Celadit, la sĂ©curitĂ© est l’affaire de tous et en premier lieu de ceux qui fournissent des services via Internet, des fournisseurs de produits, de solutions, d’équipements et autres intermĂ©diaires techniques. La cybercriminalitĂ© et sa composante de sĂ©curitĂ© (l’autre facette de la mĂ©daille) ne relĂšve pas exclusivement de la capacitĂ© pour Chaque annĂ©e, le 7 juin, se tient la JournĂ©e mondiale de la sĂ©curitĂ© alimentaire pour souligner l'importance de la sĂ©curitĂ© alimentaire dans la rĂ©alisation du Programme 2030. ©Eleonora Grunge/ 06/06/2019Sans un accĂšs universel Ă  une alimentation saine, nous ne pourrons pas rĂ©aliser les objectifs du Programme 2030. On estime que 600 millions de personnes tombent malades chaque annĂ©e en mangeant des aliments contaminĂ©s par des bactĂ©ries, des virus, des toxines ou des produits chimiques - et 420 000 d'entre elles en meurent. Lorsque la nourriture n'est pas saine, les enfants ne peuvent pas apprendre et les adultes ne peuvent pas travailler. En d'autres termes, le manque d'accĂšs Ă  des aliments sains entrave le dĂ©veloppement humain. Pour souligner le rĂŽle crucial de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments dans la promotion de la santĂ© et l'Ă©limination de la faim, la JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est cĂ©lĂ©brĂ©e chaque annĂ©e le 7 juin. Son but est d'attirer l'attention et d'inspirer des actions pour aider Ă  prĂ©venir, dĂ©tecter et gĂ©rer les risques d'origine alimentaire, contribuant ainsi Ă  la sĂ©curitĂ© alimentaire, la santĂ© humaine, la prospĂ©ritĂ© Ă©conomique, l'agriculture, au tourisme, au dĂ©veloppement durable et permettant l’accĂšs aux marchĂ©s. Si vous produisez, transformez, vendez ou prĂ©parez des aliments, vous avez un rĂŽle Ă  jouer dans leur salubritĂ©. Voici cinq façons de faire la diffĂ©rence en matiĂšre de sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments 1. S'assurer que la nourriture est saine Les gouvernements ont un rĂŽle essentiel Ă  jouer pour garantir que les aliments sont sĂ»rs et nutritifs pour tous. Et ils ont de bonnes raisons de le faire selon la Banque mondiale, les aliments dangereux coĂ»tent - Ă  eux seuls - aux Ă©conomies Ă  revenu faible et moyen environ 95 milliards de dollars EU en perte de productivitĂ© annuelle. Pour aider Ă  rĂ©duire ce chiffre, les dĂ©cideurs peuvent promouvoir des systĂšmes agricoles et alimentaires durables, en encourageant la collaboration entre les secteurs de la santĂ© publique, de la santĂ© animale, de l'agriculture et autres. Les pays peuvent Ă©galement se conformer aux normes internationales Ă©tablies par la Commission du Codex Alimentarius. 2. Cultiver des aliments en toute sĂ©curitĂ© Pour garantir un approvisionnement suffisant en denrĂ©es alimentaires sĂ»res au niveau mondial tout en minimisant leur impact environnemental et en s'adaptant au changement climatique, les producteurs de denrĂ©es alimentaires doivent adopter de bonnes pratiques. Au fur et Ă  mesure que les systĂšmes de production alimentaire se transforment et s'adaptent aux conditions changeantes, les agriculteurs doivent Ă©tudier soigneusement les meilleurs moyens de faire face aux risques potentiels et de s'assurer de la salubritĂ© des aliments. Prendre en compte la santĂ© des plantes et des animaux, par exemple, peut contribuer Ă  combattre la rĂ©sistance aux antimicrobiens et Ă  rĂ©duire ce chiffre de 700 000 personnes qui meurent chaque annĂ©e dans le monde d'infections rĂ©sistantes aux antimicrobiens. La sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments doit ĂȘtre assurĂ©e Ă  chaque Ă©tape de la chaĂźne de valeur - du producteur au consommateur, en passant par le vendeur. A gauche ©Edmund Lowe Photography/ A droite ©Dusan Petkovic/ 3. PrĂ©server la salubritĂ© des aliments Pour les exploitants d'entreprises, les contrĂŽles prĂ©ventifs peuvent rĂ©soudre la plupart des problĂšmes de sĂ©curitĂ© alimentaire. Tous ceux qui participent aux opĂ©rations alimentaires - de la transformation Ă  la vente au dĂ©tail - doivent s'assurer du respect de programmes tels que le SystĂšme d’analyse des risques – points critiques pour leur maĂźtrise HACCP, qui identifie, Ă©value et maĂźtrise les risques importants pour la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments. En plus de rĂ©duire les risques de maladie, les bonnes pratiques de transformation, de stockage et de conservation peuvent Ă©galement permettre de rĂ©duire les pertes aprĂšs rĂ©colte et aider Ă  prĂ©server la valeur nutritionnelle des aliments. Elles permettent aussi aux entreprises de maximiser leur participation Ă  un commerce alimentaire mondial de 1,6 trillion de dollars EU. 4. VĂ©rifier la salubritĂ© des aliments Les consommateurs ont le pouvoir d'exiger