tout cas il faisait tout pour s’amĂ©liorer. Il ne voulait pas se contenter des petits articles, voulant ĂȘtre journaliste Ă  part entiĂšre. Derek s’avança un peu dans la file d’attente. C’était trop amusant de voir les enfants se dĂ©guiser rien que pour un film. Tout ça pour se sentir plus dans la peau des personnages ? Surement oui
 il ne saurait pas vraiment le dire. Il ne s’était jamais dĂ©guisĂ©, petit
 Il avait dĂ©jĂ  fais des soirĂ©es Ă  thĂšmes pour les boĂźtes de nuit, mais c’était tout de mĂȘme diffĂ©rent. De toute façon il ne s’était jamais plaint de l’enfance qu’il avait eut et n’allait pas commencer aujourd’hui, car il savait que ça aurait pu ĂȘtre pire. S’avançant devant la caisse, Derek paya les deux tickets. Il ne fit qu’un petit sourire Ă  Andrew, pour lui signaler que ce n’était aucun problĂšme Ă  ce qu’il paie. De toute façon, ce n’était pas non plus grand-chose
 juste un cinĂ©. Puis ça lui faisait plaisir de l’invitĂ©. Merci. » Mais de rien » rajouta Derek en rĂ©cupĂ©rant les tickets. Par la suite ils se dirigĂšrent vers le stand, oĂč le reporter jeta un rapide coup d’Ɠil. Tu veux quelque chose Ă  grignoter ? » demanda-t-il alors pour savoir s’ils allaient y passer ou directement aller dans la salle. Mais Ă  voir l’entrain d’Andrew celui-ci voulait absolument aller se procurer quelque chose. Laissant passer un petit garçon qui avait faillit lui rentrer dedans, Derek se demanda s’ils allaient ĂȘtre quasi les seuls adultes Ă  venir sans enfant pour voir ce film. Surement mĂȘme
 La salle allait ĂȘtre toute bruyante comme d’habitude avec les enfants, avant que le film ne commence. Alors, je vais vous prendre un grand pop-corn. Oui le truc gĂ©ant derriĂšre vous. Par grave, je partagerais avec monsieur, s'il veut piocher dedans. Et, un grand coca ! Et, toi Derek, tu veux ? » Le journaliste reporta son attention sur Andrew pour quitter le petit groupe d’enfant des yeux et regarda ce qu’il y avait. Voyant que l’infirmier avait prit un gros paquet de popcorn, il n’allait pas en prendre un pour lui Ă  part, surtout qu’il ne le finissait jamais et que quelque pioche lui suffisaient assez. Je prendrais un coca aussi, merci. » Il allait poser les quelques piĂšces sur le comptoir, mais Andrew le devança. Souriant, il le laissa faire, chacun son tour. Le remerciant, ils se mirent alors en route vers la salle, oĂč les enfants affluaient pour entrer. Trop mĂȘme, se faisant un peu bousculer par un petit garçon. Ahlala
 mais c’était quand mĂȘme adorable. Cette Ă©nergie qu’ils pouvaient avoir. Entrant dans la salle, il regarda vite fait les places. C’étaient des salles quand mĂȘme petites, et c’était dĂ©jĂ  pas mal rempli. Bon je pense qu’on a pas trop le choix que d’aller au fond » Vu que c’étaient lĂ  qu’il y avait le moins de monde, car rester tout devant ça non. Rien de mieux pour avoir un torticolis. Il avait Ă©tĂ© dĂ©jĂ  une fois tout devant pour un film et c’était l’horreur, du moins pour lui. Montant donc les quelques marches, il s’arrĂȘta a la derriĂšre rangĂ©e de chaises pour y entrer. S’asseyant plus ou moins au milieu, il dĂ©posa son coca sur le support et vĂ©rifia que tout allait bien pour son camarade. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mer 15 DĂ©c - 136 Andrew demanda Ă  Derek s'il n'avait pas l'intention d'adopter le serpent qui s'Ă©tait perdu dans ce bus. Je doute que ma colocataire serait trĂšs contente de me voir venir dĂ©barquer avec un python dans les bras. Et puis j’ai pas envie de mettre son chat en danger
 » L'infirmier ne put rĂ©primer une petite exclamation de surprise. Le garçon adorait les chats, et il Ă©tait trĂšs en colĂšre face Ă  son propriĂ©taire qui refusait les animaux dans son appartement. Oh ! C'est quoi son petit nom ? J'ai toujours rĂȘvĂ© d'avoir un chat. Je les trouve trop mignon. » Puis, Derek parla d'une affaire plus grave, et Andrew ne put s'empĂȘcher de lui souligner que son attachement Ă  cette affaire d'enlĂšvement montrait son humanitĂ©. Mais il ne rĂ©agissait pas, en tout cas maintenant qu'il le connaissait, il trouvait sa rĂ©action normal. Le journaliste avait toujours du mal avec les compliments. Peut ĂȘtre bien » Andrew se tourna pour bien appuyer ce qu'il pensait de son camarade. Je suis sĂ»r que tu vas devenir un grand journaliste. J'en suis convaincu » souligna t-il avec un hochement de tĂȘte sincĂšre. Une fois dans la file d'attente, le passage en caisse fut plutĂŽt rapide, Andrew prenant plaisir Ă  voir ses parents, et ses enfants se presser pour aller au cinĂ©ma. Lui, et Derek, faisaient un peu extraterrestres parmi eux, mais cela l'amusait, et il n'y avait aucun regard Ă©trange tournĂ© vers eux. Les enfants s'amusaient entre eux, en chahutant, et les parents les surveillaient avec bienveillance. Il avait beaucoup d'amour parmi eux, et c'Ă©tait trĂšs positif comme bulle pour Ă©voluer. Tu veux quelque chose Ă  grignoter ? » lui demanda Derek. Andrew qui dĂ©vorait dĂ©jĂ  les diffĂ©rents Ă©talages, montra qu'il n'allait pas rentrer dans la salle sans avoir quelque chose Ă  manger. Une petit fille devant le stand, portait un Ă©norme paquet de pop-corn aussi gros que sa tĂȘte. Cela l'amusa, en se demandant comment un si un petit corps allait pouvoir ingurgiter autant de nourriture ? Mais une fois que ce fut son tour. Il commanda Ă  son tour du pop-corn, un assez grand pour que le grand brun lui en vole s'il le dĂ©sirait, du coca et demanda ce que son camarade pouvait avoir envie. Je prendrais un coca aussi, merci. » et une fois qu'il termina sa commande. Sully s'empressa de payer pour ses achats, mais aussi le coca de son ami. Ils se firent bousculer, et Andrew regarda la porte de la salle au bout du couloir, s'ouvrit et se fermer dans un va et vient continue. Ils s'approchĂšrent, un petit garçon tira son pĂšre hors de la salle pour qu'il l'emmĂšne aux toilettes, la porte juste Ă  cĂŽtĂ©, sur la droite. Avec la maniĂšre qu'il avait Ă  se tenir le pantalon, amusa l'infirmier. C'est fou ce que ses petits bouts de chou pouvait le faire sourire. Il Ă©tait temps de rentrer dans la salle. C'Ă©tait la folie Ă  l'intĂ©rieur, et les parents avaient du mal Ă  calmer leurs enfants bien Ă  l'avant dans la salle. Bon je pense qu’on a pas trop le choix que d’aller au fond » Andrew acquiesça avec un petit sourire en regardant les siĂšges au fond complĂ©tement abandonnĂ©s. Au moins, il serait tranquille, niveau place, pensa t-il. Il regarda Derek ouvrir la marche quand sa poche se mit Ă  vibrer. Ce qu'il pouvait ĂȘtre bĂȘte, il avait oubliĂ© d'Ă©teindre son portable. Il sortit son tĂ©lĂ©phone de sa poche, et son sourire s'effaça bientĂŽt quand le nom de Braddley Johnson se mit Ă  s'afficher. Il resta interdit alors que Derek se tournait vers lui pour savoir oĂč il en Ă©tait. Que devait-il faire ? Il savait qu'il allait le regretter, mais il devait prendre ce coup de fil. Sans vraiment s'expliquer, il lĂącha son pop-corn et son coca dans les bras du journaliste, le surprenant de son impulsivitĂ©. Je suis dĂ©solĂ©, il faut que je rĂ©ponde...» montrant son tĂ©lĂ©phone Ă  son camarade. Puis Sully' quitta la salle comme s'il fuyait la peste. Le garçon joua avec son portable devant la salle, le dos Ă  la porte. Allo ? » Salut, Andrew...» Mais que voulait-il ? AprĂšs sans nouvelles pendant un an ? Oui ? Pourquoi tu appelles ? » Maintenant ? Ce soir ? J'avais besoin de te parler ... » Andrew Ă©tait sur le point de raccrocher. Mais pour qui il se prenait vraiment ? A l'intĂ©rieur de la salle, les bandes annonces venaient de commencer. Tu avais tout le temps il y a un an...» TouchĂ©...Je te manque pas ? Car toi tu me manques ! » Le garçon resta interdit faisant un pas en avançant, toujours de dos Ă  la salle. Il ne savait pas s'il devait hurler, pleurer oĂč jeter son tĂ©lĂ©phone au loin. Tu te moques de moi ? Tu me jettes aprĂšs quatre ans de relations en cachette oĂč je n'Ă©tais qu'un vide ...» Andrew prĂ©fĂ©ra ne pas finir sa phrase alors qu'une petite fille passait Ă  cĂŽtĂ© de lui. La porte s'ouvrit et il entendit une publicitĂ© pour des bonbons. Ouf ! Le film n'avait pas commencĂ©. Je suis Ă  Sydney pour la semaine...J'ai envie de te serrer contre moi. J'ai envie de te faire l'amour. J'ai envie de te...» Andrew devait l'arrĂȘter, le destin Ă©tait beaucoup trop cruel envers lui. L'infirmier qui pensait avoir tirĂ© un trait ce matin mĂȘme. Toujours de dos, il entendait la porte de la salle s'ouvrir et se fermer derriĂšre lui. Tais toi ! Tu as perdu ce droit depuis bien longtemps. Je ne t'appartiens plus, je suis peut-ĂȘtre seul, pitoyable ! Il y a peut ĂȘtre personne dans ce monde pour moi ! Personne pour m'aimer et m'apporter l'amour que je mĂ©rites. Mais, je prĂ©fĂšres mourir la gueule ouverte plutĂŽt que de passer une autre minute Ă  penser Ă  toi. Salut, Braddley ! Ne m'appelles plus ! » Andrew raccrocha violemment, l'Ă©motion au bord des yeux et de ses lĂšvres. Non, il ne pleurait plus pour son ancien amant. Mais, il Ă©tait tellement proche de fondre en larmes, que son cƓur Ă©tait encore tout chamboulĂ©. Mais oĂč Ă©tait les bras de Derek, quand il avait besoin d'eux ? Les larmes aux yeux, il se tourna, bien dĂ©cidĂ© Ă  retourner dans la salle, en espĂ©rant que Derek ne le verrait pas dans cet Ă©tat. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mer 15 DĂ©c - 612 Je doute que ma colocataire serait trĂšs contente de me voir venir dĂ©barquer avec un python dans les bras. Et puis j’ai pas envie de mettre son chat en danger