des aliments sĂ»rs et sains. Vu la complexitĂ© de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, les consommateurs doivent avoir accĂšs en temps opportun Ă  des renseignements clairs et fiables sur les risques nutritionnels et les risques de maladie associĂ©s Ă  leurs choix alimentaires. Investir dans l’éducation des consommateurs Ă  la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments peut permettre de rĂ©duire les maladies d'origine alimentaire et de rĂ©aliser des Ă©conomies allant jusqu'Ă  dix fois chaque dollar investi. Les consommateurs doivent avoir la capacitĂ© de faire, pour eux-mĂȘmes, des choix alimentaires sains et pour la planĂšte, de soutenir des systĂšmes alimentaires durables. 5. Soutenir ensemble la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments En fin de compte, la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est une responsabilitĂ© partagĂ©e. Les gouvernements, les organismes Ă©conomiques rĂ©gionaux, les organisations des Nations Unies, les agences de dĂ©veloppement, les organisations commerciales, les groupes de consommateurs et de producteurs, les institutions universitaires et de recherche et les entitĂ©s du secteur privĂ© doivent travailler ensemble sur ces questions qui nous concernent tous. La collaboration est nĂ©cessaire Ă  l'Ă©chelle mondiale, rĂ©gionale et locale - entre les secteurs au sein d'un gouvernement et au-delĂ  des frontiĂšres - pour lutter contre les Ă©pidĂ©mies de maladies d'origine alimentaire dans le monde. La sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est essentielle pour promouvoir la santĂ© et Ă©radiquer la faim. Elle pourrait sauver chaque annĂ©e la vie de 420 000 personnes. ©WAYHOME studio/ La salubritĂ© des aliments est essentielle, non seulement pour amĂ©liorer la santĂ© et la sĂ©curitĂ© alimentaire, mais aussi pour prĂ©server les moyens d’existence, le dĂ©veloppement Ă©conomique, le commerce et la rĂ©putation internationale de chaque pays. Les maladies d'origine alimentaire entravent le dĂ©veloppement socio-Ă©conomique en mettant Ă  rude Ă©preuve les systĂšmes de santĂ© et en nuisant aux Ă©conomies nationales, au tourisme et au commerce. Un monde FaimZĂ©ro ne peut ĂȘtre atteint que si les aliments consommĂ©s sont sans danger. A l’occasion de cette JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, soyons, comme chaque jour, reconnaissants pour la salubritĂ© de nos aliments et prenons des mesures pour nous assurer que la sĂ©curitĂ© alimentaire est bien l'affaire de tous. Pour en savoir plus Site web Les normes alimentaires internationales du Codex Alimentarius Site web La FAO et la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments Site web JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments en anglais RĂ©cit L'avenir de l'alimentation FutureofFood dĂ©pend de l'avenir de la sĂ©curitĂ© alimentaire RĂ©cit Si c’est nocif, ce n’est pas un aliment RĂ©cit Codex Alimentarius protĂ©ger la santĂ©, faciliter le commerce LasĂ©curitĂ© et la santĂ© au travail sont l’affaire de tous. La SST (santĂ© sĂ©curitĂ© au travail) n’est pas uniquement une question de respect de la loi et reprĂ©sente bien plus qu’une tĂąche administrative. Il s’agit tout simplement Les spĂ©cialistes de la cybercriminalitĂ© se rĂ©unissent cette semaine Ă  Monaco avec pour ambition d'Ă©tendre Ă  l'ensemble de la population les comportements et rĂ©flexes qui permettront de mieux rĂ©sister Ă  des pirates informatiques de plus en plus audacieux. "Se protĂ©ger, ça passe par des rĂšgles", explique Ă  l'AFP le directeur gĂ©nĂ©ral de l'Agence nationale de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information Anssi, Guillaume Poupard. "Il y a des rĂšgles de conception des systĂšmes, des rĂšgles d'administration de ces systĂšmes, des rĂšgles de gouvernance, des rĂšgles de comportement de la part des agents... Quand vous appliquez toutes ces rĂšgles et que vous le faites proprement, ça ne garantit pas une sĂ©curitĂ© Ă  100%, mais il n'y a plus grand chose qui passe", estime-t-il. Le propos peut paraĂźtre bien optimiste, alors qu'on apprend tous les jours ou presque que des cybercriminels arrivent Ă  se promener dans des systĂšmes informatiques les plus divers, volent des fichiers, dĂ©tournent de l'argent ou menacent de tout bloquer. "Au sein des entreprises, il y a Ă©videmment un responsable de la sĂ©curitĂ© des systĂšmes d'information il est indispensable, mais pas suffisant. L'idĂ©e, c’est vraiment de se dire que chacun est acteur de cette cybersĂ©curitĂ© le PDG, le directeur juridique, le directeur financier... Chacun Ă  un rĂŽle Ă  jouer", souligne-t-il. Y compris l'intĂ©rimaire, gĂ©nĂ©ralement oubliĂ© dans les procĂ©dures, alors qu'il a souvent accĂšs aux systĂšmes. Pas Ă©tonnant, dans ce contexte, que