 » avait soulignĂ© Derek a propos du python. De toute façon il ne pensait pas acheter d’animaux maintenant, mĂȘme s’il en voudrait bien d’un chat Ă  lui. Mais tant qu’il ne serait pas convenablement installĂ© quelque part de fixe, il ne voudrait pas faire subir des dĂ©mĂ©nagements Ă  un animal. Oh ! C'est quoi son petit nom ? J'ai toujours rĂȘvĂ© d'avoir un chat. Je les trouve trop mignon. » Il s’appelle Moustache » rĂ©pondit-il en souriant. C’était un nom mignon pour un chat en tout cas. Il s’imaginait facilement vivre avec plusieurs chats. Surtout que c’étaient des animaux fascinant. Rien qu’avec Moustache, c’était une surprise quasi tout les jours. Les deux hommes s’étaient avancĂ© pour aller acheter de quoi manger pendant le film. La boisson en main, il observa les petits enfants, tous attirer l’attention Ă  leur maniĂšre. Il sourit en s’imaginant Lloyd dans quelques annĂ©es
 dommage que le temps n’allait pas plus vite tout Ă  coup. D’un cĂŽté  dommage que Lloyd grandisse, car il Ă©tait trop trognon maintenant. Bon je pense qu’on a pas trop le choix que d’aller au fond » avait fait remarquĂ© le journaliste en s’y dirigeant. En tout cas ils seraient un peu plus tranquilles. Mais de toute façon une fois que le film allait commencer la salle allait ĂȘtre plus calme. A part pour des rires certainement
. Mais les rires d’enfants Ă©taient toujours agrĂ©ables Ă  entendre. Derek s’assit sur l’un des siĂšges et avait dĂ©jĂ  rangĂ© son coca, qu’il se trouva tout Ă  coup avec les affaires d’Andrew dans les bras. Les retenant bien pour Ă©viter qu’ils ne tombent par terre, le jeune homme releva la tĂȘte vers l’infirmier pour savoir ce qui se passait. Je suis dĂ©solĂ©, il faut que je rĂ©ponde...» dit son camarade en lui montrant rapidement le tĂ©lĂ©phone. Pourtant le regard qu’avait Andrew ne lui plu pas. Ça semblait bien mauvais
 Une urgence au boulot ? Peut ĂȘtre mais
 il ne savait pas trop. Y avait eut une certaine expression qui l’avait gĂȘnĂ©. Le reporter rangea le coca sur la place d’Andrew et jeta un Ɠil au grand Ă©cran qui venait d’afficher une premiĂšre bande annonce. Piquant un popcorn, qu’il avala rapidement, puis Derek reposa le sachet sur le siĂšge de son ami pour finir par se lever. Il avait un mauvais pressentiment
 Si c’était quand mĂȘme le boulot, faudrait peut ĂȘtre raccompagnĂ© Andrew rapidement sur place ?Derek descendit les marches de la salle pour se diriger vers les portes. Il en poussa une, voyant de justesse filer une petite tornade blonde entre ses jambes. Pffouu
 ils Ă©taient terribles. Dans un bon sens du terme naturellement. En tout cas, Derek resta silencieux en voyant Andrew Ă  quelques pas. Il laissa doucement la porte se refermer, ne voulant pas le son de la salle dĂ©ranger l’infirmier. Mais du coup, il n’était plus trĂšs sĂ»r de devoir rester lĂ . Tais toi ! {...} Salut, Braddley ! Ne m'appelles plus ! » Des mots
 des phrases qui touchĂšrent le journaliste. Rien a voir avec le boulot, c’était plutĂŽt un ancien amant
 ou petit ami. Il ne pouvait pas vraiment imaginer un homme comme Andrew seul
 mais derriĂšre l’homme qui se trouvait lĂ , il avait dĂ©jĂ  vu une partie bien fragile et il savait que comme tous, Andrew devait Ă©galement avoir sa part de blessure. Et vu l’émotion dans la voix, Derek savait que celle-ci en Ă©tait une. Le journaliste s’avança un peu. Peut ĂȘtre qu’il aurait dĂ» entrer en salle. Peut ĂȘtre bien qu’Andrew lui en voudrait d’avoir assistĂ© Ă  ça. Mais il avait juste Ă©tait inquiet et l’était toujours. L’infirmier se retourna alors, certainement pour retourner en salle. Mais maintenant l’idĂ©e de film Ă©tait tout de mĂȘme bien loin. Derek posa une main sur l’épaule d’Andrew pour le tirer doucement contre lui. Fermant ses bras autour des Ă©paules du jeune homme, il posa sa main sur les cheveux de celui-ci. Oh peut ĂȘtre bien que ce n’était pas le moment
 Que cette fois-ci Andrew ne veuille pas, mais les paroles de l’infirmier ne savaient le quitter. Tu sais que t’as dis de grosses conneries ? », murmura-t-il doucement. Passant ses doigts sur les cheveux du jeune homme, il laissa Ă©chapper un lĂ©ger soupire contre le front d’Andrew. Tu n’es pas seul
 et surement pas pitoyable non plus. », souligna-t-il. C’étaient bien des points importants, car il doutait bien que l’infirmier devait avoir des tas d’amis qui devaient ĂȘtre lĂ  pour lui en cas de soucis. Et je pari qu’il y a quelqu’un pour toi ici
 il faut juste avoir la patience de trouver la bonne personne. Peut ĂȘtre Ă  un moment que tu n’attendais pas