les Assises de la sĂ©curitĂ© et des systĂšmes d'information soient de moins en moins une rĂ©union de spĂ©cialistes. Quelque personnes y sont attendues de mercredi Ă  vendredi, Ă  Monaco. La menace reste des plus sĂ©rieuses, d'autant que le problĂšme de la sĂ©curitĂ© informatique a longtemps Ă©tĂ© nĂ©gligĂ©. L'Etat a identifiĂ© plus de 200 opĂ©rateurs d'importance vitale OIV, privĂ©s et publics, "qui exploitent ou utilisent des installations jugĂ©es indispensables pour la survie de la Nation". La loi de prĂ©paration militaire les oblige dĂ©sormais Ă  suivre toute une sĂ©rie de rĂšgles trĂšs strictes pour faire face Ă  la menace cyber, sous la surveillance de l'Anssi. - Rendre les attaques publiques - Et pour les autres ? Rien d'obligatoire, pour l'instant, mais du bon sens. "Il y a des chefs d'entreprises qui viennent me voir pour me demander ce qu'ils doivent faire, alors qu'ils ne sont pas des OIV", raconte Guillaume Poupard. "Et bien, la mĂȘme chose!" Les entreprises devront de toute façon rĂ©agir parce qu'une directive europĂ©enne va les obliger en 2018 Ă  rendre public tout vol de donnĂ©es personnelles. Or, jusqu'Ă  prĂ©sent, la plupart d'entre elles prĂ©fĂšrent garder secrĂštes les attaques dont elles font l'objet. Pour des raisons d'image, et aussi, note pour mieux rĂ©agir face aux pirates. "On va voir le vrai visage de la sĂ©curitĂ© des sociĂ©tĂ©s françaises, et ça va faire peur", prĂ©dit JĂ©rĂŽme Robert, responsable du marketing chez Lexsi, une sociĂ©tĂ© spĂ©cialisĂ©e tout juste rachetĂ©e par Orange. Le plus souvent guidĂ©s par l'appĂąt du gain, mais aussi par des motivations idĂ©ologiques, les cybercriminels s'introduisent au coeur du systĂšme des entreprises, gĂ©nĂ©ralement en passant par les ordinateurs de certains employĂ©s. Et pour approcher lesdits employĂ©s, on leur fait ouvrir des piĂšces jointes par mail, on les envoie cliquer sur des pages web vĂ©rolĂ©es ou on leur met entre les mains une clef USB corrompue. Une fois dans la place, les pirates peuvent tranquillement piller les ressources de l'entreprise attaquĂ©e - pour la plus grande joie d'un concurrent, par exemple - voire prendre le contrĂŽle de ses Ă©quipements. Quitte Ă  reprĂ©senter un vĂ©ritable danger, puisqu'ils pourraient ainsi faire dĂ©railler un train, prendre le contrĂŽle d'une voiture autonome, polluer l'approvisionnement d'une ville en eau ou faire sauter une raffinerie. Sans en arriver Ă  de telles extrĂ©mitĂ©s, les cybercriminels font de plus en plus chanter leurs victimes en s'introduisant dans leurs ordinateurs pour les bloquer ou en crypter le contenu. Et lĂ , ce ne sont pas seulement des entreprises, mais aussi des particuliers, qui sont victimes de ces "ransomwares", et qui ne peuvent espĂ©rer rĂ©cupĂ©rer leurs donnĂ©es qu'en payant une rançon. LasĂ©curitĂ© est l'affaire de tous Novembre 18 2014 Selon Rodrigo JimĂ©nez, responsable de la sĂ©curitĂ© de l'information chez Necsia, 85% des grandes entreprises souffrent de vulnĂ©rabilitĂ© et certains d'entre eux ne sont pas conscients de la nĂ©cessitĂ© de renforcer leurs aspects les plus faibles jusqu'Ă  ce qu'ils subissent une attaque. Retrouvez le nouveau numĂ©ro de la lettre d'information du PĂŽle PrĂ©vention BTP Vaucluse... Le 3Ăšme numĂ©ro de la lettre d'information du PĂŽle PrĂ©vention BTP Vaucluse a Ă©tĂ© publiĂ© en octobre dernier. TĂ©lĂ©chargez ci-dessous ce document d'information, Ă©laborĂ© avec la participation des Services de SantĂ© au Travail du Vaucluse. NotresĂ©curitĂ© est l'affaire de tous 24 octobre 2013 Les policiers de la BAC de Toulouse interpellent un braqueur de bijouterie, et des dĂ©mĂ©nageurs Ă  proximitĂ© font de mĂȘme avec son complice ! "La sĂ©curitĂ© n'est pas une compĂ©tence de la RĂ©gion, mais la rĂ©gion peut co-produire de la sĂ©curitĂ©", estime ce lundi matin Cyril Hemardinquer, tĂȘter de liste du Rassemblement National dans le Loiret aux Ă©lections rĂ©gionales et par ailleurs candidat aux Ă©lections dĂ©partementales sur le canton de Courtenay. Le syndicaliste policier, en poste dans les Yvelines, en fait son axe de campagne. Il Ă©tait l'invitĂ© de France Bleu OrlĂ©ans. Les Ă©lections dĂ©partementales tout d'abord zĂ©ro Ă©lu pour le Rassemblement National en 2015. Vous pensez rĂ©ussir Ă  faire mieux cette fois ci? En tout cas, je l'espĂšre. J'ai grand espoir de faire mieux. Le climat politique nous est quand mĂȘme assez favorable. Il faut savoir qu'on avait des cantons qui avaient dĂ©passĂ© la barre des 40% en 2015. J'espĂšre qu'avec l'Ă©volution politique actuelle, la dictature d'En Marche, le "ni gauche ni droite" de nos partis centristes et l'ensemble de l'Ă©chiquier politique, nous devrions arriver Ă  rĂ©veiller les Français et Ă  les amener Ă  rĂ©aliser que le Rassemblement National est la