 mais ça viendra forcĂ©ment. » Non mais franchement. Un homme comme Andrew ? Il ne s’inquiĂ©tait pas pour ça. Peu importe la personne que le jeune homme choisirait, tant que les sentiments Ă©taient partagĂ©s, il pariait que tout pouvait bien aller. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mer 15 DĂ©c - 1500 Oh ! C'est quoi son petit nom ? J'ai toujours rĂȘvĂ© d'avoir un chat. Je les trouve trop mignon. » Il s’appelle Moustache » Qu'est-ce que Andrew aimait les chats, il en voulait tout plein chez lui, quand il aura assez d'argent pour s'offrir une maison. Ils avaient dĂ©jĂ  choisit tout leurs noms. C'est quoi comme race ? » demanda-t-il avec un Ă©norme sourire. Si cela continuait, ils allaient parler toute la soirĂ©e des chats, si cela ne tenait qu'Ă  l'infirmier. Lui, et ses petites boules de poils, c'Ă©tait une grande histoire d'amour. Les deux compĂšres entrĂšrent enfin dans le cinĂ©ma, s'achetĂšrent leurs places, et passĂšrent par le stand de confiserie. Andrew s'acheta de quoi se faire exploser la panse, avec un grand pop-corn, et deux coca, l'un pour lui, et l'autre pour son ami. C'est qu'il Ă©tait gourmand notre petit nĂ©o-zĂ©landais, lui, qui avait gagnĂ© le concours du mangeur de Hot-Dog de Capwest en 2008 et 2009. Bon je pense qu’on a pas trop le choix que d’aller au fond » demanda Derek, en entrant dans la salle. C'est vrai que vu l'agitation devant, c'Ă©tait prĂ©fĂ©rable de se mettre derriĂšre. Il savait que le calme reviendrait quand le film commencerait, mais l'infirmier adorait cette agitation. Une fois adulte, on devient si sĂ©rieux, on rentre dans une piĂšce, on doit garder le silence, et si on fait un bruit, on doit s'en excuser. Clairement, ĂȘtre un enfant, cela mettait un peu de vie. C'Ă©tait vraiment une vision, qui ne pouvait que lui donner le sourire. Un sourire, qu'il ne garda pas longtemps, quand Derek prit place sur l'un des siĂšges oĂč il avait rangĂ© son coca, le tĂ©lĂ©phone d'Andrew le rappela Ă  l'ordre. C'Ă©tait Bradley Johnson, celui qui l'avait abandonnĂ© il y a un an pour vivre avec femme et enfant. Sans vraiment s'expliquer, il lĂącha son pop-corn et son coca dans les bras du journaliste, le surprenant de son impulsivitĂ©. Je suis dĂ©solĂ©, il faut que je rĂ©ponde...» montrant son tĂ©lĂ©phone Ă  son camarade. Le garçon quitta la salle et finit par dĂ©crocher. Qu'est-ce qu'il pouvait faire d'autre ? La discussion fut Ă©trange pour le jeune homme. De son cĂŽtĂ©, ses phrases Ă©taient plutĂŽt froides et cassantes, du cĂŽtĂ© de son interlocuteur c'Ă©tait plus suave et chaud. Drew' connaissait bien cette voix, c'Ă©tait cellle qu'il prenait quand son ancien amant avait envie de faire l'amour. Combien, par le passĂ©, il avait cedĂ©, non que faire l'amour avec Braddley ai Ă©tĂ© un fardeau, mais ils auraient pu se voir pour faire autre chose...se faire un cinĂ© par exemple ? En cinq ans, jamais Johnson ne l'avait invitĂ© quelque part " Tu comprends si ma famille nous voit ensemble ou ma fiancĂ©e, je risque d'avoir des problĂšmes. "Andrew avait prit sur lui, mais maintenant tout Ă©tait terminĂ©. En tout cas, c'est ce que son cerveau avait dĂ©cidĂ©. Pourtant, en apprenant que Bradley Ă©tait Ă  Sydney, ce fut comme un choc. Alors, ils pourraient peut ĂȘtre ce voir ? Peut-ĂȘtre pourraient-ils tout oublier dans une nuit passionnĂ©e, juste pour un soir ? Non ! Non ! Dans la tĂȘte de l'infirmier tout restait clair et limpide. Tais toi ! {...} Salut, Braddley ! Ne m'appelles plus ! » puis il raccrocha, bien dĂ©cidĂ© Ă  rentrer dans cette salle, et profiter de ce film. Mais une main toucha son Ă©paule, et l'attira en avant, Sully' leva la tĂȘte, les yeux aux bords des larmes, et les lĂšvres tĂ©tanisĂ©es par l'Ă©motion. Derek Ă©tait lĂ . Il se tenait devant lui, l'avait prit dans ses bras avec douceur. Tu sais que t’as dis de grosses conneries ? » La confusion Ă©tait sur le visage de l'infirmier, se sentant mal d'avoir imposĂ© cette vision de lui mĂȘme au grand brun. Il se sentait comme salie, et il ne voulait plus qu'une chose, prendre place dans la salle. Hah ! Tu as entendu... » Mais les bras de Derek Ă©taient si rĂ©confortants, il passa ses bras Ă  son tour, ayant besoin de cette tendresse mĂȘme si elle n'Ă©tait qu'amical. Tu n’es pas seul
 et surement pas pitoyable non plus. » Tu crois ? Pourtant c'est pas l'impression que j'ai... » Drew' s'imprĂ©gna de son odeur, en posant sa tĂȘte sur son Ă©paule. Il sentait si bon, un lĂ©ger parfum de pin, et de citronnier. La sensation Ă©tait si agrĂ©able, qu'il s'oublia un instant, frottant lĂ©gĂšrement sa tĂȘte sur l'Ă©paule Ă  sa disposition. Et lui qui m'appelles aprĂšs un an sans nouvelle. Il voulait mĂȘme pas savoir comment j'allais, si je m'en sortais bien dans ma vie. Il voulait juste baiser... » lĂącha t-il avec fureur et dĂ©gout. Andrew serra plus fort Derek, profitant autant de sa gentillesse que ses paroles sincĂšres. Et je pari qu’il y a quelqu’un pour toi ici