meilleure option pour eux, sur tous les scrutins. Une dictature d'En Marche qui vous permet tout de mĂȘme d'ĂȘtre candidat Ă  ces Ă©lections. Vous ĂȘtes d'ailleurs candidat sur le canton de Courtenay, l'un des cantons oĂč le Rassemblement National a fait le plus gros score en 2015. Vous vous dites, "je ne prends pas de risque" ? Non du tout. DĂ©jĂ , rien n'est acquis en politique. On ne peut pas aller sur un canton et se dire qu'on ne prend pas de risque. Prendre Courtenay, mĂȘme pour moi est un gros risque puisque c'est le canton qui avait fait le meilleur rĂ©sultat la derniĂšre fois, et si je ne le fais pas basculer ce coup-ci, ce sera un Ă©chec qu'il faudra que j'assume personnellement. Cela veut dire quoi ? Si vous n'ĂȘtes pas Ă©lu Courtenay, vous quittez la tĂȘte du Rassemblement National dans le Loiret ? Non, absolument pas. Le Loiret ne se rĂ©sume pas au canton de Courtenay. C'est juste que j'ai un engagement vis-Ă -vis de mes militants. J'ai un engagement vis-Ă -vis de mes sympatisants et de tous les Français qui votent Rassemblement National et donc je dois atteindre mes objectifs. Pour moi, l'Ă©chec n'est pas d'une option. Si jamais j'ai, j'Ă©tais en Ă©chec, bien Ă©videmment, il faudra rebondir pour continuer Ă  aller de l'avant avant. Nous avons l'Ă©lection prĂ©sidentielle en 2022, c'est quand mĂȘme une Ă©tape dĂ©cisive pour le pays et nous oeuvrerons en ce sens par la suite. Le Rassemblement national a du mal Ă  fidĂ©liser dans le Loiret. Sur les 42 candidats prĂ©sentĂ©s pour les dĂ©partementales, seuls quatre Ă©taient dĂ©jĂ  prĂ©sents en 2015. Ça vient d'oĂč ? C'est un problĂšme d'image, de rĂ©ussir Ă  tenir dans le temps? Non, du tout, c'est un problĂšme de turn-over des personnes. Dans un de vos articles, lĂ , il Ă©tait Ă©crit que j'avais rĂ©ussi Ă  boucler tous les cantons, non sans mal. C'est tout Ă  fait faux. Il faut savoir que j'avais un grand panel de candidats. Nous avons pu les choisir. Nous avons pu faire face aux Ă©ventuelles dĂ©fections de derniĂšre minute. Nous avons dĂ©posĂ© la liste de nos 21 cantons le premier jour oĂč c'Ă©tait possible Ă  la prĂ©fecture, je n'ai eu aucun mal Ă  trouver des candidats. C'est vrai que le dernier article qui a Ă©tĂ© fait par France Bleu indique que j'ai des couples chez moi. Je ne savais pas que c'Ă©tait interdit en politique d'avoir les deux qui s'engagent en politique. C'est une nouveautĂ©. Vous savez, quand on s'engage en politique, trĂšs souvent, c'est trĂšs chronophage, et si la famille ne suit pas ou n'adhĂšre pas au projet, c'est trĂšs compliquĂ©. Ce qui explique pourquoi nous avons tant de couples reprĂ©sentĂ©s. Vous ĂȘtes donc tĂȘte de liste pour les Ă©lections rĂ©gionales dans le Loiret. Un policier en tĂȘte de liste, ça annonce la couleur la sĂ©curitĂ©, pincipal axe de campagne du Rassemblement National ? Tout Ă  fait. La sĂ©curitĂ©, c'est un problĂšme essentiel en France aujourd'hui. La sĂ©curitĂ©, c'est aussi l'affaire de tous et on ne voit pas pourquoi ça ne serait pas l'affaire des rĂ©gions. Les RĂ©gions n'ont pas vraiment la main sur la sĂ©curitĂ©. Ce n'est pas la RĂ©gion qui dĂ©cide du nombre de policiers municipaux ou de policiers nationaux dans nos rues. La sĂ©curitĂ© n'est pas une compĂ©tence de la RĂ©gion, mais la rĂ©gion peut co-produire de la sĂ©curitĂ© comme cela s'est dĂ©jĂ  vu notamment en rĂ©gion Île-de-France, par exemple. La RĂ©gion, peut subventionner ou du moins cofinancer et aider les mairies Ă  obtenir des budgets plus consĂ©quents pour recruter des policiers municipaux. La rĂ©gion a certains leviers pour pouvoir amener plus de sĂ©curitĂ©, notamment dans les transports. Elle peut ĂȘtre un acteur vraiment trĂšs important et nous avons plusieurs expĂ©rimentations en termes de sĂ©curitĂ© que nous souhaiterions mettre en place dans la rĂ©gion Centre-Val de Loire. Vous ĂȘtes donc policier dans les Yvelines, Ă©lu au conseil municipal Ă  Maintenon, en Eure et Loir, candidat aux dĂ©partementales dans le Loiret, tĂȘte de liste aux rĂ©gionales pour le Loiret. Ce dĂ©partement, c'est une Ă©tape parmi d'autres ? Non, le Loiret, c'est ma nouvelle destination. Initialement, j'aurais dĂ» m'installer dans le Loiret cette annĂ©e, Ă  cause de la Covid, tout a pris un petit peu de retard. Je suis aussi contraint par la profession de mon Ă©pouse, donc, pour l'instant, je suis toujours physiquement sur Maintenon. J'ai assumĂ© mon mandat de conseiller municipal qui est un mandat totalement bĂ©nĂ©vole, oĂč je siĂšge dans huit commissions qui ne me rapportent absolument rien, je fais ça vraiment parce que je me suis engagĂ© auprĂšs des gens qui m'ont Ă©lu. Quand je serai sur le Loiret et que je passerai la main Ă  ma seconde de liste, elle continuera l'engagement du Rassemblement National sur place.