 il faut juste avoir la patience de trouver la bonne personne. Peut ĂȘtre Ă  un moment que tu n’attendais pas
 mais ça viendra forcĂ©ment. » Le garçon leva la tĂȘte, les paroles de Derek Ă©taient si belles. Il le regarda, ses larmes toujours au bord des yeux. Comment pouvait-il faire pour ĂȘtre si parfait ? Comment voulais t-il que l'infirmier trouve quelqu'un d'autre, alors qu'il avait la personne parfaite devant lui. Il se moquait de savoir qu'il soit homosexuel ou pas, qu'il soit perdu ou qu'il se dirigait vers une autre voix. Andrew l'aimait...Il l'aimait dans tout son ensemble, avec ses dĂ©chirures, mais aussi cette tendresse qu'il lui offrait sans rien demander en retour. Une larme perla sur sa joue, devant cet homme qui remplissait son Ăąme de tant de qui l'amenait Ă  la son ultime constations, quel homme pourrait remplacer Derek dans son cƓur ? Est-ce que cette personne excitait ? J'en doutes...Tout les mecs que je rencontre, sont tous comme Braddley, ils veulent juste tirer leurs coups. Je pensais que c'Ă©tait ce que je voulais aussi...mais je veux plus de tout cela. » Andrew espĂ©rait ne pas choquer avec sa sincĂ©ritĂ©, mais pour l'instant il n'avait pas cherchĂ© l'amour. Maintenant, quand il plongeait ses yeux dans le journaliste. Il savait qu'il voulait le trouver. Mais si Braddley rappelait ? Et si ? Un flot d'Ă©motion arriva au bord de ses lĂšvres. Il commença Ă  frissonner, ses lĂšvres tremblantes. Et, en mĂȘme temps, je sais que Braddley va me rappeler. Je serais seul dans mon petit appartement, et mĂȘme si je le dĂ©teste, je sais que je vais cĂ©der...Je dois faire quoi, Derek? Aide-moi ! » C'Ă©tait un appel de dĂ©tresse, ne lĂąchant pas les yeux de son camarade, il avait besoin d'aide mĂȘme si c'Ă©tait complĂ©tement Ă©goĂŻste, et que le journaliste ne pouvait surement rien pour lui, mais sa peur devait sortir. DerniĂšre Ă©dition par Andrew M. Sullivan le Mer 15 DĂ©c - 1907, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mer 15 DĂ©c - 1629 Derek pour la question sur la race du chat n’avait qu’hausser des Ă©paules, en ayant aucune idĂ©e. Il ne savait pas si c’en Ă©tait un en plus. Il Ă©tait beau, c’était ce qu’importait aprĂšs tout. Puis de toute façon, il n’avait jamais rencontrĂ© de chat qui n’était pas beau et d’une certaine Ă©lĂ©gance. Les chats et leurs grands cousins fĂ©lins Ă©taient en gĂ©nĂ©ral des animaux gracieux. En tout cas les histoires de chat Ă©taient bien loin quand il fut devant la porte de la salle pour vĂ©rifier qu’Andrew allait bien. Ce qui ne semblait pas ĂȘtre le cas, dĂšs qu’il entendit les premiĂšres paroles de l’infirmier. DĂšs que le jeune homme eut mit fin Ă  la conversation, Derek s’était avancĂ© vers lui pour le prendre dans ses bras. Derek avait toujours Ă©tĂ© plutĂŽt cĂąlin et tendre, tout comme parfois impulsif et colĂ©rique. Mais lĂ  il voulait juste que son ami ne soit pas triste, peu importe la raison. Tu sais que t’as dis de grosses conneries ? » dit-il doucement Ă  l’oreille d’Andrew. Il espĂ©rait que l’infirmier ne le prenne pas mal, mais il voulait juste le rassurer, car il n’était tout simplement pas d’accord avec ce qu’andrew venait de dire, malgrĂ© qu’ils ne se connaissent pas encore totalement. Hah ! Tu as entendu... » Derek acquiesça doucement de la tĂȘte. Je voulais m’assurer que ça allait
 » Ce qui n’était pas le cas. Tu n’es pas seul
 et surement pas pitoyable non plus. » , reprit-il alors. Tu crois ? Pourtant c'est pas l'impression que j'ai... » Le journaliste fut soulagĂ© de sentir les bras d’Andrew sur lui, signe qu’il voulait bien que Derek le lĂąche. Ce n’est pas celle que j’ai eu. » rĂ©pondit-il tout simplement. DĂ©jĂ  rien qu’à leur premiĂšre rencontre, Andy Ă©tait avec un groupe d’amis. Puis il y aurait surement encore ses camarades de travail. Tout simplement qu’avec un caractĂšre comme celui du jeune homme, Derek ne le voyait pas ĂȘtre seul. Et lui qui m'appelles aprĂšs un an sans nouvelle. Il voulait mĂȘme pas savoir comment j'allais, si je m'en sortais bien dans ma vie. Il voulait juste baiser... » AprĂšs un an ? C’était long
 surtout dĂ©gradant si on appelait juste pour venir tirer un coup. Andrew devait ĂȘtre trĂšs attachĂ© Ă  ce Braddley
 Je te comprends » oui il comprenait bien la rĂ©action du jeune homme. Certainement que la plupart auraient rĂ©agit pareil dans cette situation. Et je pari qu’il y a quelqu’un pour toi ici
 il faut juste avoir la patience de trouver la bonne personne. Peut ĂȘtre Ă  un moment que tu n’attendais pas