SĂ©curitéà la chasse, c’est l’affaire de tous La sĂ©curitĂ© des chasseurs et des non chasseurs est le point fondamental qui guide toute action de chasse, au petit comme au gros gibier. C’est encore plus important dans un territoire pĂ©ri-urbain comme le nĂŽtre oĂč les chasseurs cĂŽtoient de nombreux autres utilisateurs des espaces naturels.
La sĂ©curitĂ© sur les pistes de ski alpin est assurĂ©e dans chaque station par le service des pistes composĂ© de personnels qualifiĂ©s spĂ©cialement formĂ©s et entraĂźnĂ©s les pisteurs-secouristes, les conducteurs d’engins de damage, les nivoculteurs, les artificiers, les observateurs nivo-mĂ©tĂ©o, les maĂźtres-chiens d’avalanche, les opĂ©rateurs du central des pistes. Mais la sĂ©curitĂ© c’est aussi l’affaire de tous! Pour que votre sĂ©jour se passe au mieux et sans encombre, des rĂšgles sont Ă  respecter. Alors prenez un instant pour connaĂźtre ces rĂšgles en visionnant le reportage ci-dessous. Les 8 rĂšgles du Piste X Code La difficultĂ© des pistes Pour sĂ©curiser la pratique du ski alpin, les pistes sont classĂ©es en quatre catĂ©gories identifiĂ©es par un code couleur selon leur niveau de difficultĂ©. Des balises sont positionnĂ©es sur l’un des bords de la piste pour vous permettre de vous repĂ©rer. Elles sont numĂ©rotĂ©es par ordre dĂ©croissant et indiquent le nom de la piste sur laquelle vous Ă©voluez. Par exemple, le chiffre 1 sur fond vert signifie que vous ĂȘtes arrivĂ© en bas d’une piste verte. Autrement dit, en bas d'une piste de niveau facile. En cas d'accident, les indications "nom de la piste" et "n° de balise" doivent ĂȘtre communiquĂ©es pour faciliter l’éventuelle intervention du service des pistes. A titre d'information, seules les pistes dĂ©clarĂ©es ouvertes sont contrĂŽlĂ©es par les pisteurs, en dehors de celles-ci vous Ă©voluez Ă  vos risques et pĂ©rils. Pour prĂ©cision, sont affichĂ©s sur les lieux de passage les plus frĂ©quentĂ©s le bulletin mĂ©tĂ©orologique et le bulletin sur le risque d'avalanche. Se prĂ©parer avant son sĂ©jour - PrĂ©parĂ© Le ski ou le surf reste un sport. Alors pensez Ă  vous Ă©chauffer, Ă  doser vos efforts et vous hydrater correctement et tout ira bien! - ÉquipĂ© Pour bien skier, vous devez d’abord choisir un matĂ©riel adaptĂ© Ă  votre niveau technique, votre taille et votre poids. Le rĂ©glage et l’entretien des fixations sont ensuite essentiels pour limiter les risques en cas de chute ou de choc. Pour cela, demandez conseil dans les magasins spĂ©cialisĂ©s. - ProtĂ©gĂ© La tĂȘte est trĂšs exposĂ©e dans les sports de glisse. Pour limiter les traumatismes, portez un casque! - AssurĂ© Les secours sur pistes ne sont pas gratuits... Avant de vous lancer, vĂ©rifiez que vous ĂȘtes bien assurĂ©. En savoir plus sur l'assurance ski... LAISSEZ-VOUS SURPRENDRE RĂ©servez votre forfait
Organisateursdu Tour Poitou-Charentes, élus à la Fédération et à la Ligue, Alain Clouet et Nicolas Rougeon ont porté une réforme sur la sécurité des courses en vigueur depuis mars.
PubliĂ© le 03/11/2017 Ă  1006, Mis Ă  jour le 03/11/2017 Ă  1102 AprĂšs la tour Eiffel avant hier, le premier ministre Édouard Philippe s'est rendu Ă  la gare du Nord Ă  Paris aujourd'hui pour rassurer les Français deux jours aprĂšs que la loi antiterroriste a remplacĂ© l'Ă©tat d'urgence et rappeler que "la sĂ©curitĂ© est l'affaire de tous"."Nous savons parfaitement que le niveau de menace reste Ă©levĂ©", a dĂ©clarĂ© Édouard Philippe entourĂ©, du ministre de l'IntĂ©rieur GĂ©rard Collomb et de la ministre des Transports Élisabeth Borne. "La sĂ©curitĂ© c'est l'affaire de tous, ça n'est pas uniquement l'affaire des forces de l'ordre", a-t-il rappelĂ© aprĂšs avoir rencontrĂ© les policiers, gendarmes, agents de la sĂ»retĂ© de la SNCF et de la RATP."Les dĂ©fis sont immenses mais le gouvernement, les forces de l'ordre, l'ensemble des opĂ©rateurs sont extrĂȘmement mobilisĂ©s pour mettre des moyens humains supplĂ©mentaires, vĂ©rifier que le cadre juridique de notre action nous permet d'apporter des rĂ©ponses claires et efficaces et c'est notamment le cas depuis l'adoption de la loi antiterroriste", a-t-il dit."Et puis au-delĂ  des moyens humains et juridiques, et au delĂ  mĂȘme des moyens matĂ©riels, je redis l'attention que nous devons tous avoir, cette vigilance collective et pas simplement la vigilance des forces de l'ordre, car ils ne pourront rĂ©pondre au dĂ©fi immense du terrorisme que par une attention permanente et collective de l'ensemble des citoyens", a assurĂ© le Premier ministre.» Lire aussi - À la Tour Eiffel, Édouard Philippe dĂ©fend la sortie de l'Ă©tat d'urgence 70 des accidents impliquant un engin de manutention pourraient ĂȘtre Ă©vitĂ©s avec une formation et des mesures de sĂ©curitĂ© adĂ©quates. De Ah qu’il est bon de recevoir des nouvelles de ceux qu’on aime ! Surtout quand Ă©tait sans nouvelle d’un ĂȘtre particuliĂšrement cher depuis longtemps
 Et depuis hier ouf » c’est bon ça va j’ai des nouvelles d’Alexandre BĂ©nalla ! Alors non BĂ©nalla et moi on n’est pas proches mais sans le savoir il m’a apportĂ© tellement de matiĂšre pour Ă©crire mes chroniques que pour moi c’est devenu un proche ! Alors qu’est ce qu’il devient ce cher Alex ? Et bien figurez vous que c’est Marcel Campion, le gentil forain mafieux homophobe qui lui a trouvĂ© du boulot ! BĂ©nalla va devenir consultant sĂ©curitĂ© pour la foire du TrĂŽne ! Ah ben merde alors
 J’en ai entendu des intitulĂ©s d’emploi fictif mais des comme ça c’est balaise non ? J’imagine les rĂ©unions avec Alexandre le consultant sĂ©curitĂ©.. Bon les gars qui dit foire dit foule, qui dit foule dit agitation, qui dit agitation dit danger, qui dit danger dit mobilisation, qui dit mobilisation dit vigilance, qui dit vigilance dit matraque ! RĂšgle n°1 Si vous voyez un rassemblement de plus de 5 personnes vous dispersez, si y a rĂ©sistance vous matraquez RĂšgle n°2 Si vous repĂ©rez des agitateurs, rĂ©action immĂ©diate vous prenez Ă  la gorge et vous exfiltrez une fois le ou les individus exfiltrĂ© vous revenez Ă  la rĂšgle n°1 vous matraquez ! RĂšgle n°3 Vous apprenez les rĂšgles n°1 et n°2 par cƓur ! En cas de problĂšme - du style dĂ©cĂšs d’un individu matraquĂ© - suite Ă  l’application de la rĂšgle n°1 vous venez me voir immĂ©diatement lĂ  je vous remettrais un passeport dit diplomatique » et vous pratiquez sur vous-mĂȘme la rĂšgle n°2 l’exfiltration » Bon ben voilĂ  on le sait, on ne sera pas du tout en sĂ©curitĂ© Ă  la foire du trĂŽne ! A tout moment on pourra se faire taper sur la gueule ! Autre sujet tout aussi grave ! Vous vous en souvenez surement en dĂ©but d’annĂ©e deux accidents d’avion avaient secouĂ© l’univers des transports aĂ©riens. Deux accidents dans lesquels Ă©taient impliquĂ©s des Boeing 737 Max ! Interdiction de voler pour ces appareils depuis mi-mars, gros manque Ă  gagner pour les compagnies et le constructeur, du coup le constructeur a multipliĂ© les enquĂȘtes et hier tin nin » l’annonce de Boeing On a trouvĂ© le problĂšme de nos 737 y a un problĂšme sur les ailes » Allo ? Un problĂšme sur les ailes ! Tu construits des avions, tu vĂ©rifies pas hyper bien les ailes et tu te dis c’est ok ils peuvent voler » et faut deux accidents pour que tu vĂ©rifies que les ailes de ton avion sont OK ! La suite Ă  Ă©couter et Ă  retrouver en vidĂ©o !
Lintervention, de l’un des outils de Communication du theatre Entreprise de « Changement de decor », qui est la saynĂšte » prĂȘte Ă  jouer » vous permettra de guider vos collaborateurs vers les principes gĂ©nĂ©raux et les bonnes pratiques qu’il est indispensable de connaĂźtre dans le cadre de la sĂ©curitĂ© au travail. Le travail change et se transforme.