 mais ça viendra forcĂ©ment. » lui dit-il, y croyant. Il fallait juste le vouloir. Ne pas le voir et le laisser filer, c’est tout. Derek croisa le regard d’Andrew et lui dit un lĂ©ger sourire. Allez, il Ă©tait sĂ»r qu’Andrew allait trĂšs vite s’en remettre, mĂȘme si ce serait dur au dĂ©but, car les souvenirs pouvaient revenir Ă  flot. J'en doutes...Tout les mecs que je rencontre, sont tous comme Braddley, ils veulent juste tirer leurs coups. Je pensais que c'Ă©tait ce que je voulais aussi...mais je veux plus de tout cela. » Hum
 Bien, c’était bien. Lui-mĂȘme Ă©tait dĂ©jĂ  passĂ© par ce cap. Parfois on le dĂ©cidait simplement par choix, ou par une prise de conscience, tel qu’il l’avait eut, y a plus d’un an. Baisse pas les bras pour autant. » Quand mĂȘme, il Ă©tait peut ĂȘtre un homme, mais alors bien placĂ© pour savoir qu’on n’était pas tous des chasseurs Ă  la piste d’un gibier Ă  croquer et avec des instincts primaires d’un homme du Neandertal. Et, en mĂȘme temps, je sais que Braddley va me rappeler. Je serais seul dans mon petit appartement, et mĂȘme si je le dĂ©teste, je sais que je vais cĂ©der...Je dois faire quoi, Derek? Aide-moi ! » Derek garda ses mains sur les Ă©paules du jeune homme, sans le quitter du regard. L’aider
 il le voudrait bien, naturellement. Mais Ă  part lui piquer son tĂ©lĂ©phone, qui serait un moyen bien rapide, il ne voyait pas trop. En tout cas pour ce qu’il avait comprit, en ne pas donner des nouvelles pendant un an, il supposait que Braddley ne devait pas forcĂ©ment ĂȘtre du coin. Ce Braddley reste ici combien de temps ? », demanda-t-il alors. En tout cas
 il ne voulait pas laisser Andrew dans une telle situation, et de le voir ainsi, lui faisait mal Ă  cƓur. Il n’aimait pas voir les personnes qu’il aimait, souffrir. Bon Ă©coute ! Si tu veux je peux venir chez toi le temps que ça se calme. », proposa le journaliste. Il aurait bien proposĂ© le contraire, mais vu que depuis peu il Ă©tait en colocation, il n’allait pas imposer une tierce prĂ©sence Ă  Sookie. Ainsi je te garde Ă  l’Ɠil. » dit-il en lui donnant de lĂ©gĂšres tapes sur la joue. De toute façon ça ne le dĂ©rangeait pas plus que ça, Ă©tant habituĂ© majoritairement partager un logement avec quelqu’un d’autre. Et puis lĂ  ce ne serait que temporairement avec Andrew. Il glissa sa main de la joue du jeune homme quand il sentit une autre prĂ©sence auprĂšs d’eux. Une petite fille blonde tirait sur le manteau d’Andrew. Posant son regard sur elle, celle-ci avait dĂ©jĂ  levĂ© son bras pour lui prĂ©senter une sucette. Un sourire tendre s’afficha sur son visage. Elle Ă©tait adorable
 surement qu’elle avait du voir qu’Andrew n’allait pas bien. En tout cas dĂšs qu’elle en eut l’occasion, elle s’en alla rapidement sur ses courtes jambes pour rejoindre ses parents qui Ă©taient assis non loin, certainement Ă  attendre d’entrer dans une autre salle. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mer 15 DĂ©c - 2045 Andrew ne pensait pas que cette sĂ©ance de cinĂ©ma tournerait vers un nouveau mĂ©lodrame. Il aurait jamais pensĂ© avoir un appel de Braddley Johnson, et il n'aurait jamais du dĂ©crocher son tĂ©lĂ©phone, alors que l'infirmier Ă©tait si bien en prĂ©sence de Derek. Mais une fois que le train Ă©tait lancĂ©, entendre la voix de son ancien amant avait fait son effet. Il lui rappela tout leurs anciens souvenirs; leurs Ă©bats, la façon qu'avait Braddley de lui caresser les cheveux dans l'intimitĂ©. Les moments oĂč ils s'embrassaient, se caressaient, mais aussi cette manie qu'il avait de titiller son lobe d'oreille avec ses doigts quand le fils de pasteur s'ennuyait. Toutefois, revenait aussi, les souvenirs de son absence, de sa perte et de son dĂ©part. Toute cette souffrance que l'infirmier avait fuit en venant s'installer Ă  Sydney. Mais pourquoi lui avoir Ă©crit une lettre il y a deux mois ? Pourquoi lui avait dit oĂč il Ă©tait ? Il n'y avait rien pourtant dans cette lettre; il ne lui avait pas dit qu'il lui manquait, qu'il l'aimait, et qu'il voulait le revoir. C'Ă©tait juste un mot pour dire que tout allait bien. Cette lettre le garçon n'avait jamais eu aucune rĂ©ponse, et c'Ă©tait ce soir que Johnson dĂ©cidait de refaire bras de Derek Ă©tait prĂ©sent, Ă  nouveau pour accueillir cette peine. Et, cela sembla si naturelle de tomber dans ses bras, sans chercher Ă  comprendre, et Ă  se remettre en question. Il Ă©tait lĂ , et c'est tout ce qui comptait pour l'infirmier. Hah ! Tu as entendu... » rĂ©alisa Andrew, alors qu'il avait raccrochĂ© violemment au nez de son ancien amant. Je voulais m’assurer que ça allait
 » cela n'allait pas, et il ne pouvait lui mentir, alors comme seul rĂ©ponse Drew' se serra contre lui. Tu n’es pas seul