20 mai 2022 Rapport technique TĂ©lĂ©charger 223,3 kB Vue d’ensemble Ce bref document souligne l’importance de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, ses avantages, et les solutions permettant d’amĂ©liorer la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments dans les Ă©tablissements scolaires et les crĂšches. Il fait partie d’une sĂ©rie de brochures produites par la FAO et l’OMS en vue de promouvoir la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments, notamment dans le cadre de la JournĂ©e internationale de la sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments. La sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est l’affaire de tous Ă  la maisonLa sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est l’affaire de tous sur le lieu de travailLa sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est l’affaire de tous sur les marchĂ©s alimentaires traditionnelsLa sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments est l’affaire de tous dans la vente d'aliments sur la voie publiqueOther available languages Ű§Ù„ŰčŰ±ŰšÙŠŰ©äž­æ–‡Đ ŃƒŃŃĐșĐžĐč Équipe OMS Multisectoral Action in Food Systems, Nutrition et sĂ©curitĂ© sanitaire des aliments Éditeurs Organisation mondiale de la SantĂ© & Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture NumĂ©ro de pages 2 NumĂ©ro de rĂ©fĂ©rence NumĂ©ro de reference de l’OMS WHO/HEP/NFS/AFS/ Copyright
Et loin de l’adage – « la sĂ©curitĂ© est l’affaire de tous » – l’on peut vous dire que que « la sĂ©curitĂ© est, en rĂ©alitĂ©, l’affaire de SERI ! » SARI SĂ©curitĂ© a fait du gardiennage live vidĂ©o Ă  distance (GVLD) sa spĂ©cialitĂ©. Son PC de commandement est particuliĂšrement impressionnant et efficace. SERI SĂ©curitĂ©. 8A
Body Afin de dĂ©velopper en interne une culture de la santĂ© et de la sĂ©curitĂ©, le groupe coopĂ©ratif AxĂ©rĂ©al implique aujourd’hui l’ensemble de ses Ă©quipes dans une ambitieuse stratĂ©gie de prĂ©vention des accidents professionnels. Des silos de grains aux moulins, des usines de production d’aliments pour animaux aux malteries, c’est l’ensemble des entitĂ©s d’AxĂ©rĂ©al qui font aujourd’hui de la protection des salariĂ©s et des parties prenantes adhĂ©rents, clients
 une prioritĂ©. Assurer la sĂ©curitĂ© des femmes et des hommes qui travaillent au sein d’AxĂ©rĂ©al est un prĂ©requis pour l’ensemble de nos activitĂ©s, affirme Romain Gallas, administrateur AxĂ©rĂ©al. C’est pour cela que nous cherchons ĂȘtre proactifs sur le sujet ». Pour porter une telle ambition, une politique sĂ©curitĂ© notamment a Ă©tĂ© mise en place il y a trois ans. ImpulsĂ©e par la Direction, elle a permis de placer le sujet au rang des prioritĂ©s stratĂ©giques d’AxĂ©rĂ©al. Un vrai Ă©lan a Ă©tĂ© donnĂ© », confirme SĂ©bastien Richomme, responsable sĂ©curitĂ© du pĂŽle Agriculture & FiliĂšres. La sĂ©curitĂ© est rĂ©ellement l’affaire de tous, et l’élan portĂ© se retrouve donc Ă  tous les niveaux du groupe coopĂ©ratif. Des points sur la sĂ©curitĂ© sont par exemple rĂ©guliĂšrement rĂ©alisĂ©s lors des comitĂ©s de direction. Un comitĂ© sĂ©curitĂ© rĂ©unit par d’ailleurs une fois par mois les directeurs de chaque Business Unit BU du pĂŽle Agriculture & FiliĂšres chaĂźne du grain, meunerie, Ă©levage. Cela permet des Ă©changes constructifs sur les difficultĂ©s rencontrĂ©es, les dĂ©marches de progrĂšs Ă  mener
 », poursuit SĂ©bastien Richomme. Un partage des bonnes pratiques peut Ă©galement ĂȘtre rĂ©alisĂ©. Une dynamique proactive que l’on retrouve Ă©galement chez Boortmalt, activitĂ© malt du groupe AxĂ©rĂ©al. Chaque accident est Ă©vitable » La question de la sĂ©curitĂ© est abordĂ©e au quotidien sur le terrain, grĂące Ă  un important travail de communication. Des animateurs sĂ©curitĂ© terrain sont lĂ  pour aider les managers de proximitĂ© Ă  avancer sur le sujet. Nous devons convaincre 100 % de nos collaborateurs que la sĂ©curitĂ© est un prĂ©requis Ă  toute action. Il faut qu’ils aient conscience de l’importance de cette question et aient envie de se protĂ©ger », explique SĂ©bastien Richomme. Pour accompagner la dĂ©marche, diffĂ©rentes initiatives ont Ă©tĂ© prises. C’est le cas par exemple de rituels comme les 5 minutes sĂ©curitĂ© ». Plusieurs fois par semaine, les responsables locaux prĂ©sentent le travail du jour Ă  leurs Ă©quipes, les risques qui y sont liĂ©s et les moyens de s’en prĂ©munir. Formations et sensibilisations sont par ailleurs rĂ©guliĂšrement proposĂ©es pour permettre aux collaborateurs de dĂ©velopper les rĂ©flexes nĂ©cessaires Ă  leur protection et celles des parties prenantes mesures de protection, signalement de toute situation Ă  risque