 et surement pas pitoyable non plus. » Ce genre de mot lui faisait vraiment plaisir et il aurait pu sourire mais il en avait pas le courage. Tu crois ? Pourtant c'est pas l'impression que j'ai... » Ce n’est pas celle que j’ai eu. » Andrew ne voulait pas se plaindre, mais il comprit que Derek avait peut ĂȘtre mal interprĂ©tĂ© ses paroles, alors il prĂ©fĂ©ra ĂȘtre plus clair. Je parle sentimentalement, Derek... »Les paroles du journaliste le rassurait, mais aussi son odeur, comme ses bras autour de lui. Il lui disait qu'il allait trouver l'amour, qu'il fallait qu'il soit patient. Et, que celui-ci arriverait sans crier gare. Mais en levant ses yeux, l'infirmier, ne pouvait se dĂ©tacher de l'idĂ©e que Derek, Ă©tait la personne qu'il attendait. Une personne forte, mais sensible, aimante, mais tourmentĂ©, une personne humaine en fin de compte. Une personne exceptionnelle, en tout cas aux yeux du nĂ©o-zĂ©landais. Il lui parla ensuite du dur problĂšme des rencontres, qui peuvent vite finir en un coup rapide pour un soir. Baisse pas les bras pour autant. » lui souligna Derek. Il savait bien sĂ»r qu'il avait des hommes qui Ă©tait Ă  la recherche tout comme lui, d'autre chose. Que pour l'instant, cela avait Ă©tĂ© de sa faute, n'ayant rien fait pour changer sa façon d'aimer. En tout cas, les rencontres c'Ă©taient terminĂ©s...car dans son cƓur, une seule personne avait prit le devant de l'affiche. T'inquiĂšte pas pour moi. », lĂącha t-il avec un Ɠil plein d'espoir. ... Je dois faire quoi, Derek? Aide-moi ! » implora le jeune homme. La peur de se retrouver seul dans son appartement, et de cĂ©der aux avances de Braddley, Ă©tait tellement fort, qu'il lui coupa la respiration pendant un instant. Peut-ĂȘtre devait-il changer de numĂ©ro ? Ou alors devait-il donner son portable Ă  son camarade ? Devait-il prendre une semaine de congĂ©, et fuir au loin...Tout Ă©tait tellement flou dans sa tĂȘte, en tout cas jusqu'Ă  que le journaliste prenne la parole. Ce Braddley reste ici combien de temps ? » sans rĂ©flĂ©chir aux consĂ©quences de sa rĂ©ponse, il rĂ©pondit simplement. Il m'a dit qu'il Ă©tait lĂ , la semaine. » Bon Ă©coute ! Si tu veux je peux venir chez toi le temps que ça se calme. », proposa Derek. Andrew aurait pu fondre en larmes, devant ce geste complĂ©tement dĂ©sintĂ©ressĂ©. Il essaya de garder son calme, mais Ă©mu posa une main sur l'Ă©paule de son ami qui pensait qu'Ă  l'aider. C'est adorable de ta part, je sais pas quoi dire.» Il leva sa main et la passa sur la joue de Derek comme tout remerciement. Il aurait voulu l'embrasser mais cela c'est autre histoire... Ainsi je te garde Ă  l’Ɠil. » et la tape de Derek le fit sourire, peut ĂȘtre le premier depuis la fin de son appel. Oui ! Mais on ferra comment ? J'ai un petit appartement. J'aurais mĂȘme pas un canapĂ© Ă  t'offrir... », dit-il en rĂ©alisant qu'il devrait alors partager le mĂȘme lit si le journaliste dĂ©cidait de vivre chez lui jusqu'Ă  la fin de la semaine. Cette pensĂ©e le troubla lĂ©gĂšrement, mais une petite tĂȘte blonde le tira de ses pensĂ©es coquines; Derek torse nu, Derek sous la douche, Derek sortant de la douche, Derek sans sous vĂȘtements...Une petite fille proposait avec gentillesse une sucette, qu'Andrew accepta avec plaisir. Il s'agenouilla et la remercia par un baiser chaste sur le front, devant le regard de ses parents. On devrait peut-ĂȘtre rentrer, sinon on va louper le film ? » dit-il avec un grand sourire. Andrew attrapa Derek par la main, et l'emmena avec lui Ă  l'intĂ©rieur de la salle. Une fois devant leur siĂšge, il lui lĂącha la main pour s'asseoir mais ce simple contact l'Ă©lectrisa, et l'ombre de Braddley s'effaça pour un temps. Le film venait juste de commencer, une voix off, sĂ»rement le personnage principal racontait comment tout avait commencĂ©. L'infirmier installa son pop-corn sur ses genoux, au cas si son camarade avait une petite faim. Il puisa ensuite dans son coca, en tirant sur la paille pour faire couler un petit sucre sur ses peines. Une poignĂ©e de pop-corn plus loin, il se sentait bien mieux, et osa un petit regard vers Derek, dans cette salle sombre. Car il se demandait comment il avait pu vivre sans lui avant, et il remerciait le ciel d'avoir croiser sa route. InvitĂ©InvitĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Mer 15 DĂ©c - 2318 T'inquiĂšte pas pour moi. » lui avait dit Andrew, le regard plus insistant. Derek sourit, espĂ©rant bien que oui, car il n’aimait pas le voir ainsi. De toute, il verrait bien plus tard dans quel Ă©tait serait le jeune homme. S’il le fallait il allait l’accaparer pour tout son temps libre les prochains jours pour tenter de lui remonter le moral. Ce Braddley reste ici combien de temps ? » demanda Derek pour savoir si son idĂ©e de squatter momentanĂ©ment chez Andrew pouvait marcher. D’un cĂŽtĂ© peu importe le temps qu’il le faudrait, il resterait pour s’assurer que ce Braddley ne s’approche pas d’Andrew. Pourtant
 ça lui montrait encore plus que le jeune homme devait avoir des sentiments pour cette personne, sinon il n’aurait pas aussi peur de cĂ©der devant lui. Il m'a dit qu'il Ă©tait lĂ , la semaine. » Bon Ă©coute ! Si tu veux je peux venir chez toi le temps que ça se calme. », proposa-t-il tout naturellement. Surtout une semaine
 ce n’était rien ça. Il allait juste prĂ©venir Sookie qu’il serait chez un ami pour le soutenir dans un moment difficile, c’est tout. Il sentit la main de son camarade sur son Ă©paule, voyant que celui-ci Ă©tait dĂ©jĂ  heureux de cette proposition. C'est adorable de ta part, je sais pas quoi dire.» Derek haussa des Ă©paules. Alors ne dit rien, ça me va aussi. » Il sourit lĂ©gĂšrement en sentant la main d’Andrew sur sa joue et continua un peu plus amusĂ©. Ainsi je te garde Ă  l’Ɠil. » Et oui, le voila jouant Ă  la nounou. Bah, il pouvait bien endosser ce rĂŽle un certain temps. Le temps qu’il fallait qu’il sache qu’Andrew ne souffre pas de toute cette affaire. Oui ! Mais on ferra comment ? J'ai un petit appartement. J'aurais mĂȘme pas un canapĂ© Ă  t'offrir... », Hum
 pas de canapĂ© ? DĂ©jĂ  que souvent un canapĂ© standard Ă©tait trop petit pour lui. Mais il se voyait mal dormir par terre dans un sac de couchage pendant une bonne semaine. Et bien on est adulte, on peut bien partager un lit, sans incident, n’est-ce pas ? » Si jamais Andrew lui disait non alors lĂ , faudrait qu’il reconsidĂšre sa proposition. Ou alors il se contenterait du sac de couchage
 Derek sourit Ă  la petite fille qui offrit la sucette Ă  l’infirmier. Les enfants, toujours l’Ɠil et un petit geste pour redonner le sourire. On devrait peut-ĂȘtre rentrer, sinon on va louper le film ? » dit son camarade une fois que la petite fille fut retournĂ© chez ses parents. Il acquiesça de la tĂȘte, serrant Ă  son tour la main d’Andrew pour le suivre dans la salle et remonter vers leur place. S’asseyant, il saisit son coca pour en boire un peu et se rafraĂźchir la gorge. Curieusement, le dĂ©but du film, avait des impressions de dĂ©jĂ -vu ^^ sauf en double cette fois-ci. Le journaliste reposa son coca puis tendit sa main sur le cĂŽtĂ© pour piquer quelques popcorn et de les manger. Il tendit Ă  nouveau la main, mais cette fois-ci pour Ă©bouriffer gentiment les cheveux d’Andrew. Il eut un lĂ©ger rire et retira bien vite sa main, se calant au cĂŽtĂ© opposĂ© de son siĂšge pour Ă©viter des reprĂ©sailles. Ah de toute façon, il n’était pas l’heure Ă  jouer aux gamins. DĂ©jĂ  rien que le dĂ©but de l’histoire Ă©tait tristounette. Malheur sur malheur et voila comment quelqu’un pouvait rapidement mal tourner en n’ayant personne Ă  cĂŽtĂ© de lui. Il se demandait bien ce qu’il serait devenu s’il n’aurait pas connu Ashton ? D’un cĂŽtĂ© il avait mal tournĂ© d’une autre maniĂšre. Quelques scĂšnes plus amusantes que les autres, Derek aima bien le personnage du poisson animal de compagnie du mal. Ressemblant beaucoup Ă  un piranha en tout cas. Mais une des scĂšnes qui le marqua le plus fut celle du restaurant
 Certainement Ă  cause de la phrase que l’hĂ©roĂŻne sortit, du fais qu’on jugeait une personne par ses actes
 Cette mĂȘme phrase qu’on lui avait aussi sortit, et ce n’était pas de bons souvenirs
 Pourtant il tenta de les chasser rapidement pour profiter du film. Ce qu’il aimait le plus aussi c’était les divers Oh et rires que les enfants pouvaient pousser Ă  certaines scĂšnes. Et voila qu’aprĂšs une bonne heure et demi et un fameux happy-end, le journaliste s’étira les bras au dessus de lui puis jeta un coup d’Ɠil Ă  son voisin. Et bien, je pensais que tu allais finir ton paquet de popcorn trĂšs vite
 » Tsss y avait encore un fond dit donc. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Parce qu'il faut un dĂ©but Ă  tout [TerminĂ©] Page 1 sur 2

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Vif: se dit d'un vin qu'une petite dominante acide, sans excÚs, contribue à rendre trÚs ~. Acide : se dit d'un vin dont l'acidité trÚs élevée lui donne un caractÚre mordant et vert . ~ : Se dit d'un vin légÚrement acide, mais sans excÚs, qui procure une sensation de fraßcheur.
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Sedit d'un bonbon qui pique légÚrement Partenaire de Dino à la voix de crécelle Organe qui se trouve dans un creux du corps Entasser trop d'objets dans une petite piÚce D'une teinte laiteuse et bleuùtre Enfant en italien chanté par Dalida Qui n'a pas été endommagé Pierre utilisée comme pigment bleu D'un abord difficile et déplaisant Habitants du
SEDIT*D*UN*BONBON*QUI*PIQUE*LEGEREMENT - - 20 solutions de 4 à 10 lettres Les résultats sont triés par ordre de pertinence avec le nombre de lettres entre parenthÚses.
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