. Des Rencontres sĂ©curitĂ© terrain ont Ă©galement Ă©tĂ© instituĂ©es pour amĂ©liorer les comportements du quotidien voir ci-dessous. La politique sĂ©curitĂ© du groupe s’appuie sur un principe fondamental chaque accident est Ă©vitable. Pour preuve, l’expĂ©rience rappelle que la majoritĂ© de ces accidents sont imputables Ă  l’organisation au comportement des personnes en prĂ©sence. La communication portĂ©e par AxĂ©rĂ©al met notamment l’accent sur les bonnes pratiques Ă  adopter face Ă  cinq risques majeurs les chutes de hauteur, les interventions en cellules, l’utilisation des engins de manutention chariots Ă©lĂ©vateurs
, les risques routiers et la question des troubles musculosquelettiques lombalgie, entorse
. En s’appuyant sur une sensibilisation au long cours des Ă©quipes mais aussi sur une analyse rigoureuse des incidents survenus, le groupe poursuit ainsi un objectif ambitieux le zĂ©ro accident. Des Rencontres sĂ©curitĂ© terrain pour dĂ©velopper les bonnes pratiques De la farine au sol qui risque de faire glisser un collaborateur, un sac mal portĂ© qui peut fragiliser le dos d’un salarié  Dans leur quotidien professionnel, les collaborateurs ne perçoivent pas toujours les risques induits par certaines situations. Tout l’objectif des Rencontres sĂ©curitĂ© terrain est lĂ  dĂ©tecter les comportements Ă  risque, et rĂ©duire ainsi les accidents, en apportant un Ɠil neuf sur des situations de travail. L’Ɠil neuf, c’est celui portĂ© par deux membres de l’encadrement qui vont Ă©tudier avec attention le travail d’un salariĂ©, dans un esprit collaboratif et bienveillant. AprĂšs une dizaine de minutes d’observation, un dialogue constructif va se nouer sur le mode opĂ©ratoire du collaborateur, afin de dĂ©terminer d’éventuelles pistes d’amĂ©lioration. Le port des EPI Equipements de protection individuelle a-t-il Ă©tĂ© respectĂ© ? L’échelle utilisĂ©e Ă©tait-elle la plus adaptĂ©e ? La zone de travail a-t-elle Ă©tĂ© nettoyĂ©e au bon moment ? Autant de points d’attention qui pourront ĂȘtre Ă©voquĂ©s afin de faire progresser la sĂ©curitĂ© sur le site et servir au plus grand nombre. AprĂšs avoir Ă©tĂ© lancĂ©es dans la branche Agriculture d’AxĂ©rĂ©al, ces Rencontres ont Ă©tĂ© dĂ©ployĂ©es au sein d’Axiane Meunerie en 2021. 200 collaborateurs de terrain bĂ©nĂ©ficient dĂ©sormais deux fois par an d’une telle initiative, explique Laurent Gandouin, directeur industriel & supply chain chez Axiane Meunerie. 80 % de nos accidents sont liĂ©s Ă  des chutes de plain-pied ou des ports de charge. Des bonnes pratiques peuvent permettre de les Ă©viter. Nous disposons avec ces rencontres d’un bon moyen pour agir en ce sens ». Chaque rencontre permet aux collaborateurs de prendre quelques engagements simples pour faire progresser leur propre sĂ©curitĂ©. La question des accidents est le plus souvent liĂ©e Ă  une prise de conscience des risques », rappelle Laurent Gandouin. Dans le mĂȘme temps, le manager peut relever quelques amĂ©nagements de postes Ă  rĂ©aliser pour prĂ©venir certains accidents, comme par exemple l’installation d’aspirateurs Ă  chaque Ă©tage d’un bĂątiment ou la mise en place de rangements dĂ©diĂ©s aux outils du collaborateur ». Boortmalt une malterie construite sans aucun accident en Ethiopie Des rĂ©flexes de sĂ©curitĂ© doivent ĂȘtre dĂ©veloppĂ©s dans les actions du quotidien des collaborateurs du groupe. Mais il est Ă©galement essentiel qu’ils soient adoptĂ©s dans le cadre de chantiers d’exception portĂ©s par la coopĂ©rative. C’est ce Ă  quoi s’est attachĂ© Boortmalt, le pĂŽle malt international d’AxĂ©rĂ©al, lors de la construction de sa premiĂšre malterie africaine, en Ethiopie, entre 2018 et 2021. SituĂ©e dans le parc industriel de Debre Birhan, cette unitĂ© de production a Ă©tĂ© Ă©difiĂ©e en faisant de la sĂ©curitĂ© et de la santĂ© des travailleurs prĂ©sents une prioritĂ© centrale. Pour porter cette ambition, nous nous sommes assurĂ©s d’avoir un responsable de la sĂ©curitĂ© prĂ©sent sur le chantier dĂšs le premier jour de construction, et nous l’avons intĂ©grĂ© durant toute la phase opĂ©rationnelle, explique Mauricio Corsi, Responsable sĂ©curitĂ©, santĂ© et environnement chez Boortmalt, filiale malt du groupe AxĂ©rĂ©al, ce responsable sur place a accompagnĂ© la crĂ©ation de se site, en insufflant la culture de la sĂ©curitĂ© Boortmalt ». De mĂȘme, un suivi scrupuleux des mesures de santĂ© et de sĂ©curitĂ© en vigueur au sein du groupe, valant Ă  l’échelle internationale, a Ă©tĂ© instaurĂ©. Elles ont Ă©tĂ© respectĂ©es en prenant soin, dans le mĂȘme temps, de tenir compte des enjeux locaux. L’ensemble des mesures prises nous a permis de construire cette usine sans qu’aucun accident ne soit Ă  dĂ©plorer », se satisfait Mauricio Corsi. DĂ©sormais opĂ©rationnelle, la malterie Ă©thiopienne offre une capacitĂ© de tonnes, approvisionnĂ©e par des agriculteurs locaux.
jG4eKO2.
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